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Un coup de main

By: JarvisdeVar
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Rating: Adult ++
Chapters: 24
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Reviews: 12
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Disclaimer: This is a work of fiction. Any resemblance of characters to actual persons, living or dead, is purely coincidental. The Author holds exclusive rights to this work. Unauthorized duplication is prohibited.
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Partie 7

Un coup de main 7

Si vous n’avez pas 18 ans ou l’âge légal dans le pays ou vous vivez,
veuillez quitter maintenant. Ces histoires sont au sujet de garçon ou de
garçons gay, si cela n’est pas de votre goût, quittez maintenant. Toute
ressemblance avec des personnes ou organisations existantes est purement
accidentelle car ceci est une œuvre de pure fiction.

Par Jarvis de Var
Éditeur Joël

Nous, nous caressons un peu, assis sur le lit puis descendons pour notre collation. Dans la cuisine, Drews et Mike sont déjà là avec les parents, toute l’unité familiale. Nous parlons et Andrews essaye de demander s’il peut venir dans notre chambre et Mike n’arrête pas de le couper. Je regarde Tom avec un demi sourire, il comprend la situation.

- Hé les gars! Voulez-vous venir avec nous pour regarder un film ou jouer sur la Box? demanda Tom.

Drews regarda Mike avec une lueur dans les yeux.

- Oui certain et toi Mike?
- Oui, oui.
- Mike, tu n’as pas l’air content, tu ne veux pas rester avec nous? demandai-je.
- Je suis bien content d’être avec presque tous, dit-il en regardant Drews.

Nous entrons dans notre chambre. J’accroche le hamac et entends Tom m’appeler de la salle de bain. Il voulait juste me demander s’il pouvait prendre ma lotion.

- Prends tout ce que tu veux Punky. Tu sais que ce sera ok avec moi.

En l’attirant sur moi, je lui murmure à l’oreille:

- Nous allons prendre notre douche et être vraiment très près. Si tu veux?
- Je ne sais pas, peut-être si je trouve un gars très cool.
- Tu as seulement Red le punk. Pas de gars cool. Yo man.
- Peut-être que je vais trouver Red cool, me répondit Tom en souriant.

Je lui donne un coup de poing sur l’épaule et le pousse vers la chambre. Quand nous entrons dans la chambre, nous voyons Mike qui nous sourit largement. Sur mon lit, il y a nos deux jock-straps et leur coquille, tout les pièces de mon uniforme de combat, nos protecteurs buccaux. Mike a vidé mon panier à linge.

- Comment était la bagarre? demanda Mike.
- Je t’ai déjà dit que tu avais un grand nez? C’était bien.
- Red a battu deux hommes énormes. Ils étaient largement au-dessus d’un mètre quatre-vingt et pesant environ vingt kilos de plus que Red, dit fièrement Tom.
- Nous avons dû nous battre car ils voulaient nous violer.
- Ces gars voulaient vous violer? se surprit Drews.
- Quand j’étais sur la rue j’ai été près du métro Papineau pur trouver une place pour dormir, un cuir m’a attrapé et m’a traîné dans une ruelle mais j’ai crié si fort qu’il m'a laissé aller, précisa Tom.
- Ces gars là ne sont pas gays, se sont des maniaques du contrôle en premier et ils ont des activités gays ensuite, expliquai-je. Comme vous le savez, je déteste les maniaques du contrôle; ils violent, contraignent, abusent la confiance et aiment infliger l’humiliation et la douleur. Je les déteste profondément. Je ne veux pas apprendre à les comprendre. Je ne ressent aucune pitié pour eux. Tom, tu m’as vu marquer le chef, j’ai fait ce que j’avais à faire mais je n’ai eu aucune empathie pour lui. Il était le chef de la meute. Pour moi, il n’était pas humain. Mais j’avais à suivre la voie, en réalité c’est ce qui m’a sauvé.

Les deux petits restent silencieux ouvrant largement leur yeux. Tom me sourit avec chaleur, il me prend la main et l’embrasse.

- Comment l’as-tu marqué? demanda Mike.
- Il a utilisé un couteau pour le maquer au front. Il a seulement fait des dommages cosmétiques. Le trou du cul ne pourra pas menacer qui que ce soit sans chirurgie plastique, expliqua Tom en me souriant et pressant ma main.
- Tu l’as fait Red? dit Mike.
Je lui fait signe de venir s’asseoir sur moi.
- Mike je l’ai fait. Si je trouve un autre maniaque du contrôle que je peux stopper, je le ferai par tous les moyens possibles, crois-moi.

