Un coup de main
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Disclaimer:
This is a work of fiction. Any resemblance of characters to actual persons, living or dead, is purely coincidental. The Author holds exclusive rights to this work. Unauthorized duplication is prohibited.
Partie 5
Un coup de main 5
Si vous n’avez pas 18 ans ou l’âge légal dans le pays où vous vivez,
veuillez quitter maintenant. Ces histoires sont au sujet de garçon ou de
garçons gay, si cela n’est pas de votre goût, quittez maintenant. Toute
ressemblance avec des personnes ou organisations existantes est purement
accidentelle car ceci est une œuvre de pure fiction.
Par Jarvis de Var
Éditeur Joël
Marchant vers l’arrêt d’autobus.
- Pourquoi avons nous apporté une enregistreuse? demande Tom.
- Juste au cas où il ne serait pas trop malin.
La vérité c’est que je n’avais aucune idée que D***** ne dirait pas un mot.
- C’est un jeu étrange. Je ne l’aime pas, ajouta-t-il en me regardant.
Nous arrivons à la maison vers 21h. Je dis bonjour aux parents. Ils me demandent où nous avons mangé, je leur réponds chez le petit général près des Fouf. Nous quatre, Tom, Mike, Andrews et moi regardons un film dans ma chambre. Mike avec moi dans le hamac et Andrews dans le lit avec Tom. Nous regardons Undreword un film sur les vamps et les lycans. J’aime ce genre de film et Tom semble aimer cela aussi. Après le film nous nous préparons pour nous coucher.
- Qu’est-ce que tu veux faire à propos de ces skinheads? demande Tom.
- Je vais attendre que l’on me contacte et voir à ce moment là.
- Alors nous sommes en congé?
- Oui tu peux dire cela, lui dis-je en souriant. Je suppose que l’on peut utiliser notre temps comme on le veut.
- Veux-tu me montrer un kata?
- Oui, arme ou à main nue?
- Arme, je peux?
- Pas de problèmes, lui répondis-je en souriant.
Le matin suivant nous pratiquons le tambo, le tambo est un bâton de 45cm de long. Je lui explique que les mouvements d’attaque utilisés avec le Tambo peuvent être utilisés avec le Cobra mais que les blocages ne peuvent être utilisés à cause de la flexibilité du Cobra. Il a un bon instinct avec le bâton, ses mouvements sont fluides et précis. Je lui donne un tambo en chêne, lui demandant de pratiquer une demie heure chaque jour son kata.
- Tu peux tuer avec certains mouvements de ce kata. Avant de te battre, pose toi la question à savoir si cela mérite un combat, lui dis-je.
- Ok je vais seulement apporter mon tambo si tu me le demandes.
- Ce bâton n’a aucune importance, tu peux utiliser n’importe quel bâton court. Exemple une patte de chaise est aussi bonne que le bâton que je t’ai donné. Apprendre le tambo, c’est pour avoir une arme n’importe quand n’importe où.
- Je sui désolé, je...
- Non Thomas tu n’es pas lent à comprendre. Tu n’as pas l’habitude de penser en guerrier. Mais cette façon de penser inclut la conséquence de tes actes. Certaines choses ne peuvent être défaites.
- Tu sais que je ne suis pas le genre à devenir une brute.
- Oui je sais, mais si tu vois quelqu’un blesser ton frère, peux-tu garder tes émotions sous contrôle?
- Je... ne sais pas.
- Il faut que tu trouves dans ton cœur l’esprit de justice.
Je le regarde.
- La vision juste est à l’intérieur de ton âme, il faut que tu écoutes quand ton esprit est tranquille. Tu vas y trouver quelque chose d’intéressant, ton vrai toi.
- Tu parle de méditation?
- Oui, tu n’as pas à méditer pour faire des arts martiaux. Quand tu fais cela, c’est un art externe sans beaucoup de contrôle. Quand tu pratiques la méditation, cela devient un art interne, une façon de vivre. Ta vie et ton art deviennent indissociables.
- Comment méditer de façon correcte?
- Le commencement est facile. Je vais te donner ce livre.
Je le prends sur une tablette près de mon bureau, Zen the meditation in mouvement.
- Merci man.
- N’essaye pas avec trop d’intensité, il faut que tu utilises la volition passive.
Je pousse le livre plus loin.
- Que veux-tu faire Tom?
- On peut aller voir un film.
Nous sommes dans la cour, parlant du film que nous voulons voir quand soudainement il me demande de le tenir. Je me déplace derrière lui et le tient serré sur moi. De forts tremblements le secouent pendant quelques secondes, après il perd tout tonus dans mes bras. Je m’assois sur le gazon le tenant et le berçant doucement.
- Tu est correct Tom?
- Je regrette je suis une telle mauviette, dit-il faiblement.
- Ne dis pas cela, es-tu malade?
- Non c’est une crise de panique, mon thérapeute m'a dit que cela pouvait m’arriver.
Il parle à voix très, très basse.
- Tu peux me laisser maintenant.
— Si cela ne te dérange pas, j’aimerais te tenir un peu plus longtemps, lui dis-je en souriant.
Il met sa tête sur mon épaule, relaxant un peu. Nous entendons Mike sortir de la maison. Tom essaie de sortir d’entre mes bras mais je le ramène doucement sur moi.
- Bonjour les gars! Je peux rester avec vous? demanda Mike.
- C’est ok Mike, viens, lui répondis-je.
