Un coup de main
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Disclaimer:
This is a work of fiction. Any resemblance of characters to actual persons, living or dead, is purely coincidental. The Author holds exclusive rights to this work. Unauthorized duplication is prohibited.
Un coup de main XXIV
Si vous n’avez pas 18 ans ou l’age légal dans le pays d’ou vous vivez veillez quitter maintenant. Ces histoires sont au sujet de garçon ou de garçons gay, si cela n’est pas de votre goût quitter maintenant. Toute ressemblance avec des personnes ou organisations existantes est purement accidentelle car ceci est une œuvre de pure fiction.Commentaire Jarvis_de_Var2001@yahoo.ca
Jarvis de Var
Un coup de main ?
Chapitre XXIV
Ce doit être le matin car le réveil se fait entendre bruyamment. Mike et Drew s’étire et se bousculent en se dirigeant vers les toilettes. Jack reste avec moi et les regarde avec le sourire.
-Jaques « Ils n’ont pas peur et font ce qu’ils veulent. J’ai encore peur, je sais que vous êtes tous la, mais j’ai peur. »
-Red « Jack tu a été prisonnier longtemps, tu n’a fait qu’obéir pour survivre, je comprend que tu ai de la difficulté. A chaque fois que décide de quelque chose tu met ta vie en danger, c’est ce que tu doit sentir. »
-Jaques « Je pense que c’est comme tu dit, je pense a toi et a Tom comme mes Maîtres et vous me donnez l’ordre d’être comme les autres. Je regarde Drew et Mike pour savoir c’est quoi être comme les autres. J’aimerais bien être vraiment comme les autres. »
-Red « Souri moi, tu es très bien. Plus d’un ans d’esclavage, perdre tes parents, ça ne se guéri pas en une fin de semaine. Être encore capable de s’amuser et de faire confiance a quelqu’un, tu fait preuve d’une grande résistance. Nous t’aimons tous, nous voulons que tu soit heureux. Parle a ton thérapeute, il est tenu au secret, parle lui de tout. S’il a de la difficulté avec ce que tu lui dit j’irai lui dire que c’est vrai. »
Mes deux petits sont debout dans le cadre de porte de la salle de bain, ils nous regardent en souriant. Ils approchent de Jack et le prennent dans leur bras en le chahutant un peu. Jack retrouve son sourire. Nous procédons a nos ablutions matinale, je m’habille tandis que les trois compères s’amusent sous la douche. En entrant dans la salle de bain.
-Red « Dépêchez vous les gars, dans dix minutes en bas pour déjeuner et départ pour l’école dans trente minutes. »
Les parents nous embrassent, nous déjeunons puis partons pour l’école. Nous arrêtons pour laisser Drew a son école et Mike et moi entrons avec Jack au bureau de la secrétaire pour prendre son horaire de cours s’il est prêt. Elle lui remet son horaire et nous l’accompagnons à sa première classe. Nous lui souhaitons une bonne journée. Il nous fait un petit sourire entrant dans sa classe. Mike et moi marchons vers notre école pour ensuite nous séparer dans la cour. Les classes se passent sans problème mais j’ai droit au premier questionnement sur ma sexualité de la part de Louis. Nous nous croisons dans un corridor.
-Louis « Red veux-tu venir avec moi dans la salle des proffs ? »
-Red « Oui, c’est a quel sujet ? »
-Louis « J‘ai entendu des bruits qui courent a ton sujet et je voulait t’en avertir. »
Nous marchons vers la salle des proffs en parlant.
-Red « Oui je suis homosexuel, déçu ? »
-Louis « Non ce ne sont pas mes affaires, et même si j’était concerné cela ne me ferais ni chaud ni froid. »
-Red « Merci Louis, je suis content que tu accepte les gays tu sais que j’ai de l’amitié pour toi. J’ai un ami nous sommes ensemble depuis sept mois déjà.»
Nous discutons pendant une quinzaine de minutes pour finir il me dit que si un des proffs fait preuve de discrimination envers moi que je peux lui en parler il fera ce qu’il peu. Le reste de la journée se passe sans problèmes si quelque chose a changé c’est que je suis moins seul à l’école qu’avant. Mike et ses amis mangent avec moi a la café. Au cours des jours suivant lentement d’autres s’ajoutent a notre tablé. Ils demandent a Mike si je vais les battre s’il viennent a notre table. Mike leur dit qu’ils sont ridicules, qu’un chien qui grogne ne mord pas. Mon frère est un gros ours, il est lent a la colère mais ne tolère pas l’intolérance et c’est lui qui le dit. Le vendredi Tom et moi nous rejoignons au cours de japonais. Tom me prend la main et me reçois chaleureusement me demandant de mes nouvelles. Je lui dit que notre relation est connue a mon école et que ce n’est pas si terrible que cela. Je lui demande ce qu’il en est pour sa part ? Il me répond qu’à part Rick, il s’est fait taquiné sans plus. Me souriant il me dit qu’il s’est fait faire des avances par de jolis garçons, il y est resté indifférent car ils n’étaient pas des mauvais garçons. Nous nous assoyons et assistons au cours. Nous profitons de notre fin de semaine ensemble. Pendant la journée nous somme avec les petits cette fin de semaine Seth est avec nous pour connaître notre nouveau frère. Jack me semble heureux d’avoir tant de gens autour de lui. Nous allons au cinéma puis a la piscine nous rentrons tous vers 19 :30H fatigué mais content de notre journée. En arrivant l’odeur de la bouffe assaille nos narines. Le commandant nous envoie nous débarbouiller avent le repas. Jack la complimente sur le repas, vers la fin de celui-ci il cogne des clous. Père le transporte dans sa chambre et les parents le borde, Drew ne nous suis pas il reste dans la chambre avec Jack. Seth et Mike nous accompagne pour jouer sur les ordinateurs. Tant qu’à nous nous écoutons de la musique lover ensemble sur la causeuse. Tom s’endors entre mes bras, je lui caresse le visage sans m’en rendre compte. Mike met la main sur mon épaule et me souhaite bonne nuit, Seth fait de même. Je leur souris et leur souhaite une bonne nuit aussi et leur demande de fermer les lumières en partant. Je ne veux pas déranger mon ange et relaxe en l’enlaçant. Je ne sais combien de temps plus tard, je sens Tom qui tente de quitter mes bras. Je lui caresse le visage.
-Tom il y a une urgence dans sa voix. « Pipi vite. »
Je ricane un peu et le libère, il trotte rapidement vers les toilettes. En revenant il me gronde disant que je ne suis pas raisonnable et que mes côtes ne guérirons pas avec autant de pression sur elles. Je lui rétorque que mon amour pour lui soutient mes côtes mieux que les bandes adhésives et que pour l’avoir dans mes bras je suis prêt a bien des choses. Il fond dans mes bras, dieu que je l’aime. Il m’attire dans le lit et se place a ma gauche se blotti contre moi m’embrassant l’épaule.
-Tom « Bonne nuit mauvais garçon. »
-Red « Bonne nuit mon ange. »
Il se colle encore plus sur moi si possible et soupire en s’endormant. Nous passons un bon week-end. Dans les semaines qui suivent les choses se tassent, un des garçons qui menais une cabale contre moi a eu une mauvaise surprise. J’ai fait faire des enregistrements de ce qu’il disait a mon endroit et je les aient lui et ses parents poursuivis conjointement au civil pour diffamation et atteinte a la réputation. Quand ses parents ont reçu le bref de comparution, mes parents ont tout de suite reçu un coup de téléphone leur demandant d’arrêter les poursuites. Mon père leur a rétorqué que c’était moi qui payais mes avocats et qu’ils devaient négocier avec moi. Il leur a conseiller d’agir rapidement car a ce qu’il savait j’en étais a neuf cent dollars de frais d’avocat. La même journée je reçoit un coup de téléphone.