Je l’enlace et il prend appui sur moi. Je soupire et le serre encore plus fort sur moi.

- Arrêtons de parler de trou du cul, que voulez-vous faire? demanda Tom.
- Avant de passer à autre chose, Tom a battu un homme de 1m84, pesant environ 100kg. En quinze secondes l’homme était hors de combat.
- Tu l’as fait pour le vrai? dit Drews en regardant Tom tout excité.
- Oui mais il a eu le temps de me donner un coup de poing.

Il me regarda:

- Que fait-on?
- Musique et X-box, dit Mike.
- Rob Zombi! ajouta Drews.

Nous commençons à parler et à rire, les petits se serrent contre nous. Drews frotte avec son pouce la lèvre enflée de Tom. Il voit que Mike et moi le regardons faire. Il rougit et se croise les bras.

- C’est correct Drews, nous savons que tu aimes beaucoup Tom et tout les deux nous t’aimons et je suppose que même Mike t’aime, lui dis-je.

Je lui pince le cou et lui frotte le crane. Nous jouons jusqu’à minuit. Les petits quittent ma chambre pour rejoindre la leur. Tom se repose sur moi.

- Avons-nous vraiment à nous laver? demanda Tom.
- Hé! Punky pas de viande sale dans mon lit, relaxe je vais venir te chercher. Ok?
- Ok, quoi.
- En passant, reste sur le lit, je vais te préparer une surprise.

Il essaye de parler mais je mets mon index sur ses lèvres pour le faire taire. Je vais à la cuisine, ma mère me regarde de la salle de séjour. Je cherche les chandelles d’urgence et les mets dans un sac de plastique.

- Mom, je peux prendre deux coolers aux fraise?
- Reginald, trouves-tu cela très raisonnable de boire à ton âge et avec ton partenaire?
- Mais mom, ils ont seulement 3% d’alcool et j’ai demandé seulement deux bouteilles.
- Qu’a-tu dans ton sac?

J’ouvre le sac et lui montre les chandelles. Mère regarde mon père qui fait oui de la tête.

- Ok tu peux prendre les coolers et deux grands verres à vin.

Je ramasse mon matériel et mets le tout dans mon sac. Je retourne à ma chambre et barre la porte. Je souris à Tom et entre dans la chambre de bain. Je ferme et barre la porte derrière moi. Je fais couler le bain et y ajoute de l’huile essentielle d’If pour son odeur et la sensation quelle procure. Je place les chandelles autour du bain et près du lavabo, les verres et les bouteilles sur le cabinet. J’allume les chandelles et ferme le plafonnier de la chambre de bain, je me déshabille et ne garde que mes boxers. Je débarre la porte et rejoins Tom. Il est à demi endormi sur le lit. Je l’embrasse sur le front, il me regarde.

- Je peux te déshabiller? demandai-je à Tom.
- Oui.
- Ne bouge pas, laisse-moi faire tout le travail, c’est tout pour toi.

Je le déshabille lentement. J’enlève son t-shirt, ses chaussures et ses bas. J’enlève lentement ses shorts et ses boxer. Son pénis est au repos, ses poils pubiens sont courts et bouclés; il est très beau. Sa peau est pâle, ses cheveux châtain clair, ils frisent sur ses épaules, son toupet a tendance à tomber devant ses yeux. J’embrasse sa joue et le soulève dans mes bras. Je le transporte dans la chambre de bain et le descend dans le bain. Au départ, il semble surpris puis relaxe dans l’eau chaude. Je commence à le laver sa tête et son visage puis ses pieds et ses jambes, son dos et son thorax. Je porte une attention particulière à ses mamelons, mes mains couvertes de savon frottent et pincent légèrement ceux-ci. Il gémit beaucoup, pousse sa tête vers l’arrière, il bande instantanément. Je mets mes mains entre ses jambes et lave son anus. Il gémit de façon continue. Puis je lave son membre rigide, je relève son prépuce pour le laver complètement. Quand je le tiens dans ma main, il se met à pousser avec son bassin, je le laisse faire et l’embrasse avec précaution et il répond avec passion. À la fin du baiser, je goûte son sang dans ma bouche. Nous arrêtons notre baiser quand il jouit dans l’eau. Je vide le bain, l’enveloppe dans des serviettes et le transporte sur le lit pour le sécher. Je l’enveloppe dans notre couverture, l’embrasse puis retourne dans la chambre de bain pour me laver. En enlevant mes boxers, je m’aperçois qu’ils sont pleins de lubrifiant. Je les rince dans le lavabo avant de me laver moi-même. Je résiste à la pulsion de me masturber. J’éteins les chandelles et rejoins ma chambre. Tom dors profondément, je le regarde quelque minutes, il est en paix. Son expression est empreinte de gentillesse, je sens mon cœur battre pour lui. Je me glisse dans le lit avec lui. Je l’enveloppe de mes bras et laisse mon pieux reposer entre ses jambes. J’embrasse son cou et m’endors, sentant sa chaleur.