Mike vient sur le gazon avec nous. Il s’étend mettant sa tête sur la cuisse de Tom. Il ferme les yeux et demande:
- Que voulez-vous faire? demande Mike.
- Veux-tu voir un film? lui demande Tom.
- On peut louer un DVD puis lâcher un buzz à ton frère?
Nous organisons une soirée film pour nous cinq. Cela va très bien; à un certain moment les petits se sont endormis. Tom prend Mike du hamac et le dépose sur le lit. Je lui souris quand il grimpe sur le hamac avec moi. Je le tiens, jouissant de sa chaleur et caressant le côté de son visage. Après moins de vingt minutes, je le sens endormi sur moi. Pour rien au monde je ne bougerais de là. Peu après je m’endors le sourire au lèvres. Je me réveille, le plafonnier a été éteint et quelqu’un a mis une couverture sur nous. Nos petits ont disparu. Tom est sur le côté, sa hanche écrasant douteusement mon aine et son épaule près de mon sternum. Je bouge un tout petit peu juste pour soulager la pression puis me rendors. Mère nous réveille. Tom se lève avec certaines raideurs, pour moi mon côté droit est complètement engourdi. Cela me prend plus de cinq minutes pour me lever. Je m’assis sur le hamac, essayant de faire circuler le sang dans mon bras et ma jambe droite. J’entends des ricanements dans le corridor.
- Hé les gars, arrêtez les bruits incongrus et entrez dans la chambre, lançai-je.
Les trois entrent souriant.
- Tu as dormi avec Tom? demande Drew.
- Oui: d-o-r-m-i si tu veux le savoir, grand nez.
Je lui souris, lui attrapant la tête dans une clef affectueuse.
- Tom et toi... êtes-vous? Tu sais... partenaire? demanda Seth.
Tom sort de la chambre de bain à ce moment par son expression, je sais qu’il a entendu. Il a l’air préoccupé, il ne dit mot, nous regarde en s’appuyant sur le cadre de porte.
- Nous sommes des amis qui se sont endormis ensemble, si jamais il arrive que nous voulions devenir partenaire, il faudra que nous en parlions. Et si cela arrive il est certain que nous en parlerons à nos frères.
Disant cela je regarde Tom. Il me fait un demi sourire est vient s’asseoir sur le lit, nous faisant face. Pendant un temps, nous parlons de tout et de rien, puis je pousse les petits vers la cuisine pour le déjeuner. Dès que je mets un pied dans la cuisine, ma mère m’envoie son sourire le plus malicieux. Je l’ignore et m’assois à la table. Nous mangeons et bavardons. Dans les faits, le déjeuner fut confortable.
Tom et moi allons dans la cour pour s’entraîner, lui avec son kata et moi avec les miens. Je garde un oeil sur lui pour corriger ses formes, il est bien et précis dans ses positions pour un débutant. Je lui rappelle d’aller lentement. À la fin, nous sommes complètement trempés, en sueur. Je lui fais signe de s’asseoir sur le gazon en disant Seza
- c’est le nom de la position assise en japonais. À genoux, assis sur vos pieds croisés, les mains sur les cuisses. Je conduis la procédure de relaxation corporelle. Quand je sens mon corps relaxé pour un certain temps, je lui demande de voir un tableau noir dans son esprit et de visualiser ses pensées passer devant ce tableau noir. Plus tard je lui demande d’effacer ces pensées qui passent devant le tableau noir au fur et à mesure. Je descends en méditation pour moi-même et perd sa trace.
- Red, Red réveille toi! me ramène Tom.
- Je ne dors pas, dis-je en ouvrant les yeux.
Je regarde ma montre presque une heure.
- C’est l’heure il faut aller prendre notre douche et aller s’entraîner.
- S’entraîner?
- Oui c’était seulement les kata d’armes, j’ai un cours à donner et un vrai entraînement à faire.
Nous, nous rendons au dojo, l’entraînement fut sans heurt et après, l’arrêt dîner. Nous retournons à la maison.
- Tom, tu vas me trouver twit mais j’ai des travaux à faire pour l’école. Cela ne te dérange pas?
- Ok! Je peux rester? Je ne te dérangerais pas.
- Tu es plus que bienvenu.
Je lui souris et me concentre sur la machine. Après quelques minutes:
- Red, es-tu avec moi?
- Humm! Quoi ho! M’as-tu parlé?
- Oui trois ou quatre fois déjà, répondit-il en souriant. Partir sur un travail scolaire, heavy man.
- Oui cela m’arrive.
- De quel travail s’agit-il?
- C’est un travail sur les origines du mouvement punk et comment la philosophie anarchiste teint les structures du mouvement.
- C’est la raison pour laquelle tu travailles sur ces articles sur les groupes de musique?
- Dans ce dossier, ce sont des articles sur les Sex Pistol et leurs mauvais comportements ou nous pouvons dire leur façon de vivre anticonformiste.
Parlant avec Tom, mes mains ouvrent mon yahoo e-mail. J’ai quelques messages donc un avec un attaché. Mon antivirus m’indique que c’est un simple Beagle. Je travaille dessus quelques minutes quand je me rends compte que j’ai besoin d’aide.
- Hé pap j’ai quelque chose qui a l’air vicieux sur ma machine. Désolé man, j’ai des problèmes avec elle, dis-je en regardant Tom.
- Quel est le problème Reg? demanda mon père.
- Cela semblait être un Beagle, quand j’ai commencé à le fractionner, il s’est répliqué et installé dans une nouvelle partie du registre.