-M. Dumontier « Bonjour est-ce que je parle a Reginald Devars ? »
-Red « Oui a qui ai-je affaire ? »
-M. Dumontier « Je suis le père de Roger. »
-Red « Ha ! oui l’homophobe. »
-M. Dumontier « Écoutez ce n’est pas si grave que cela, il n’y a pas eu de réel dommage. »
-Red « Ce n’est pas l’avis de mon avocats, d’ailleurs il est spécialiser dans ce genre de cause. Il travaille pour la ligue des droits et libertés. Je suppose que vous connaissez ! »
-M. Dumontier « Voulez-vous que l’on en parle ou je perd mon temps. »
-Red « Nous allons parler… Chez moi dans mon loft, jeudi dans trois jours, je vous recevrez a 19 :30. Cela vous convient ? »
-M. Dumontier « Il vas bien falloir que cela me convienne. A jeudi prochain bonsoir. »
-Red « Bonsoir M. Dumontier, vous saluerez Roger de ma part. »
Dès que je raccroche, je m’installe a mon ordi pour envoyer un courriel a Axe lui demandant un détecteur de micro et de bugs, avant jeudi si possible. Axe vient pour me prêter le matériel que j’ai demandé et me montre comment m’en servir. Je téléphone a Tom pour l’inviter au caucus avec le père de Roger. Au début Tom est un peu hésitant mais quand je lui expose mon plan il accepte. J’espère décourager les red neck de mon école pour un certain temps. Le jeudi après-midi nous arrivons a la maison ensemble tout les cinq. Après la collation nous faisons tous nos travaux scolaire et nous retrouvons a deux puis quatre pour transformer une étude qui pourrais paraître contraignante en jeu. Jack aime cette période de l’étude et anticipe même son heure de rattrapage. Il aime beaucoup les sciences et la géographie, les mathématique le laisse indifférent. Nous mangeons rapidement pour Tom et moi nous rendrent a notre loft. Je fait expert et met du Dead Kennedy’s. Nous nous assoyons dans le salon attendant notre visite. Finalement quelqu’un sonne a la porte avant. Un homme dans la quarantaine ayant un certain embonpoint est a la porte, les petits le regarde de la porte de la maison. Drew particulièrement le regarde sans aucune sympathie. Il fait a peine cinq pieds six pouces ( 1,67m), il est sévèrement dégarni mais a un air sympathique.
-Red « Bonsoir M. Dumontier je suis Reginald et voici mon compagnon Thomas. »
-Dumontier « Bonsoir désolé de vous rencontrer dans de telle circonstances. »
-Tom « Donnez-vous la peine d’entré monsieur. »
L’homme entre dans le loft et semble surpris de l’aspect de notre loft. Il fixe quelques secondes les kimonos et les armes secondaires, il examine l’appartement des yeux.
-Dumontier « C’est a vous, sérieusement. »
Avant de répondre je sort d’un tiroir le détecteur de microphone tandis que Tom prend le détecteur de Bug.
-Red « Clean, pas de micro. »
-Tom « Clean, pas de transmetteur. »
-Dumontier nous regarde légèrement effaré. « Vous êtes sérieux ? »
-Red lui mettant le détecteur dans la main. Je vais cherché mon enregistreuse numérique. « Testez cet appareil si vous voulez. Oui c’est a nous, nous sonnons des cours d’Aikibudo et participons a des compétitions de combat extrême. Nos activités sont payantes. Votre fils tente de salir ma réputation ce qui pourrais nuire a mon travail. Je suis homosexuel et la seule personne que je moleste est mon amant. » Je regarde Tom en souriant. « Cette année je déclarerais environ soixante-dix mille dollar de revenu le juge en tiendra compte. Outre le stress et les dommages moreaux.»
-Dumontier avale avec difficulté. « Bon que voulez-vous ? »
-Tom « Que votre fils donne, pas vous votre fils qu’il trouve un travail si n’en a pas un, verse cinq cent dollar a Amnistie international. C’est la première condition. »
-Red « Deuxièmement , qu’il lise devant les étudiant assemblé un texte que j’ai écrit ou il déclare qu’il a agit comme un imbécile et ne mérite pas l’éducation qu’il reçoit a notre école en démontrant une intolérance inadmissible et une ignorance crasse, le texte stipule qu’il s’excuse auprès des étudiants qu’il a offensé. N’oubliez pas monsieur qu’il y a un dixième de la population qui sont gay ou lesbienne. Donc sur deux mille étudiant il en a insulté deux cent. »
-Dumontier fronçant les sourcils. « Mais c’est seulement une erreur de jugement cela ne mérite pas une tel humiliation. »
-Red « S’il s’était acharné sur quelqu’un qui était comme presque tout les autre étudiants, quelqu’un qui n’avait pas les moyens de se défendre il aurait fait de sont temps à l’école un enfer. Malheureusement pour vous, il s’est attaqué a nous et nous avons les moyens de nous défendre et de vous causer d’ample problèmes. Je n’ai que faire de l’argent que je réclame mais il doit comprendre que tout se paye le bien comme le mal. »
-Dumontier suant légèrement. « Bien messieurs je comprend votre point de vue, je suis déçu que nous puissions arrivé a une entente, je vous donnerai des nouvelles de ce que nous comptons faire sous peu. Bonne soirée. »
M. Dumontier quitte assez rapidement, il a l’air très préoccupé. Je montre à Tom, ce que son fils aura a lire devant l’école réuni en assemblé générale pour entendre ses excuses pour les mensonges qu’il a colporté sur moi et sur les gays en générale.
-Red « Qu’en pense-tu, trouve-tu que le texte est trop dur ? »
-Tom « Pense-tu qu’il aurait hésité a harceler quelqu’un d’inoffensif ? »
-Red « Ok mon beau Punky on ne change rien. »
Le lundi suivant en arrivant a l’école je vois M. Dumontier son fils et son avocat qui m’attendent au bureau du directeur. Ils tentent de m’inciter a négocier avec eux. Je refuse tout net et appelle mon avocat leur signalant que mon avocat vas venir mais que je leur refilerais la note. L’avocat de la partie adverse me demande le mon de mon avocat. Je lui répond Maître Liberman, vice président de la ligue des droits et libertés. Il part avec M. Dumontier dans le corridor. Ils reviennent après quelques minutes et me demande si M. Liberman est déjà en route. Je leur répond que oui il m’a garantie que ma cause étais prioritaire dans sa pratique. Je ne dit pas que j’ai fait un dépôt de dix mille dollar. Vingt minutes après l’appel M. Liberman arrive, nous nous retirons dans le corridor. Je lui explique la situation en cinq minutes, il insiste pour que l’on reste dans le corridor pour quinze minutes. Quand nous entrons dans le bureau.
-Liberman « Quel sont vos propositions messieurs ? »
-Avocat « M. Roger Dumontier accepte de versé cinq cent dollar en don pour l’organisation Amnistie international. Il voudrait avoir la copie du texte qu’il aurait a lire de façon publique avant d’accepter. »
-Liberman « Il n’y a pas de problème nous allons envoyer quelqu’un cherché une copie du texte, n’oublier pas que c’est vous qui avec exiger de transiger maintenant et de ce fait causez des dépenses supplémentaire a mon client. Celui-ci se réserve le droit de réclamer mes honoraires encouru du au fait de cette réunion impromptu et imposer unilatéralement. »
J’appel Mike et l’envoie cherché le texte sur mon ordinateur je lui indique dans quel fichier et lui donne le code d’ouverture. Mike revient au bout de vingt minutes. Il me remet les feuilles, incidemment je vois qu’il assassine Roger des yeux. C’est un texte d’une page et demi. Roger le lit et fait non de la tête. Leur avocat et son père le conduise dans le corridor. Ils discutent pendant plus de quinze minutes et nous entendons les voix s’élever plusieurs fois. Ils entrent, Roger a l’air enragé. L’avocat nous dit qu’ils acceptent.