Il fait noir et je sens mon pénis tout humide. Je cligne des yeux et vois Tom qui lèche mon pénis en tenant la hampe avec la main. Il me voit le regarder et me sourit. Il relève mon prépuce et me lèche le gland, je sens des frissons dans tout le corps. Il continue à lécher et à frotter avec sa main et son visage. J’essaye de me retenir mais moins de dix minutes plus tard:

- Tom! Je vais jouir.

Il met mon gland entre ses douces lèvres et titille le bout avec sa langue. Je n’en peux plus et éjacule. Tom me boit, j’ai l’impression que je vais mourir. Quand je reviens à moi, Tom me sourit avec un peu de sperme sur le menton. Il lance ses bras autour de mon cou et m’embrasse profondément.

- Red, tu es tellement cool, me dit-il en souriant.

Après quelques minutes, nous endormons nous tenant mutuellement.

Quelqu’un m’embrasse. J’ouvre les yeux et vois Tom qui embrasse mon visage.

- Comment te sens-tu Punky?
- Je me sens très bien dans tes bras.
- Tu sais que tu es un dur toi aussi.
- Oui mais un dur qui a besoin de toi. Tu es ma force et quand tu es là, j’ai confiance en moi.
- Non Tom, tu étais seul dans le combat hier. Tu es bon.
- Si tu le dis...
- Je le sais et je sais aussi que tu es plus gentil que moi, que tu est beau, j’aime ton esprit et ton corps. Tu ne peux savoir à quel point je t’aime.
- Je t’aime! Tu m’as sauvé, tu m’as montré que l’on peut changer des parties du monde.
- Ton cœur est dur mais est ouvert à tout ceux qui ont besoin de protection. Tu donnes sans attendre quoi que ce soit en retour.

Il me regarde avec des larmes dans les yeux.

- Tu es celui que je veux à mes côtés.

Je ne réponds pas, je le serre puissamment sur mon thorax, il met la tête sur mon épaule et murmure:

- Red, je ne peux plus respirer...

Je lui caresse le dos et murmure à son oreille.

- Tom, mon ami, ferme les yeux...

Je pousse Tom sur le dos, descendant au niveau de son pénis. Je respire sur son pénis et il tremble. Je prends ses testicules et les roule entre mes doigts. J’embrasse et je lèche ces doux ovales un par un. Je mords gentiment son scrotum, je lèche son pubis. Il geint et bouge la tête de droite à gauche. Je l’attrape par la hampe et descends son prépuce et sens son pénis. L’odeur me fait tourner la tête, je prends son gland entre mes lèvres. Je taquine la couronne de la langue, il gémit plus fort. Il commence à caresser et à tirer mes cheveux. Je laisse son gland s’échapper et mordille le côté de sa hampe. Mon nez et mes lèvres voyagent vers son nombril et je le chatouille de la langue. Rigolant, il essaye de repousser ma tête. Je lui souris, il continue à rire.

Je dégage ma tête et continue à le lécher et à le masturber de mes lèvres. Il m’attrape par les cheveux et commence à utiliser ses hanches pour pousser son pénis de plus en plus profondément. J’attrape ses fesses pour ralentir le mouvement. Après quelques minutes, tout son corps se tend, il pousse profondément jusqu’à ma gorge. J’étouffe un peu quand son gland pénètre ma gorge. Je repousse ses hanches un peu et prends une bonne respiration et le laisse retourner dans ma gorge. Je sens son corps se contracter, les spasmes le secouent. Il jouit avec force au fond de ma gorge, cinq ou six jets que je présume puissants. Je goûte un peu son sperme quand il se retire. Je retiens ses hanches et nettoie son pénis. Après quelque secondes il le retire de ma bouche. Sa respiration est laborieuse, ses yeux sont à demi-fermés et il a un sourire imprimé sur le visage. Je suis affalé sur Tom, encore dur mais fatigué. Une bonne fatigue. Lentement je frotte ma joue sur son bas-ventre.