Mon père s’assoit à ma place pour travailler. Il met le clone en quarantaine et commence à travailler sur l’original. Il travaille plusieurs minutes avant de le fractionner complètement.
- C’est fait Reg, garde-le dans un dossier, je veux étudier les séquences de celui-là.
- Pas de problème, je le fais tout de suite.
Dans l’attaché je trouve un message contenant mes résultats d’examen avec mes vrais notes mais certain comme éducation physique a une note marquée originale de C et une marqué modifiée de A+. Il y a aussi une copie de mon dossier de l’association mondiale d’art martial, les notes de Mr Blanc, une photo de moi en hakama avec mon katana. Une adresse IP marquée bonne jusqu'à minuit. Qui est cet haker? Je ferme ma machine et me débranche du réseau local. Je prends mon vieux router D-link pour le firewall, et installe toutes les protections auxquelles je peux penser. Tom me demande de lui expliquer ce que je fais, donc je parle tout le temps que je travaille. Il me tape sur l’épaule, je le regarde et il me sourit. J’entends ma mère m’appeler pour le souper. Nous descendons.
- Bonjour nous sommes en retard, Reg s’est perdu dans son travail.
- Habitue-toi, son père est encore comme cela, lui répond ma mère.
- Nous avons tous les deux beaucoup de concentration, répliquai-je.
- Pap dit la même chose! ajouta Mike en souriant.
- De toute façon, j’ai à travailler sur la machine ce soir.
- Pouvons-nous venir dans ta chambre, nous serons tranquille, demanda Mike.
- Cela va être ennuyant pour vous.
Il me regarde avec sa meilleure imitation de chien battu.
- Ok mais vous devez être tranquille.
- Pas de problème, dit-il me souriant largement.
- Tom pourrais-tu me monter un plateau dans ma chambre s’il te plaît?
- Reg tu es supposé manger avec nous! s'insurge ma mère.
- C’est urgent j’ai jusqu'à minuit avant de perdre le contact, répondis-je avant de me retourner vers pap. C’est le gars brillant qui nous a envoyé le petit chien.
Père, me regardant, est un peu perdu pour quelques secondes.
- Ho! Oui le Beagle, tu a pris toutes les mesures nécessaires?
- C’est presque fini.
- Si tu as besoin d’aide, crie.
- Oui certainement, je vous crois tous les deux! répondit ma mère en nous regardant tour à tour. Tu peux y aller Reginald.
- Merci mom.
J’installe la vidcam, puis deux headsets avec microphone. Puis je mets mon X-Box sur le lit près de la télé. Je finissais le travail quand Tom entre dans la chambre avec le plateau. Nous nous asseyons sur le lit pour manger. Je dis à Tom ce que j’ai fait et pourquoi. Il met sa main sur mon genou, je sursaute violemment. Il m’embrasse sur la joue, je ne sais vraiment pas comment réagir. Je sais comment réagir à l’agression, la provocation et les insultes mais ce genre de contact physique avec un garçon, je n’ai pas l’entraînement. Va lentement. En regardant mon assiette:
- Humm! Merci Tom, pourquoi?
- Je veux être près de toi si cela ne te dérange pas.
Je le regarde dans les yeux.
- Je peux? lui demandai-je.
Je prends sa main et l’embrasse légèrement sur les lèvres. Il s’appuie sur moi, mettant sa tête sur mon épaule. J’entoure ses épaules de mes bras.
- Tom, mes frères vont bientôt arriver. Libre à toi de quitter mes bras.
- Tiens-moi serré Red, me murmura-t-il alors à l'oreille en soupirant. Mon féroce ami, tiens-moi serré, je suis si bien dans tes bras.
- Tu auras toujours une place dans mes bras Thomas, lui murmurai-je à l'oreille.
Nous restons comme cela quelques minutes, Tom respirant dans mon cou et moi caressant son dos. Je dis à Tom que nous avons un hacker à visiter. Nous nous plaçons devant le bureau, je lui donne un headset et prends l’autre. Quand nous sommes quasi prêt à prendre contact, Mike frappe et ouvre la porte.
- Vous allez avoir un vidchat?
- Oui, j’ai ma box près de la télé, tu peux appeler Drews pour jouer avec toi si tu veux.
- Ok, je ne te dérangerai pas, répond-il en me souriant.
- Tom et moi allons sur le site pour voir si on pourra utiliser le vid.
Utilisant l’adresse IP, j’obtiens un écran noir et nous entendons March of the pigs par Nine inch Nails. Tom tressaute un peu en entendant cette pièce. Je fais apparaître le code de la page classique, la couleur de fond la même que celle des caractères. Il veut juste moins de trafic sur le site. Je change la couleur des caractères à partir du code, s’il veut un contact, la page n’est pas sécurisé. J’écris sur la page, j’ai une vidcam d’installée, je peux l’utiliser? Il essaye de me prendre en remote mais c’est difficile quand tu travailles sur un linux. Je n’approche jamais d’un site douteux avec du Microsoft. Je reçois des instruction après quelques minutes. Je configure la connexion vidéo et une fenêtre apparaît, nous montrant un gars d’environ 30-35 ans avec des cheveux vert clair et un t-shirt noir, devant un mur bleu.
- Red et Paul je suppose? dit le hacker.
- C’est Paul un ami.
Je regarde vers le lit.
- Mike, Andrews! Restez hors du champ de la caméra.
- Bonjour, répond Tom.
- Ce sont tes frères? demande le hacker en regardant vers un écran LCD.
- Oui.