-Liberman « Voici le contrat de l’entente que je vous soumet, vous y verrez une clause stipulant que le texte doit être lu de manière a satisfaire M. Devar, si M. Devar n’agrée pas la lecture sera considéré nul et non avenu et la partie lésé se réserve le droit de poursuivre. Si M. Devar agrée il signera ce deuxième document qui stipule qu’il est satisfait du repentir de M. Roger Dumontier et renonce a le poursuivre comme il le mériterais et lui pardonne inconditionnellement outre l’obligation de faire le don de cinq cent dollar a l’organisme Amnistie international.
-Roger « Non criss de tapette… »
-Avocat « Taisez vous, plus un mot. » L’homme a l’air en colère. « Suivez moi maintenant. »
M. Dumontier pousse son fils vers la porte et ils sortent tous. Ils parlent fort et nous entendons, qu’il s’est crisser dans la merde et que s’il n’arrête pas immédiatement qu’il sera dans la merde aussi avec son père. Liberman se frotte littéralement les mains, il me dit que c’est dans la poche. Une demi heure plus tard ils reviennent dans la salle. Roger ne regarde personne. L’avocat des Dumontier me demande quand j’aimerais que la lecture sois faite ? Mon avocat me regarde. Je leur répond que je les informerais après que j’aurais rencontré le directeur de l’école. Ce sera probablement le midi a la cafétéria de l’école sur une estrade avec de l’amplification pour qu’il soit bien vue et entendu. Ha oui j’aimerai que Roger accepte d’être filmé. Roger rougi de rage je crois pas de gêne. Son avocat lui pose la question il répond avec beaucoup d’hésitation oui en crachant le mot. M. Liberman et moi nous rendons au bureau du directeur, qui soit dit en passant est loin d’être heureux de tout ces conflits qui troublent son école, nous convenons vue que l’école a failli a son obligation de me protégé de manœuvres malicieuses étant fait sur des lieux étant de sa responsabilité. Liberman engage le directeur a mettre la cafétéria et a mettre une estrade a notre disposition. Nous amènerons le system d’amplification nécessaire a l’acte de contrition de Roger Dumontier. Les téléphones sont fait et les arrangements sont pris. Nous convenons du lundi pour la lecture. Je téléphone a M. Dumontier.
-Red « M. Dumontier lundi prochain a midi, dans la cafétéria. Monsieur voulez-vous dire a Roger qu’il a eu tord, qu’il a agit comme un imbécile, mais que je sais qu’il n’est pas un imbécile. Il peut faire beaucoup de tort en se fiant au quand dira t’on. Pour ma part je n’ai jamais imposer mes goût a qui que ce soit et je crois que Roger s’éviterais bien des problèmes s’il faisait de même. »
-Dumontier « Merci Réginald, Roger vas trouver cela très dur, mais j’espère qu’il vas pensé avant d’ouvrir sa grande trappe. »
Le lundi suivant, je demande a Mike de ne pas manger a la cafétéria. Plusieurs personnes vont se réjouir de l’humiliation de Roger et j’aimerais qu’il n’y participe pas. De mon côté je vais vérifié si c’est fait comme je le veux, prendre possession de l’enregistrement et si c’est a mon goût lui donner le papier l’exonérant suite a ses excuses. Mike semble un peu déçu mais amène son lunch avec lui. Je rejoins Roger a l’entré de la cafétéria. Il n’a pas l’air de bonne humeur et je le comprend mais s’il est la c’est de sa faute.
-Red « Prêt pour tes excuses officielles ? »
-Roger me fixant de façon très peu aimable. « Oui je sais ce que j’ai a faire. »
-Red « Monte sur l’estrade et attend mon signal, ce ne sera pas long au plus une dizaine de minutes avant que tu puisse te débarrasser de cette corvée si tu la fait bien. Si tu ne t’acquitte pas bien de ta tache tu aura le déplaisir de me revoir et je pense que ton père vas t’en vouloir. »
-Roger soupire. « Je vais le faire. »
Il monte sur l’estrade et attend patiemment. La cafétéria se remplie assez rapidement, les gens fixe le garçon sur l’estrade, certain font des commentaires des plus désobligeant a son endroit, ce qui c’est passé entre nous est connue de la grande majorité des étudiants. Quelques étudiants et étudiantes ouvertement gay et lesbienne tout au plus une dizaine et ce sont des extravertis, vraiment pas ma tasse de thé, lui disent qu’il a frappé un nœud, qui en a qui ont le moyen de se tenir debout, etc. Une fois la salle bien remplie je lui fait signe en commencent l’enregistrement. L’amplification est bonne on entend que sa gorge est serré, il garde un calme apparent son front est perlé de sueur et le dessous de ses bras s’assombri. Il termine rapidement sa lecture puis regarde dans ma direction. J’arrête l’enregistrement et lui fait signe de venir. Je lui tend le papier signer et en garde une copie qu’il contre signe comme étant lu et approuvé. Il quitte rapidement la café. Le reste de la journée se passe sans heurt. Les gays qui paradais devant Roger essaient de me parler, je leur répond que ce n’est pas l’endroit et que j’ai des choses a faire. Je rejoins Mike et partage son dîner.
-Mike « Tu a l’air triste ça na pas été a la café ? »
-Red « Je n’aime pas faire ce que je viens de faire. » Je lui entoure les épaules de mon bras. « J’aurais aimé pouvoir lui expliqué mais les apriorismes aveuglent les gens et les empêche de réfléchir. J’espère qu’il n’y aura pas d’enfantillage comme cela au CEGEP.»
-Mike « Hé ! Samouraï je t’aime. »
-Red « Canaille tu a fait parlé Jack. »
-Mike « Si les autres connaissaient ton cœur, ils ne te ferais pas des choses comme cela. C’est si mesquin de s’objecté a la personne que tu aime. Thomas est si gentil vous êtes beau ensemble. »
-Red « Merci Mike. Bon nous avons cette journée a finir et des cours a suivre ce soir. »
Nous finissons la journée si quelque chose a changé c’est que l’on me laisse encore plus a moi-même. De toute façon je n’ai jamais été bon avec les groupe et puis j’ai la famille et j’ai mon ange. Mike et moi marchons rapidement vers l’école de nos deux compères. Nous rejoignons la maison, après les travaux et le repas c’est la course pour arrivé au Dojo. En quelques semaines les changement chez Jack sont des plus évident. Il se tiens plus droit a une allure plus fière. Il s’immerge tellement que je doit lui rappeler qu’entre nous il est connu, accepté et qu’il peut descendre sa garde. Il est mignon, il m’écoute attentivement, me sourit et me salut d’une inclinaison du torse en me disant oui Maître, puis m’enlace pour me montrer qu’il a compris. Il prend très au sérieux le code du Bushido, Tom et moi avons du lui lire le livre de William Scott Wilson, "Ideals of the Samurai: Writings of Japanese Warriors" (Kodansha, 1982), c’est en anglais et nous devons nous résoudrent a lui traduire, il subtilise les pages que nous imprimons a tout les jours. Il nous demande comme une grande faveur de lui traduire le livre d’Allyn, John, "FORTY-SEVEN RONIN STORY " avant que nous partions pour le Japon. Au dojo il discute avec Ray avant et après les cours, entre autre des dernières parole de Torii Motoda. Il me parle souvent de son honneur et du fait qu’il doivent me prouver sa valeur. Je le serre sur moi et lui dit qu’il n’a rien a me prouver, de rester vivant est souvent plus difficile que de mourir. Pour mourir tu n’a qu’a laissé aller ou a ne pas tenir compte des signaux que t’envoie ton corps. J’ai failli mourir pour finir ce que j’avais commencer et ce n’était pas urgent. Ce n’était pas très intelligent. Il me sourit en mettant la main sur mon thorax.