- Reginald, Thomas! Déjeuner, entendis-je ma mère crier.
- Hé Punky! Couvre ton beau body, il faut descendre.
- Red, mon mauvais garçon, je t’aime tant. Monte ici, je veux t’embrasser.

Nous nous embrassons quelques minutes puis nous douchons et nous habillons. Dans la chambre de bain, je ramasse les bouteilles de cooler et les verres, je les apporte à la cuisine. En arrivant dans la cuisine, je les donne au commandant. En les prenant elle nous sourit.

- Vous ne les avez pas bu?
- Nous sommes tombés endormis avant de les boire.
- Tom comment vas-tu? Tu restes assis comme cela avec c’est énorme sourire imprimé sur le visage.
- Je vais très bien. J’aime le garçon le plus gentil de la planète. C’est la raison pour laquelle je ne peux cesser de sourire, lui répond Tom.
- Vous avez eu une relation sexuelle il y a quelque minutes?
- Comment peux-tu le dire? demandai-je.
- Je reconnais l’expression sur le visage de Tom.

Elle prend la tête de Tom entre ses bras et l’embrasse.

- C’est hummm! dit Tom en rougissant. C’est exact mais cela ne change pas le fait que Red est le garçon le plus gentil que j’ai jamais connu.
- Je sais que Red est gentil, il prend soin de nous depuis aussi longtemps que je suis capable de me souvenir, dit Mike arrivant dans la cuisine.
- Ok les gars, arrêtez! Gardez cela pour mon apologie au pied du cercueil.
- Reginald! Ne sois pas morbide si tôt le matin.

Nous parlons et avons du plaisir, après le déjeuner je parle à Tom seul à seul:

- Tom, que penses-tu de l’idée d’aller au centre d’achat avec les petits, incluant Seth?
- Excellent!

Tom téléphone chez lui pour demander si Seth peu venir avec nous jusqu’à dimanche. Alain dit oui et qu’il va venir nous rejoindre vers 12h30. Nous nous rendons au centre d’achat et entrons chez le libraire en premier. Je les observe tous, Mike prend pour le regarder un ensemble avec tous les livres des Belgariade et Seth examine une boîte contenant les DVD de Star Wars. Je les ramasse tous les deux et paie avec ma carte. Nous passons à un magasin d’électronique et j’y prends Grand Thief Auto pour Drews. Devant l’arcade, je leurs donne de l’argent et leurs demandent de nous y attendre. Tom et moi entrons dans une bijouterie joaillerie. Je demande à voir les collier d’argent, j’en regarde un aux maillons épais avec une large plaque rectangulaire. Je demande à Tom s’il l’aime. Il a des larmes dans les yeux, il prend ma main et dit: "Oui mais..." Je l’interromps et lui dis: "Pas de mais!" Le vendeur nous regarde d’un air dégoûté. Je le regarde et lui demande de voir le propriétaire ou le gérant. Une femme dans la quarantaine vient au comptoir nous souriant:

- Que puis-je faire pour vous?
- Madame, j’ai demandé à votre employé un collier d’argent pour mon partenaire.

Je prends la main de Tom et lui souris.

- Votre employé ne semble pas nous aimer et nous le fait visiblement savoir. Je suis un client et j’ai droit à un minimum de respect même si je suis gay.
- Gay ou pas gay, un client est un client. Voulez-vous une inscription sur la plaque?
- Oui, sur le devant ligne 1: "Né pour être libre", ligne 2: "TOM". Derrière, ligne 1: "Avec tout mon amour", ligne 2: "RED".

Elle me donne le prix et je paie. Elle me donne une boîte de velours noir. Nous allons près de la porte, je regarde Tom, son visage est couvert de larmes. J’essaye de le calmer, il me sourit. Je lui mets le collier, il le touche et se lance dans mes bras. Les passants nous regardent et je m’en fous complètement. Finalement il se calme et me regarde:

- Comment peux-tu être si gentil si aimant? Sa voix passe du grave à l’aiguë: Je t’aime.
- Tais-toi Tom, lui dis-je en souriant. Arrête les grandes eaux, ne sois pas si émotif. Je lui murmure à l’oreille. Ou je vais me mettre à pleurer aussi.
- Allons nous à l’arcade pour y jouer avec nos frères?
- Oui ils me manquent tous et ce samedi est pour nous.

Nous, nous rendons à l’arcade pour jouer et rire tout l’après-midi. Les petits remarquent le collier de Tom. Ils lui font des compliments sur celui-ci. Nous rentrons à la maison, je me sens plus qu’heureux. Je me sens complet, en harmonie. Si je mourais là, ce serait sans aucun regret.

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