- Bon! Vous avez décidé d’être volontaire pour éclater des skinheads et triple K?
- Oui.
- Humm! vous voulez soutenir le combat contre les fascistes. C’est ok avec nous. Le plan est que toi et ton ami et moi et mon amie allons être sur place. Dans leur bureau. Nous allons avoir neuf joueur de football américain de l’association des noirs de l’université Concordia pour couvrir l’extérieur. Et quelques personnes du congrès juif vont superviser les communication des cochons. Aimez-vous ce plan?
- Cela me semble correcte mais quel sera notre rôle dans cette structure?
- Quelles sont tes mesures d’épaule et de taille?
- Je ne sais pas pour les épaules mais la taille est de 68 à 70cm.
- Tu devrais passer dans la fenêtre de la salle de bain.
- Quel est le plan?
- C’est ceci: ils ont un système d’alarme avec deux cloches; une à l’extérieur et une à l’intérieur dans l’entrée. Ce sont des cloches classiques dans des boîtes de métal. Vous devrez acheter deux canettes de foam à expansion pour l’isolation, avec le tube long, vous pulvérisez dans la boîte de protection. La première est sur le mur à l’arrière du bâtiment près de l’escalier de secours. Nous espérons que Paul va pouvoir passer par la fenêtre de la salle de bain et éliminer la deuxième cloche. Après cela, il ouvrira la porte pour toi et moi et ma copine. Notre partie est l’extraction de l’information de leur système. Votre part est de démolir totalement leur bureau. Si c’est correct avec vous deux.
Je regarde Tom et il me regarde; j’essaie de voir comment il se sent vis-à-vis cela.
- C’est correct pour moi si Red y va, répond Tom en regardant l'écran.
- Pas de problème, je vais les FUBAR.
- Je vais vous envoyer les détails de cela sur e-mail. Over and out, pas de cochon, Dit-il souriant.
Je ferme la page et la machine. Je regarde sur mon lit. Mes deux frères jouent sans concentration et regardent dans notre direction.
- La partie n’est pas intéressante ou quoi?
- Tout ce bla, bla, bla c’était à propos de quoi? demande Mike.
- Juste un grandeur nature d’espionnage, répondis-je en lui souriant.
- Si c’est cela, pas de problèmes, termine-t-il avec une mine douteuse.
Nous jouons quelques parties de X-box avec les petits puis il vont dans leur chambre. Tom me regarde et rougis. Il prend ma main et m’entraîne dans la chambre de bain. Il me regarde dans les yeux sans dire un mot. Il retire mon t-shirt, je lève mes bras pour l’aider. Il ouvre ma ceinture et mes jeans. Il met un genoux par terre et enlève mes chaussettes. Tout le long de ces activités, mon cœur bat comme si je courais. Je ne pouvais pas croire qu’un gars que j’avais appris à aimer beaucoup me déshabillait, me désirait. Je suis dur comme une barre de fer. J’ai des larmes dans les yeux et un nœud dans la gorge. Je sors de mes jeans, l’attrapant par les épaules je le relève.
Avec mes mains tremblantes je déshabille de la même façon qu’il m’a déshabillé. J’accroche l’élastique de se son sous-vêtement avec mes doigts. Je regarde dans ses yeux, il fait signe que oui avec la tête. Son pénis semble dur comme de la pierre, environ 18cm comme le mien, il est plutôt épais et sur son corps plus mince et moins large que le mien, c’est impressionnant. Je reste sur un genou, je tire sur son prépuce pour mieux voir son gland, j’embrasse la fente de celui-ci. Il frémit me prend par les épaules pour me relever, puis m’enlève mes boxer. Il me regarde encore et me tire sous la douche. Je lui laisse l’initiative.
Il ouvre l'eau et prend le gel. Il commence à me laver lentement, quand il me lave le pénis, je ne peux m’empêcher de donner quelques coups de hanches. Il me lave les fesses, ce n’est pas trivial mais c’est tendre. Il finit et se tient devant moi les mains à ses côtés. Je prends le gel et le lave. Quand je lave ses testicules et son pénis, je suis près d’exploser. Je dois respirer profondément pour me calmer. Je me relève et le prends dans mes bras. Je sens son membre rigide sur le bas de mon abdomen, le mien se frotte sur son abdomen. Il murmure à mon oreille:
- On se sèche et le lit, pas de hamac ce soir.
Nous sortons de la douche. Tout le temps que nous nous séchons, mes yeux restent sur lui. Nos pénis laissent échapper de grande quantité de lubrifiant. Arrivé dans la chambre, je barre la porte et le regarde: il est sur le lit, les couvertures poussées sur le côté. Je ferme les lumières, ouvrant la porte de la salle de bain un peu. J’embarque dans le lit sur le côté lui faisant face. Il vient directement sur moi, je l’enlace de mes bras. Il est par-dessus moi. Il m’embrasse le cou, il me regarde:
- Pouvons-nous nous embrasser? me demande-t-il.
Je l’embrasse, pointant ma langue sur ses lèvres. Il ouvre la bouche. J’aime explorer sa caverne humide. Je l’invite à me suivre. Nous arrêtons ce jeu après un long temps, nos lèvres et mentons sont humides de salive. Tout le temps que dura ce baiser, nous frottons nos pénis l'un sur l’autre. J’attrape ses fesses, le tirant sur moi. Après quelques minutes, j’éjacule et perds quasiment connaissance puis Tom éjacule à son tour.