-Jaques « Tu parle quand tu es venu nous donner a manger et que tu m’a apporté un 7up. » Il appuis la tête sur moi. « Quand tu m’a donné cette canette de soda, tu es sorti de ma cellule sans me demander quoi que ce soit, j’ai regarder la canette puis je t’ai regardé faire sortir Jeannine et tu a donner a manger au autres. J’ai voulu être avec toi pour toujours, même masqué, même tout en noir j’ai senti que tu avais mal pour moi. Quand j’ai vu le sang j’ai perdu conscience, je suis revenu a moi quand ton ami Thomas ton soigneur ta recousu et s’est lui qui m’a dit que tu voulais que je soit un Maître pour protégé pas pour humilier et heurté. »
-Red « Jack tu es un bon gars, tu étais trop petit quand les bâtards ton emprisonné, ton honneur est sauf, je ne suis pas un Samouraï, je ne sert pas un seigneur et je ne crois pas que je pourrais. Je suis un Ronin un guerrier sans seigneur. » Je lui souris. « Je sert le Devoir et la Rétribution, l’application des conséquences de toutes actions. Tu n’a jamais causé la même sommes de souffrances que celles que tu a reçu. Tu as du crédit canaille. » Je souris.
-Jaques « Merci Red, tu sais que j’aime pap et le commandant mais dans mon cœur il y a une place spéciale pour toi et Tom. » Souriant. « Quand tu reviendra du Japon tu sera fier de moi. Cet été Drew et moi irons au Dojo cinq fois semaine je serai digne de toi. Mon samouraï. »
-Red « Je n’ai pas de seigneur. »
-Jaques « Tu es le Seigneur, mon Seigneur qui veille sur ceux qui souffrent. »
-Red « Shuuut, écoute moi c’est trop de responsabilités que d’être un Seigneur, ordonner la vie des autres je n’y crois pas. J’ordonne ma vie si je sens l’obligation d’agir pour sauver les esprits et les corps j’agit, je sais que je peu être arrêté pour mes actions, j’essaie de l’éviter mais je ne mettrais pas la vie des gens qui sont chargé de faire respecté la loi en danger. Même si la loi et la justice sont deux choses différente c’est pour cela que mes idéogrammes sont Devoir et Rétribution, pas Justice et Châtiments. La justice ne peu réglé tout elle a les limites de ses institutions, tout organisme cherche a économiser l’énergie et de ce fait est réfractaire au changement, le code est un guide et un instrument de formation quand tu l’a intégré ton âme te signale a quel moment agir sans te laisser emporté c’est la partie difficile pour moi. Mon beau Tom a une âme douce moi je suis violent, je soit discipliner mon esprit. »
-Jaques « Seigneur s’il te plais, Maître Blanc m’a dit que le seigneur ne désirant pas son poste était destiné a être un grand Seigneur car n’aimant pas sa tâche il serait prudent dans ses décisions et n’aimant pas sa position il essaierait d’intervenir le moins possible, s’il acceptais son Karma. » Il appui sa tête sur mes pieds.
-Red « Jack ne fait pas ça. » Je le relève et lui embrasse le front. « Veux-tu resté un enfant pendant un temps encore, tu n’a pas eu le temps d’être un enfant. Ris amuse toi, entraîne toi c’est correct mais prend le temps de faire des folie, soit hip hop, punk, rocker. » Je lui prend le menton. « S’il te plais sourit donne moi un coup de poing amical, taquine le commandant ou Mike amuse-toi. »
-Jaques souriant. « Ne crains pas mon gentil Samouraï j’aime la vie que vous m’offrez tous, je ne sais pas vraiment comment utiliser toute la liberté que j’ai. Quand je vais prendre des décisions me permet-tu de venir t’en parlé et nous pourrons en discuté. S’il te plait Reginald. »
Nous parlons pendant un certain temps quand l’alarme se fait entendre, Drew entre dans le loft. Il est en sous-vêtement, nous dit que si Jack reste avec moi je devrais accueillir un réfugier de plus dans mon lit. Je lui fait signe de monter dans le lit. Nous nous souhaitons bonne nuit puis constate que Jack et Drew s’endorment quasiment l’un sur l’autre. Il me semble qu’il sont bien confortable ensemble, peut-être, mais pourquoi en parler ils sont trop petit pour avoir une idée vraiment clair de leur sexualité. Quand ils dorment vraiment je leur caresse la tête et me couche. J’aimerais qu’il y ai un dieu comme celui don mes parents parlaient pour veiller sur eux, mais il n’y a que le Karma et nos actions qui engendrent les vagues que nous ne contrôlons pas toujours. Je ferme les yeux en souhaitant bonne nuit a mon ange. Au petit matin l’odeur du bacon et des œufs me tire du sommeil. Drew et Jack papotent a voix basse en préparant le déjeuner, ils mettent les couverts quand j’ouvre les yeux. Ils viennent me tirer hors du lit, je regarde l’heure, il est a peine six heure vingt. Je met du Alice Cooper pour accompagner notre déjeuner, au milieux de celui-ci l’alarme se fait entendre, avant que Mike n’entre Drew se lève pour lui mettre un couvert. Nous déjeunons tranquillement, a sept heure quinze je téléphone pour dire au commandant que moi et les petits avons déjà manger et que nous descendront vers huit heure. Tout le monde entre sous les jets de douche, tout les trois chahutent car la douche est dans un carré vitré et ils ne peuvent faire de dégâts hors de celle-ci. Je me lave puis me rend devant le lavabo pour raser les quelques poils qui ornent ma lèvre supérieur et le duvet sur les côtés de mon visage, je pratique cette activité une fois semaine et c’est plus que suffisant. Je sort m’habiller pendant que les petits s’amusent, j’entre la tête dans la salle de bain.
-Red « Les gars vous avez dix minutes avant d’avoir à aller vous habiller. »
-Mike « Met l’alarme Red s’il te plait. »
Je descend pour être accueilli par le commandant. Elle me dit que je gâte beaucoup trop mes frères et de lui laisser un peu de travail de temps en temps. Elle m’embrasse et je m’assois pour prendre un café avec les parents. Nous bavardons et parlons de mon voyage au Japon. Dans les mois qui suivent Tom devient trilingue, il parle couramment Français, Anglais et Japonais. Pour ma part je peux tenir une conversation mais mon rythme reste saccadé. Ron maintient que ce ton me donne un air autoritaire en japonais. Nous parlons de cadeaux a offrir au petit pour leur fête pendant que serons parti. Nous achetons des Kimonos de soie pour Drew et Jack nous décidons d’habiller Drew en or avec des accents rouge et Jack en rouge avec des accents or. Nous complétons l’ensemble d’un hakama noir et d’une veste noir. Pour Drew nous choisissons les sai et pour Jack des éventails de métal. Pour Mike nous achetons une éditions de luxe de Jules Verne et un bon d’achat de cinq cent dollar en librairie. Seth pour sa part une collection de DVD de la Hammer film tout les classique de Dracula et de Frankenstein. Nous nous préparons a nos examens finaux et travaillons ferme. Tom vient fréquemment étudier avec moi et nous en profitons pour aider Jack avec son rattrapage. Je demande a mon père d’accompagner Jack au examens pour autodidacte de la commission scolaire. Ils partent tout les deux de bon matin avant la fin des classe le dix-neuf de juin. Ils ne rentrent pas avant dix-neuf heure trente, ils ont l’air fatigué tout les deux mais ont un large sourire.
-Père « Tom, Red votre frère a rattraper son retard et il sera dans la même classe que Drew, j’ai eu la promesse du directeur de son école. je veux vous félicitez tout les cinq vous avez fait un travail remarquable. »
-Mère nous embrassant tout les trois. « Quand mes garçons ont quelque chose dans la tête ils s’acharnent jusqu’à ce que cela arrive. Jack vas te reposer tu doit voir ton thérapeute ce soir. »
Jack nous suis dans le loft.
-Jaques « Reginald, Thomas nous avons parler entre nous de votre départ nous allons tous nous ennuyer. Pouvons nous rester dans votre loft pendant que vous allez être parti. »
-Tom « Je n’ai pas besoin de vous rappeler pas de bordel. »
-Jaques « Aucun de nous irais laisser le loft tout croche, ce serais un manque de respect envers nos aînés. »
-Red je prend Jack dans mes bras. « Vous pouvez tous utiliser le loft et le tenir prêt a nous recevoir, mais n’oubliez pas d’avertir les parents d’ou vous allez dormir ou manger. S’ils s’inquiètent ils ne vous laisserons pas habiter le loft. »
Le vingt-deux juillet c’est ma fête et c’est la fin de l’année scolaire. Je fait mes adieux aux proffs que j’ai aimé et les remercies. Louis est émus et me serre dans ses bras. Il me souhaite bonne chance et bon voyage, il me demande de lui donner des nouvelles de temps en temps. Je lui répond que je n’oublie pas mes amis et qu’il recevras de mes nouvelles. Je vide complètement mon casier, je ne reviendrais plus dans cette école comme étudiant. Je suis un peu triste de quitter ces murs connus et ces couloir rassurant. Je me secoue le changement c’est la vie la stagnation est la mort. En chemin vers la sortie le petit que j’avais défendu l’an dernier et quelques amis de mon frère sont la avec lui et me souhaitent bon voyage. Pendant qu’ils me congratulent j’ai une boule dans la gorge, beaucoup trop émotif le mec. Je respire profondément et dit a Mike qu’il est temps d’aller cherché les autres.
-Mike « Ça vas mieux Red ? »
-Red « De quoi parle-tu ? »
-Mike « Quand je t’entend respirer comme ça c’est habituellement que tu contrôle tes émotions. »
-Red « Pris sur le fait ! J’ai été émus, c’était très gentils de votre part a tous de venir me saluer comme ça. »
Nous passons cherché les deux autre, je vois bien que les trois compères se retiennent de parler et sont plutôt silencieux. Nous arrivons a la maison rien à signaler, pas de préparatif de fête en vu. Que mijote-ils ? Le mieux est de ne pas se poser de questions et de faire comme d’habitude. Je salut le commandant et prend ma collation, puis j’entre au loft suivi par Drew et Jack. Nous faisons quelques travaux pas moi mais les petits, moi j’ai fini mon année scolaire. Je les aide et les taquine, Jack me semble être en manque d’affection il n’arrête pas de me toucher, merde quel imbécile je fait je quitte dans trois jours. Je suis anxieux de partir mais mes frères et surtout Jack peuvent appréhender cet événement.
-Red « Jack vient ici et toi aussi Drew. » Je les serre sur moi. « Je vais partir bientôt pour quelques mois mais je vous promet de revenir. »
-Jaques « Je sais que c’est niaiseux mais essaie de ne pas voyager en voiture. » Il a les yeux qui luisent d’humidité. « Je suis capable de t’attendre sans problème. »
-Drew « Oui nous somme triste et heureux pour vous deux, ça vas faire drôle de ne plus vous voir ou de sortir sans vous. De ne pas pouvoir venir nous réfugier chez toi quand nous ne nous sentons pas bien ou légèrement anxieux ou bien pour le plaisir d’être tous ensemble. » Il me sourit et appuis sa tête sur nom épaule.
-Red sachant que cela vas arrivé de plus en plus souvent. « Même si je ne suis pas la physiquement vous êtes tous dans mon cœur. Vous avez tous une place spéciale en moi, vous êtes les trésors que personne ne peu m’enlever. » Je les embrassent et les serre sur moi. « Mike n’est pas venu avec vous deux ? »
-Drew « Il nous a dit que s’il te parlait maintenant il se mettrais a brailler comme un veau. »
La porte s’ouvre sans que l’alarme se fasse entendre c’est Tom. Il entre et vient s’asseoir près de nous en souriant.
-Tom « Bonne fête mauvais garçon, dans deux jour cela vas faire un ans que nous sommes ensemble. »
Je lâche les petits qui s’écartent en souriant. J’approche de Tom qui se lève pour m’accueillir. Nos lèvres se rencontrent presque violemment, Tom passe la langue sur mes lèvres. La mienne la rejoint et elles commence a danser, je serre fortement mon ange entre mes bras le caressant de la tête a son joli postérieur. Je ne sais ce qu’il essaye de me dire mais sa prononciation est exécrable. J’entend la porte du loft qui se referme doucement. Nous nous regardons un peu hors de souffle. Il me demande comment on se sent à seize ans. Le regardant dans les yeux mieux qu’à quinze car l’an dernier a pareille date je pensais ne plus jamais te revoir. Cela a été un très pénible semaine, après que tu m’ai parlé a ma fête tout c’est éclairé, ensuite plus tard tu m’a attirer sous la douche pour abuser de moi. Épais tu aurais du voir ton visage quand tu t’es aperçu que je te déshabillais. L’alarme se fait entendre, c’est le commandant qui nous convis a descendre manger. Arrivant a la cuisine je reçois un choc, outre ma famille et la famille de Tom, Ray, Louis, Sophie, Annie, Ron et Kanéda. Ils me chantent tous bonne fête. L’émotion me serre la gorge, je souris Tom me prend la main, tous me félicite puis nous mangeons. Je souris sans vraiment enregistrer ce qui se passe autour de moi, Louis me donne un ensemble de plume et porte mine Mont Blanc mon nom est inscrit sur ceux-ci. Nos parents m’offrent un ensemble de valises et un portable de dernière génération. Mes trois frères m’offrent un album avec leur photos et celles des parents, ils ont fait faire pour l’événement une série de photos de Jack et de Drew au dojo et a la maison. Sophie et sa compagne m’offrent un enregistrement de la gang qui me souhaitent bon voyage. Ron et Kanéda nous offrent un livre d’étiquette illustré. Ray se lève et me remet un rouleau scellé et me dit de le remettre a M. Takéda senior au dojo et de ne pas oublier celui qui nous a été remis à Burlington. Il remet a Tom et a moi les papier pour que nous puissions apporter nos armes avec nous. Quand tout a été distribué le commandant me dit que le scénariste qui était venu nous voir a quelques reprise m’a laisser un paquet. Elle me donne une boite assez grande envelopper dans du papier brun. Deux téléphone satellite, une note nous informe que la note est prise en charge pour une ans, cet appareil vous permettra de garder le contact avec vos parents et si nous avons besoin urgent de cascadeurs de votre gabarit nous pourrons vous contacté. Bonne vacance Sam et Axe. Je maintient mon contrôle mais suis incapable de parler pour quelques minutes, Tom sentant mon désarrois prend le plancher et parle avec animation. Au bout de quelques minutes qu commence a remercier tout le monde. Je leur parle tous un après l’autre. Louis me dit qu’il tenait a me saluer personnellement, il me dit qu’il admire mon courage et ma détermination et de ne jamais laisser qui que ce soit mettre en doute la qualité de ma personne. M. Blanc parle beaucoup avec nos parents, il les rassurent tant qu’a la sécurité au Japon et plus particulièrement au Dojo. Avant de partie Ray nous approche et suggère a Tom d’apporter avec lui son matériel de premier soin.
Jarvis de Var
Un coup de main ?
Chapitre XXIV
Ce doit être le matin car le réveil se fait entendre bruyamment. Mike et Drew s’étire et se bousculent en se dirigeant vers les toilettes. Jack reste avec moi et les regarde avec le sourire.