Je me tourne sur le côté en l’embrassant. Il tombe endormi dans mes bras. Je tire la couverture sur nous et tombe endormi en tenant mon Tom sur mon cœur.
Si vous n’avez pas 18 ans ou l’âge légal dans le pays où vous vivez,
veuillez quitter maintenant. Ces histoires sont au sujet de garçon ou de
garçons gay, si cela n’est pas de votre goût, quittez maintenant. Toute
ressemblance avec des personnes ou organisations existantes est purement
accidentelle car ceci est une œuvre de pure fiction.
Par Jarvis de Var
Éditeur Joël
Marchant vers l’arrêt d’autobus.
- Pourquoi avons nous apporté une enregistreuse? demande Tom.
- Juste au cas où il ne serait pas trop malin.
La vérité c’est que je n’avais aucune idée que D***** ne dirait pas un mot.
- C’est un jeu étrange. Je ne l’aime pas, ajouta-t-il en me regardant.
Nous arrivons à la maison vers 21h. Je dis bonjour aux parents. Ils me demandent où nous avons mangé, je leur réponds chez le petit général près des Fouf. Nous quatre, Tom, Mike, Andrews et moi regardons un film dans ma chambre. Mike avec moi dans le hamac et Andrews dans le lit avec Tom. Nous regardons Undreword un film sur les vamps et les lycans. J’aime ce genre de film et Tom semble aimer cela aussi. Après le film nous nous préparons pour nous coucher.
- Qu’est-ce que tu veux faire à propos de ces skinheads? demande Tom.
- Je vais attendre que l’on me contacte et voir à ce moment là.
- Alors nous sommes en congé?
- Oui tu peux dire cela, lui dis-je en souriant. Je suppose que l’on peut utiliser notre temps comme on le veut.
- Veux-tu me montrer un kata?
- Oui, arme ou à main nue?
- Arme, je peux?
- Pas de problèmes, lui répondis-je en souriant.
Le matin suivant nous pratiquons le tambo, le tambo est un bâton de 45cm de long. Je lui explique que les mouvements d’attaque utilisés avec le Tambo peuvent être utilisés avec le Cobra mais que les blocages ne peuvent être utilisés à cause de la flexibilité du Cobra. Il a un bon instinct avec le bâton, ses mouvements sont fluides et précis. Je lui donne un tambo en chêne, lui demandant de pratiquer une demie heure chaque jour son kata.
- Tu peux tuer avec certains mouvements de ce kata. Avant de te battre, pose toi la question à savoir si cela mérite un combat, lui dis-je.
- Ok je vais seulement apporter mon tambo si tu me le demandes.
- Ce bâton n’a aucune importance, tu peux utiliser n’importe quel bâton court. Exemple une patte de chaise est aussi bonne que le bâton que je t’ai donné. Apprendre le tambo, c’est pour avoir une arme n’importe quand n’importe où.
- Je sui désolé, je...
- Non Thomas tu n’es pas lent à comprendre. Tu n’as pas l’habitude de penser en guerrier. Mais cette façon de penser inclut la conséquence de tes actes. Certaines choses ne peuvent être défaites.
- Tu sais que je ne suis pas le genre à devenir une brute.
- Oui je sais, mais si tu vois quelqu’un blesser ton frère, peux-tu garder tes émotions sous contrôle?
- Je... ne sais pas.
- Il faut que tu trouves dans ton cœur l’esprit de justice.
Je le regarde.
- La vision juste est à l’intérieur de ton âme, il faut que tu écoutes quand ton esprit est tranquille. Tu vas y trouver quelque chose d’intéressant, ton vrai toi.
- Tu parle de méditation?
- Oui, tu n’as pas à méditer pour faire des arts martiaux. Quand tu fais cela, c’est un art externe sans beaucoup de contrôle. Quand tu pratiques la méditation, cela devient un art interne, une façon de vivre. Ta vie et ton art deviennent indissociables.
- Comment méditer de façon correcte?
- Le commencement est facile. Je vais te donner ce livre.
Je le prends sur une tablette près de mon bureau, Zen the meditation in mouvement.
- Merci man.
- N’essaye pas avec trop d’intensité, il faut que tu utilises la volition passive.
Je pousse le livre plus loin.
- Que veux-tu faire Tom?
- On peut aller voir un film.
Nous sommes dans la cour, parlant du film que nous voulons voir quand soudainement il me demande de le tenir. Je me déplace derrière lui et le tient serré sur moi. De forts tremblements le secouent pendant quelques secondes, après il perd tout tonus dans mes bras. Je m’assois sur le gazon le tenant et le berçant doucement.
- Tu est correct Tom?
- Je regrette je suis une telle mauviette, dit-il faiblement.
- Ne dis pas cela, es-tu malade?
- Non c’est une crise de panique, mon thérapeute m'a dit que cela pouvait m’arriver.
Il parle à voix très, très basse.
- Tu peux me laisser maintenant.
— Si cela ne te dérange pas, j’aimerais te tenir un peu plus longtemps, lui dis-je en souriant.
Il met sa tête sur mon épaule, relaxant un peu. Nous entendons Mike sortir de la maison. Tom essaie de sortir d’entre mes bras mais je le ramène doucement sur moi.
- Bonjour les gars! Je peux rester avec vous? demanda Mike.
- C’est ok Mike, viens, lui répondis-je.
Mike vient sur le gazon avec nous. Il s’étend mettant sa tête sur la cuisse de Tom. Il ferme les yeux et demande:
- Que voulez-vous faire? demande Mike.
- Veux-tu voir un film? lui demande Tom.
- On peut louer un DVD puis lâcher un buzz à ton frère?
Nous organisons une soirée film pour nous cinq. Cela va très bien; à un certain moment les petits se sont endormis. Tom prend Mike du hamac et le dépose sur le lit. Je lui souris quand il grimpe sur le hamac avec moi. Je le tiens, jouissant de sa chaleur et caressant le côté de son visage. Après moins de vingt minutes, je le sens endormi sur moi. Pour rien au monde je ne bougerais de là. Peu après je m’endors le sourire au lèvres. Je me réveille, le plafonnier a été éteint et quelqu’un a mis une couverture sur nous. Nos petits ont disparu. Tom est sur le côté, sa hanche écrasant douteusement mon aine et son épaule près de mon sternum. Je bouge un tout petit peu juste pour soulager la pression puis me rendors. Mère nous réveille. Tom se lève avec certaines raideurs, pour moi mon côté droit est complètement engourdi. Cela me prend plus de cinq minutes pour me lever. Je m’assis sur le hamac, essayant de faire circuler le sang dans mon bras et ma jambe droite. J’entends des ricanements dans le corridor.
- Hé les gars, arrêtez les bruits incongrus et entrez dans la chambre, lançai-je.
Les trois entrent souriant.
- Tu as dormi avec Tom? demande Drew.
- Oui: d-o-r-m-i si tu veux le savoir, grand nez.
Je lui souris, lui attrapant la tête dans une clef affectueuse.
- Tom et toi... êtes-vous? Tu sais... partenaire? demanda Seth.
Tom sort de la chambre de bain à ce moment par son expression, je sais qu’il a entendu. Il a l’air préoccupé, il ne dit mot, nous regarde en s’appuyant sur le cadre de porte.
- Nous sommes des amis qui se sont endormis ensemble, si jamais il arrive que nous voulions devenir partenaire, il faudra que nous en parlions. Et si cela arrive il est certain que nous en parlerons à nos frères.
Disant cela je regarde Tom. Il me fait un demi sourire est vient s’asseoir sur le lit, nous faisant face. Pendant un temps, nous parlons de tout et de rien, puis je pousse les petits vers la cuisine pour le déjeuner. Dès que je mets un pied dans la cuisine, ma mère m’envoie son sourire le plus malicieux. Je l’ignore et m’assois à la table. Nous mangeons et bavardons. Dans les faits, le déjeuner fut confortable.
Tom et moi allons dans la cour pour s’entraîner, lui avec son kata et moi avec les miens. Je garde un oeil sur lui pour corriger ses formes, il est bien et précis dans ses positions pour un débutant. Je lui rappelle d’aller lentement. À la fin, nous sommes complètement trempés, en sueur. Je lui fais signe de s’asseoir sur le gazon en disant Seza
- c’est le nom de la position assise en japonais. À genoux, assis sur vos pieds croisés, les mains sur les cuisses. Je conduis la procédure de relaxation corporelle. Quand je sens mon corps relaxé pour un certain temps, je lui demande de voir un tableau noir dans son esprit et de visualiser ses pensées passer devant ce tableau noir. Plus tard je lui demande d’effacer ces pensées qui passent devant le tableau noir au fur et à mesure. Je descends en méditation pour moi-même et perd sa trace.
- Red, Red réveille toi! me ramène Tom.
- Je ne dors pas, dis-je en ouvrant les yeux.
Je regarde ma montre presque une heure.
- C’est l’heure il faut aller prendre notre douche et aller s’entraîner.
- S’entraîner?
- Oui c’était seulement les kata d’armes, j’ai un cours à donner et un vrai entraînement à faire.
Nous, nous rendons au dojo, l’entraînement fut sans heurt et après, l’arrêt dîner. Nous retournons à la maison.
- Tom, tu vas me trouver twit mais j’ai des travaux à faire pour l’école. Cela ne te dérange pas?
- Ok! Je peux rester? Je ne te dérangerais pas.
- Tu es plus que bienvenu.
Je lui souris et me concentre sur la machine. Après quelques minutes:
- Red, es-tu avec moi?
- Humm! Quoi ho! M’as-tu parlé?
- Oui trois ou quatre fois déjà, répondit-il en souriant. Partir sur un travail scolaire, heavy man.
- Oui cela m’arrive.
- De quel travail s’agit-il?
- C’est un travail sur les origines du mouvement punk et comment la philosophie anarchiste teint les structures du mouvement.
- C’est la raison pour laquelle tu travailles sur ces articles sur les groupes de musique?
- Dans ce dossier, ce sont des articles sur les Sex Pistol et leurs mauvais comportements ou nous pouvons dire leur façon de vivre anticonformiste.
Parlant avec Tom, mes mains ouvrent mon yahoo e-mail. J’ai quelques messages donc un avec un attaché. Mon antivirus m’indique que c’est un simple Beagle. Je travaille dessus quelques minutes quand je me rends compte que j’ai besoin d’aide.
- Hé pap j’ai quelque chose qui a l’air vicieux sur ma machine. Désolé man, j’ai des problèmes avec elle, dis-je en regardant Tom.
- Quel est le problème Reg? demanda mon père.
- Cela semblait être un Beagle, quand j’ai commencé à le fractionner, il s’est répliqué et installé dans une nouvelle partie du registre.
Mon père s’assoit à ma place pour travailler. Il met le clone en quarantaine et commence à travailler sur l’original. Il travaille plusieurs minutes avant de le fractionner complètement.