-Jaques « Ils n’ont pas peur et font ce qu’ils veulent. J’ai encore peur, je sais que vous êtes tous la, mais j’ai peur. »
-Red « Jack tu a été prisonnier longtemps, tu n’a fait qu’obéir pour survivre, je comprend que tu ai de la difficulté. A chaque fois que décide de quelque chose tu met ta vie en danger, c’est ce que tu doit sentir. »
-Jaques « Je pense que c’est comme tu dit, je pense a toi et a Tom comme mes Maîtres et vous me donnez l’ordre d’être comme les autres. Je regarde Drew et Mike pour savoir c’est quoi être comme les autres. J’aimerais bien être vraiment comme les autres. »
-Red « Souri moi, tu es très bien. Plus d’un ans d’esclavage, perdre tes parents, ça ne se guéri pas en une fin de semaine. Être encore capable de s’amuser et de faire confiance a quelqu’un, tu fait preuve d’une grande résistance. Nous t’aimons tous, nous voulons que tu soit heureux. Parle a ton thérapeute, il est tenu au secret, parle lui de tout. S’il a de la difficulté avec ce que tu lui dit j’irai lui dire que c’est vrai. »
Mes deux petits sont debout dans le cadre de porte de la salle de bain, ils nous regardent en souriant. Ils approchent de Jack et le prennent dans leur bras en le chahutant un peu. Jack retrouve son sourire. Nous procédons a nos ablutions matinale, je m’habille tandis que les trois compères s’amusent sous la douche. En entrant dans la salle de bain.
-Red « Dépêchez vous les gars, dans dix minutes en bas pour déjeuner et départ pour l’école dans trente minutes. »
Les parents nous embrassent, nous déjeunons puis partons pour l’école. Nous arrêtons pour laisser Drew a son école et Mike et moi entrons avec Jack au bureau de la secrétaire pour prendre son horaire de cours s’il est prêt. Elle lui remet son horaire et nous l’accompagnons à sa première classe. Nous lui souhaitons une bonne journée. Il nous fait un petit sourire entrant dans sa classe. Mike et moi marchons vers notre école pour ensuite nous séparer dans la cour. Les classes se passent sans problème mais j’ai droit au premier questionnement sur ma sexualité de la part de Louis. Nous nous croisons dans un corridor.
-Louis « Red veux-tu venir avec moi dans la salle des proffs ? »
-Red « Oui, c’est a quel sujet ? »
-Louis « J‘ai entendu des bruits qui courent a ton sujet et je voulait t’en avertir. »
Nous marchons vers la salle des proffs en parlant.
-Red « Oui je suis homosexuel, déçu ? »
-Louis « Non ce ne sont pas mes affaires, et même si j’était concerné cela ne me ferais ni chaud ni froid. »
-Red « Merci Louis, je suis content que tu accepte les gays tu sais que j’ai de l’amitié pour toi. J’ai un ami nous sommes ensemble depuis sept mois déjà.»
Nous discutons pendant une quinzaine de minutes pour finir il me dit que si un des proffs fait preuve de discrimination envers moi que je peux lui en parler il fera ce qu’il peu. Le reste de la journée se passe sans problèmes si quelque chose a changé c’est que je suis moins seul à l’école qu’avant. Mike et ses amis mangent avec moi a la café. Au cours des jours suivant lentement d’autres s’ajoutent a notre tablé. Ils demandent a Mike si je vais les battre s’il viennent a notre table. Mike leur dit qu’ils sont ridicules, qu’un chien qui grogne ne mord pas. Mon frère est un gros ours, il est lent a la colère mais ne tolère pas l’intolérance et c’est lui qui le dit. Le vendredi Tom et moi nous rejoignons au cours de japonais. Tom me prend la main et me reçois chaleureusement me demandant de mes nouvelles. Je lui dit que notre relation est connue a mon école et que ce n’est pas si terrible que cela. Je lui demande ce qu’il en est pour sa part ? Il me répond qu’à part Rick, il s’est fait taquiné sans plus. Me souriant il me dit qu’il s’est fait faire des avances par de jolis garçons, il y est resté indifférent car ils n’étaient pas des mauvais garçons. Nous nous assoyons et assistons au cours. Nous profitons de notre fin de semaine ensemble. Pendant la journée nous somme avec les petits cette fin de semaine Seth est avec nous pour connaître notre nouveau frère. Jack me semble heureux d’avoir tant de gens autour de lui. Nous allons au cinéma puis a la piscine nous rentrons tous vers 19 :30H fatigué mais content de notre journée. En arrivant l’odeur de la bouffe assaille nos narines. Le commandant nous envoie nous débarbouiller avent le repas. Jack la complimente sur le repas, vers la fin de celui-ci il cogne des clous. Père le transporte dans sa chambre et les parents le borde, Drew ne nous suis pas il reste dans la chambre avec Jack. Seth et Mike nous accompagne pour jouer sur les ordinateurs. Tant qu’à nous nous écoutons de la musique lover ensemble sur la causeuse. Tom s’endors entre mes bras, je lui caresse le visage sans m’en rendre compte. Mike met la main sur mon épaule et me souhaite bonne nuit, Seth fait de même. Je leur souris et leur souhaite une bonne nuit aussi et leur demande de fermer les lumières en partant. Je ne veux pas déranger mon ange et relaxe en l’enlaçant. Je ne sais combien de temps plus tard, je sens Tom qui tente de quitter mes bras. Je lui caresse le visage.
-Tom il y a une urgence dans sa voix. « Pipi vite. »
Je ricane un peu et le libère, il trotte rapidement vers les toilettes. En revenant il me gronde disant que je ne suis pas raisonnable et que mes côtes ne guérirons pas avec autant de pression sur elles. Je lui rétorque que mon amour pour lui soutient mes côtes mieux que les bandes adhésives et que pour l’avoir dans mes bras je suis prêt a bien des choses. Il fond dans mes bras, dieu que je l’aime. Il m’attire dans le lit et se place a ma gauche se blotti contre moi m’embrassant l’épaule.
-Tom « Bonne nuit mauvais garçon. »
-Red « Bonne nuit mon ange. »
Il se colle encore plus sur moi si possible et soupire en s’endormant. Nous passons un bon week-end. Dans les semaines qui suivent les choses se tassent, un des garçons qui menais une cabale contre moi a eu une mauvaise surprise. J’ai fait faire des enregistrements de ce qu’il disait a mon endroit et je les aient lui et ses parents poursuivis conjointement au civil pour diffamation et atteinte a la réputation. Quand ses parents ont reçu le bref de comparution, mes parents ont tout de suite reçu un coup de téléphone leur demandant d’arrêter les poursuites. Mon père leur a rétorqué que c’était moi qui payais mes avocats et qu’ils devaient négocier avec moi. Il leur a conseiller d’agir rapidement car a ce qu’il savait j’en étais a neuf cent dollars de frais d’avocat. La même journée je reçoit un coup de téléphone.