- C’est fait Reg, garde-le dans un dossier, je veux étudier les séquences de celui-là.
- Pas de problème, je le fais tout de suite.
Dans l’attaché je trouve un message contenant mes résultats d’examen avec mes vrais notes mais certain comme éducation physique a une note marquée originale de C et une marqué modifiée de A+. Il y a aussi une copie de mon dossier de l’association mondiale d’art martial, les notes de Mr Blanc, une photo de moi en hakama avec mon katana. Une adresse IP marquée bonne jusqu'à minuit. Qui est cet haker? Je ferme ma machine et me débranche du réseau local. Je prends mon vieux router D-link pour le firewall, et installe toutes les protections auxquelles je peux penser. Tom me demande de lui expliquer ce que je fais, donc je parle tout le temps que je travaille. Il me tape sur l’épaule, je le regarde et il me sourit. J’entends ma mère m’appeler pour le souper. Nous descendons.
- Bonjour nous sommes en retard, Reg s’est perdu dans son travail.
- Habitue-toi, son père est encore comme cela, lui répond ma mère.
- Nous avons tous les deux beaucoup de concentration, répliquai-je.
- Pap dit la même chose! ajouta Mike en souriant.
- De toute façon, j’ai à travailler sur la machine ce soir.
- Pouvons-nous venir dans ta chambre, nous serons tranquille, demanda Mike.
- Cela va être ennuyant pour vous.
Il me regarde avec sa meilleure imitation de chien battu.
- Ok mais vous devez être tranquille.
- Pas de problème, dit-il me souriant largement.
- Tom pourrais-tu me monter un plateau dans ma chambre s’il te plaît?
- Reg tu es supposé manger avec nous! s'insurge ma mère.
- C’est urgent j’ai jusqu'à minuit avant de perdre le contact, répondis-je avant de me retourner vers pap. C’est le gars brillant qui nous a envoyé le petit chien.
Père, me regardant, est un peu perdu pour quelques secondes.
- Ho! Oui le Beagle, tu a pris toutes les mesures nécessaires?
- C’est presque fini.
- Si tu as besoin d’aide, crie.
- Oui certainement, je vous crois tous les deux! répondit ma mère en nous regardant tour à tour. Tu peux y aller Reginald.
- Merci mom.
J’installe la vidcam, puis deux headsets avec microphone. Puis je mets mon X-Box sur le lit près de la télé. Je finissais le travail quand Tom entre dans la chambre avec le plateau. Nous nous asseyons sur le lit pour manger. Je dis à Tom ce que j’ai fait et pourquoi. Il met sa main sur mon genou, je sursaute violemment. Il m’embrasse sur la joue, je ne sais vraiment pas comment réagir. Je sais comment réagir à l’agression, la provocation et les insultes mais ce genre de contact physique avec un garçon, je n’ai pas l’entraînement. Va lentement. En regardant mon assiette:
- Humm! Merci Tom, pourquoi?
- Je veux être près de toi si cela ne te dérange pas.
Je le regarde dans les yeux.
- Je peux? lui demandai-je.
Je prends sa main et l’embrasse légèrement sur les lèvres. Il s’appuie sur moi, mettant sa tête sur mon épaule. J’entoure ses épaules de mes bras.
- Tom, mes frères vont bientôt arriver. Libre à toi de quitter mes bras.
- Tiens-moi serré Red, me murmura-t-il alors à l'oreille en soupirant. Mon féroce ami, tiens-moi serré, je suis si bien dans tes bras.
- Tu auras toujours une place dans mes bras Thomas, lui murmurai-je à l'oreille.
Nous restons comme cela quelques minutes, Tom respirant dans mon cou et moi caressant son dos. Je dis à Tom que nous avons un hacker à visiter. Nous nous plaçons devant le bureau, je lui donne un headset et prends l’autre. Quand nous sommes quasi prêt à prendre contact, Mike frappe et ouvre la porte.
- Vous allez avoir un vidchat?
- Oui, j’ai ma box près de la télé, tu peux appeler Drews pour jouer avec toi si tu veux.
- Ok, je ne te dérangerai pas, répond-il en me souriant.
- Tom et moi allons sur le site pour voir si on pourra utiliser le vid.
Utilisant l’adresse IP, j’obtiens un écran noir et nous entendons March of the pigs par Nine inch Nails. Tom tressaute un peu en entendant cette pièce. Je fais apparaître le code de la page classique, la couleur de fond la même que celle des caractères. Il veut juste moins de trafic sur le site. Je change la couleur des caractères à partir du code, s’il veut un contact, la page n’est pas sécurisé. J’écris sur la page, j’ai une vidcam d’installée, je peux l’utiliser? Il essaye de me prendre en remote mais c’est difficile quand tu travailles sur un linux. Je n’approche jamais d’un site douteux avec du Microsoft. Je reçois des instruction après quelques minutes. Je configure la connexion vidéo et une fenêtre apparaît, nous montrant un gars d’environ 30-35 ans avec des cheveux vert clair et un t-shirt noir, devant un mur bleu.
- Red et Paul je suppose? dit le hacker.
- C’est Paul un ami.
Je regarde vers le lit.
- Mike, Andrews! Restez hors du champ de la caméra.
- Bonjour, répond Tom.
- Ce sont tes frères? demande le hacker en regardant vers un écran LCD.
- Oui.
- Bon! Vous avez décidé d’être volontaire pour éclater des skinheads et triple K?
- Oui.
- Humm! vous voulez soutenir le combat contre les fascistes. C’est ok avec nous. Le plan est que toi et ton ami et moi et mon amie allons être sur place. Dans leur bureau. Nous allons avoir neuf joueur de football américain de l’association des noirs de l’université Concordia pour couvrir l’extérieur. Et quelques personnes du congrès juif vont superviser les communication des cochons. Aimez-vous ce plan?
- Cela me semble correcte mais quel sera notre rôle dans cette structure?
- Quelles sont tes mesures d’épaule et de taille?
- Je ne sais pas pour les épaules mais la taille est de 68 à 70cm.
- Tu devrais passer dans la fenêtre de la salle de bain.
- Quel est le plan?
- C’est ceci: ils ont un système d’alarme avec deux cloches; une à l’extérieur et une à l’intérieur dans l’entrée. Ce sont des cloches classiques dans des boîtes de métal. Vous devrez acheter deux canettes de foam à expansion pour l’isolation, avec le tube long, vous pulvérisez dans la boîte de protection. La première est sur le mur à l’arrière du bâtiment près de l’escalier de secours. Nous espérons que Paul va pouvoir passer par la fenêtre de la salle de bain et éliminer la deuxième cloche. Après cela, il ouvrira la porte pour toi et moi et ma copine. Notre partie est l’extraction de l’information de leur système. Votre part est de démolir totalement leur bureau. Si c’est correct avec vous deux.
Je regarde Tom et il me regarde; j’essaie de voir comment il se sent vis-à-vis cela.
- C’est correct pour moi si Red y va, répond Tom en regardant l'écran.
- Pas de problème, je vais les FUBAR.
- Je vais vous envoyer les détails de cela sur e-mail. Over and out, pas de cochon, Dit-il souriant.
Je ferme la page et la machine. Je regarde sur mon lit. Mes deux frères jouent sans concentration et regardent dans notre direction.
- La partie n’est pas intéressante ou quoi?
- Tout ce bla, bla, bla c’était à propos de quoi? demande Mike.
- Juste un grandeur nature d’espionnage, répondis-je en lui souriant.
- Si c’est cela, pas de problèmes, termine-t-il avec une mine douteuse.
Nous jouons quelques parties de X-box avec les petits puis il vont dans leur chambre. Tom me regarde et rougis. Il prend ma main et m’entraîne dans la chambre de bain. Il me regarde dans les yeux sans dire un mot. Il retire mon t-shirt, je lève mes bras pour l’aider. Il ouvre ma ceinture et mes jeans. Il met un genoux par terre et enlève mes chaussettes. Tout le long de ces activités, mon cœur bat comme si je courais. Je ne pouvais pas croire qu’un gars que j’avais appris à aimer beaucoup me déshabillait, me désirait. Je suis dur comme une barre de fer. J’ai des larmes dans les yeux et un nœud dans la gorge. Je sors de mes jeans, l’attrapant par les épaules je le relève.
Avec mes mains tremblantes je déshabille de la même façon qu’il m’a déshabillé. J’accroche l’élastique de se son sous-vêtement avec mes doigts. Je regarde dans ses yeux, il fait signe que oui avec la tête. Son pénis semble dur comme de la pierre, environ 18cm comme le mien, il est plutôt épais et sur son corps plus mince et moins large que le mien, c’est impressionnant. Je reste sur un genou, je tire sur son prépuce pour mieux voir son gland, j’embrasse la fente de celui-ci. Il frémit me prend par les épaules pour me relever, puis m’enlève mes boxer. Il me regarde encore et me tire sous la douche. Je lui laisse l’initiative.
Il ouvre l'eau et prend le gel. Il commence à me laver lentement, quand il me lave le pénis, je ne peux m’empêcher de donner quelques coups de hanches. Il me lave les fesses, ce n’est pas trivial mais c’est tendre. Il finit et se tient devant moi les mains à ses côtés. Je prends le gel et le lave. Quand je lave ses testicules et son pénis, je suis près d’exploser. Je dois respirer profondément pour me calmer. Je me relève et le prends dans mes bras. Je sens son membre rigide sur le bas de mon abdomen, le mien se frotte sur son abdomen. Il murmure à mon oreille:
- On se sèche et le lit, pas de hamac ce soir.
Nous sortons de la douche. Tout le temps que nous nous séchons, mes yeux restent sur lui. Nos pénis laissent échapper de grande quantité de lubrifiant. Arrivé dans la chambre, je barre la porte et le regarde: il est sur le lit, les couvertures poussées sur le côté. Je ferme les lumières, ouvrant la porte de la salle de bain un peu. J’embarque dans le lit sur le côté lui faisant face. Il vient directement sur moi, je l’enlace de mes bras. Il est par-dessus moi. Il m’embrasse le cou, il me regarde:
- Pouvons-nous nous embrasser? me demande-t-il.
Je l’embrasse, pointant ma langue sur ses lèvres. Il ouvre la bouche. J’aime explorer sa caverne humide. Je l’invite à me suivre. Nous arrêtons ce jeu après un long temps, nos lèvres et mentons sont humides de salive. Tout le temps que dura ce baiser, nous frottons nos pénis l'un sur l’autre. J’attrape ses fesses, le tirant sur moi. Après quelques minutes, j’éjacule et perds quasiment connaissance puis Tom éjacule à son tour.
Je me tourne sur le côté en l’embrassant. Il tombe endormi dans mes bras. Je tire la couverture sur nous et tombe endormi en tenant mon Tom sur mon cœur.