-M. Dumontier « Bonjour est-ce que je parle a Reginald Devars ? »
-Red « Oui a qui ai-je affaire ? »
-M. Dumontier « Je suis le père de Roger. »
-Red « Ha ! oui l’homophobe. »
-M. Dumontier « Écoutez ce n’est pas si grave que cela, il n’y a pas eu de réel dommage. »
-Red « Ce n’est pas l’avis de mon avocats, d’ailleurs il est spécialiser dans ce genre de cause. Il travaille pour la ligue des droits et libertés. Je suppose que vous connaissez ! »
-M. Dumontier « Voulez-vous que l’on en parle ou je perd mon temps. »
-Red « Nous allons parler… Chez moi dans mon loft, jeudi dans trois jours, je vous recevrez a 19 :30. Cela vous convient ? »
-M. Dumontier « Il vas bien falloir que cela me convienne. A jeudi prochain bonsoir. »
-Red « Bonsoir M. Dumontier, vous saluerez Roger de ma part. »
Dès que je raccroche, je m’installe a mon ordi pour envoyer un courriel a Axe lui demandant un détecteur de micro et de bugs, avant jeudi si possible. Axe vient pour me prêter le matériel que j’ai demandé et me montre comment m’en servir. Je téléphone a Tom pour l’inviter au caucus avec le père de Roger. Au début Tom est un peu hésitant mais quand je lui expose mon plan il accepte. J’espère décourager les red neck de mon école pour un certain temps. Le jeudi après-midi nous arrivons a la maison ensemble tout les cinq. Après la collation nous faisons tous nos travaux scolaire et nous retrouvons a deux puis quatre pour transformer une étude qui pourrais paraître contraignante en jeu. Jack aime cette période de l’étude et anticipe même son heure de rattrapage. Il aime beaucoup les sciences et la géographie, les mathématique le laisse indifférent. Nous mangeons rapidement pour Tom et moi nous rendrent a notre loft. Je fait expert et met du Dead Kennedy’s. Nous nous assoyons dans le salon attendant notre visite. Finalement quelqu’un sonne a la porte avant. Un homme dans la quarantaine ayant un certain embonpoint est a la porte, les petits le regarde de la porte de la maison. Drew particulièrement le regarde sans aucune sympathie. Il fait a peine cinq pieds six pouces ( 1,67m), il est sévèrement dégarni mais a un air sympathique.
-Red « Bonsoir M. Dumontier je suis Reginald et voici mon compagnon Thomas. »
-Dumontier « Bonsoir désolé de vous rencontrer dans de telle circonstances. »
-Tom « Donnez-vous la peine d’entré monsieur. »
L’homme entre dans le loft et semble surpris de l’aspect de notre loft. Il fixe quelques secondes les kimonos et les armes secondaires, il examine l’appartement des yeux.
-Dumontier « C’est a vous, sérieusement. »
Avant de répondre je sort d’un tiroir le détecteur de microphone tandis que Tom prend le détecteur de Bug.
-Red « Clean, pas de micro. »
-Tom « Clean, pas de transmetteur. »
-Dumontier nous regarde légèrement effaré. « Vous êtes sérieux ? »
-Red lui mettant le détecteur dans la main. Je vais cherché mon enregistreuse numérique. « Testez cet appareil si vous voulez. Oui c’est a nous, nous sonnons des cours d’Aikibudo et participons a des compétitions de combat extrême. Nos activités sont payantes. Votre fils tente de salir ma réputation ce qui pourrais nuire a mon travail. Je suis homosexuel et la seule personne que je moleste est mon amant. » Je regarde Tom en souriant. « Cette année je déclarerais environ soixante-dix mille dollar de revenu le juge en tiendra compte. Outre le stress et les dommages moreaux.»
-Dumontier avale avec difficulté. « Bon que voulez-vous ? »
-Tom « Que votre fils donne, pas vous votre fils qu’il trouve un travail si n’en a pas un, verse cinq cent dollar a Amnistie international. C’est la première condition. »
-Red « Deuxièmement , qu’il lise devant les étudiant assemblé un texte que j’ai écrit ou il déclare qu’il a agit comme un imbécile et ne mérite pas l’éducation qu’il reçoit a notre école en démontrant une intolérance inadmissible et une ignorance crasse, le texte stipule qu’il s’excuse auprès des étudiants qu’il a offensé. N’oubliez pas monsieur qu’il y a un dixième de la population qui sont gay ou lesbienne. Donc sur deux mille étudiant il en a insulté deux cent. »
-Dumontier fronçant les sourcils. « Mais c’est seulement une erreur de jugement cela ne mérite pas une tel humiliation. »
-Red « S’il s’était acharné sur quelqu’un qui était comme presque tout les autre étudiants, quelqu’un qui n’avait pas les moyens de se défendre il aurait fait de sont temps à l’école un enfer. Malheureusement pour vous, il s’est attaqué a nous et nous avons les moyens de nous défendre et de vous causer d’ample problèmes. Je n’ai que faire de l’argent que je réclame mais il doit comprendre que tout se paye le bien comme le mal. »
-Dumontier suant légèrement. « Bien messieurs je comprend votre point de vue, je suis déçu que nous puissions arrivé a une entente, je vous donnerai des nouvelles de ce que nous comptons faire sous peu. Bonne soirée. »
M. Dumontier quitte assez rapidement, il a l’air très préoccupé. Je montre à Tom, ce que son fils aura a lire devant l’école réuni en assemblé générale pour entendre ses excuses pour les mensonges qu’il a colporté sur moi et sur les gays en générale.
-Red « Qu’en pense-tu, trouve-tu que le texte est trop dur ? »
-Tom « Pense-tu qu’il aurait hésité a harceler quelqu’un d’inoffensif ? »
-Red « Ok mon beau Punky on ne change rien. »
Le lundi suivant en arrivant a l’école je vois M. Dumontier son fils et son avocat qui m’attendent au bureau du directeur. Ils tentent de m’inciter a négocier avec eux. Je refuse tout net et appelle mon avocat leur signalant que mon avocat vas venir mais que je leur refilerais la note. L’avocat de la partie adverse me demande le mon de mon avocat. Je lui répond Maître Liberman, vice président de la ligue des droits et libertés. Il part avec M. Dumontier dans le corridor. Ils reviennent après quelques minutes et me demande si M. Liberman est déjà en route. Je leur répond que oui il m’a garantie que ma cause étais prioritaire dans sa pratique. Je ne dit pas que j’ai fait un dépôt de dix mille dollar. Vingt minutes après l’appel M. Liberman arrive, nous nous retirons dans le corridor. Je lui explique la situation en cinq minutes, il insiste pour que l’on reste dans le corridor pour quinze minutes. Quand nous entrons dans le bureau.
-Liberman « Quel sont vos propositions messieurs ? »
-Avocat « M. Roger Dumontier accepte de versé cinq cent dollar en don pour l’organisation Amnistie international. Il voudrait avoir la copie du texte qu’il aurait a lire de façon publique avant d’accepter. »
-Liberman « Il n’y a pas de problème nous allons envoyer quelqu’un cherché une copie du texte, n’oublier pas que c’est vous qui avec exiger de transiger maintenant et de ce fait causez des dépenses supplémentaire a mon client. Celui-ci se réserve le droit de réclamer mes honoraires encouru du au fait de cette réunion impromptu et imposer unilatéralement. »
J’appel Mike et l’envoie cherché le texte sur mon ordinateur je lui indique dans quel fichier et lui donne le code d’ouverture. Mike revient au bout de vingt minutes. Il me remet les feuilles, incidemment je vois qu’il assassine Roger des yeux. C’est un texte d’une page et demi. Roger le lit et fait non de la tête. Leur avocat et son père le conduise dans le corridor. Ils discutent pendant plus de quinze minutes et nous entendons les voix s’élever plusieurs fois. Ils entrent, Roger a l’air enragé. L’avocat nous dit qu’ils acceptent.
-Liberman « Voici le contrat de l’entente que je vous soumet, vous y verrez une clause stipulant que le texte doit être lu de manière a satisfaire M. Devar, si M. Devar n’agrée pas la lecture sera considéré nul et non avenu et la partie lésé se réserve le droit de poursuivre. Si M. Devar agrée il signera ce deuxième document qui stipule qu’il est satisfait du repentir de M. Roger Dumontier et renonce a le poursuivre comme il le mériterais et lui pardonne inconditionnellement outre l’obligation de faire le don de cinq cent dollar a l’organisme Amnistie international.
-Roger « Non criss de tapette… »
-Avocat « Taisez vous, plus un mot. » L’homme a l’air en colère. « Suivez moi maintenant. »
M. Dumontier pousse son fils vers la porte et ils sortent tous. Ils parlent fort et nous entendons, qu’il s’est crisser dans la merde et que s’il n’arrête pas immédiatement qu’il sera dans la merde aussi avec son père. Liberman se frotte littéralement les mains, il me dit que c’est dans la poche. Une demi heure plus tard ils reviennent dans la salle. Roger ne regarde personne. L’avocat des Dumontier me demande quand j’aimerais que la lecture sois faite ? Mon avocat me regarde. Je leur répond que je les informerais après que j’aurais rencontré le directeur de l’école. Ce sera probablement le midi a la cafétéria de l’école sur une estrade avec de l’amplification pour qu’il soit bien vue et entendu. Ha oui j’aimerai que Roger accepte d’être filmé. Roger rougi de rage je crois pas de gêne. Son avocat lui pose la question il répond avec beaucoup d’hésitation oui en crachant le mot. M. Liberman et moi nous rendons au bureau du directeur, qui soit dit en passant est loin d’être heureux de tout ces conflits qui troublent son école, nous convenons vue que l’école a failli a son obligation de me protégé de manœuvres malicieuses étant fait sur des lieux étant de sa responsabilité. Liberman engage le directeur a mettre la cafétéria et a mettre une estrade a notre disposition. Nous amènerons le system d’amplification nécessaire a l’acte de contrition de Roger Dumontier. Les téléphones sont fait et les arrangements sont pris. Nous convenons du lundi pour la lecture. Je téléphone a M. Dumontier.
-Red « M. Dumontier lundi prochain a midi, dans la cafétéria. Monsieur voulez-vous dire a Roger qu’il a eu tord, qu’il a agit comme un imbécile, mais que je sais qu’il n’est pas un imbécile. Il peut faire beaucoup de tort en se fiant au quand dira t’on. Pour ma part je n’ai jamais imposer mes goût a qui que ce soit et je crois que Roger s’éviterais bien des problèmes s’il faisait de même. »
-Dumontier « Merci Réginald, Roger vas trouver cela très dur, mais j’espère qu’il vas pensé avant d’ouvrir sa grande trappe. »
Le lundi suivant, je demande a Mike de ne pas manger a la cafétéria. Plusieurs personnes vont se réjouir de l’humiliation de Roger et j’aimerais qu’il n’y participe pas. De mon côté je vais vérifié si c’est fait comme je le veux, prendre possession de l’enregistrement et si c’est a mon goût lui donner le papier l’exonérant suite a ses excuses. Mike semble un peu déçu mais amène son lunch avec lui. Je rejoins Roger a l’entré de la cafétéria. Il n’a pas l’air de bonne humeur et je le comprend mais s’il est la c’est de sa faute.
-Red « Prêt pour tes excuses officielles ? »
-Roger me fixant de façon très peu aimable. « Oui je sais ce que j’ai a faire. »
-Red « Monte sur l’estrade et attend mon signal, ce ne sera pas long au plus une dizaine de minutes avant que tu puisse te débarrasser de cette corvée si tu la fait bien. Si tu ne t’acquitte pas bien de ta tache tu aura le déplaisir de me revoir et je pense que ton père vas t’en vouloir. »
-Roger soupire. « Je vais le faire. »
Il monte sur l’estrade et attend patiemment. La cafétéria se remplie assez rapidement, les gens fixe le garçon sur l’estrade, certain font des commentaires des plus désobligeant a son endroit, ce qui c’est passé entre nous est connue de la grande majorité des étudiants. Quelques étudiants et étudiantes ouvertement gay et lesbienne tout au plus une dizaine et ce sont des extravertis, vraiment pas ma tasse de thé, lui disent qu’il a frappé un nœud, qui en a qui ont le moyen de se tenir debout, etc. Une fois la salle bien remplie je lui fait signe en commencent l’enregistrement. L’amplification est bonne on entend que sa gorge est serré, il garde un calme apparent son front est perlé de sueur et le dessous de ses bras s’assombri. Il termine rapidement sa lecture puis regarde dans ma direction. J’arrête l’enregistrement et lui fait signe de venir. Je lui tend le papier signer et en garde une copie qu’il contre signe comme étant lu et approuvé. Il quitte rapidement la café. Le reste de la journée se passe sans heurt. Les gays qui paradais devant Roger essaient de me parler, je leur répond que ce n’est pas l’endroit et que j’ai des choses a faire. Je rejoins Mike et partage son dîner.
-Mike « Tu a l’air triste ça na pas été a la café ? »
-Red « Je n’aime pas faire ce que je viens de faire. » Je lui entoure les épaules de mon bras. « J’aurais aimé pouvoir lui expliqué mais les apriorismes aveuglent les gens et les empêche de réfléchir. J’espère qu’il n’y aura pas d’enfantillage comme cela au CEGEP.»
-Mike « Hé ! Samouraï je t’aime. »
-Red « Canaille tu a fait parlé Jack. »
-Mike « Si les autres connaissaient ton cœur, ils ne te ferais pas des choses comme cela. C’est si mesquin de s’objecté a la personne que tu aime. Thomas est si gentil vous êtes beau ensemble. »
-Red « Merci Mike. Bon nous avons cette journée a finir et des cours a suivre ce soir. »
Nous finissons la journée si quelque chose a changé c’est que l’on me laisse encore plus a moi-même. De toute façon je n’ai jamais été bon avec les groupe et puis j’ai la famille et j’ai mon ange. Mike et moi marchons rapidement vers l’école de nos deux compères. Nous rejoignons la maison, après les travaux et le repas c’est la course pour arrivé au Dojo. En quelques semaines les changement chez Jack sont des plus évident. Il se tiens plus droit a une allure plus fière. Il s’immerge tellement que je doit lui rappeler qu’entre nous il est connu, accepté et qu’il peut descendre sa garde. Il est mignon, il m’écoute attentivement, me sourit et me salut d’une inclinaison du torse en me disant oui Maître, puis m’enlace pour me montrer qu’il a compris. Il prend très au sérieux le code du Bushido, Tom et moi avons du lui lire le livre de William Scott Wilson, "Ideals of the Samurai: Writings of Japanese Warriors" (Kodansha, 1982), c’est en anglais et nous devons nous résoudrent a lui traduire, il subtilise les pages que nous imprimons a tout les jours. Il nous demande comme une grande faveur de lui traduire le livre d’Allyn, John, "FORTY-SEVEN RONIN STORY " avant que nous partions pour le Japon. Au dojo il discute avec Ray avant et après les cours, entre autre des dernières parole de Torii Motoda. Il me parle souvent de son honneur et du fait qu’il doivent me prouver sa valeur. Je le serre sur moi et lui dit qu’il n’a rien a me prouver, de rester vivant est souvent plus difficile que de mourir. Pour mourir tu n’a qu’a laissé aller ou a ne pas tenir compte des signaux que t’envoie ton corps. J’ai failli mourir pour finir ce que j’avais commencer et ce n’était pas urgent. Ce n’était pas très intelligent. Il me sourit en mettant la main sur mon thorax.
-Jaques « Tu parle quand tu es venu nous donner a manger et que tu m’a apporté un 7up. » Il appuis la tête sur moi. « Quand tu m’a donné cette canette de soda, tu es sorti de ma cellule sans me demander quoi que ce soit, j’ai regarder la canette puis je t’ai regardé faire sortir Jeannine et tu a donner a manger au autres. J’ai voulu être avec toi pour toujours, même masqué, même tout en noir j’ai senti que tu avais mal pour moi. Quand j’ai vu le sang j’ai perdu conscience, je suis revenu a moi quand ton ami Thomas ton soigneur ta recousu et s’est lui qui m’a dit que tu voulais que je soit un Maître pour protégé pas pour humilier et heurté. »
-Red « Jack tu es un bon gars, tu étais trop petit quand les bâtards ton emprisonné, ton honneur est sauf, je ne suis pas un Samouraï, je ne sert pas un seigneur et je ne crois pas que je pourrais. Je suis un Ronin un guerrier sans seigneur. » Je lui souris. « Je sert le Devoir et la Rétribution, l’application des conséquences de toutes actions. Tu n’a jamais causé la même sommes de souffrances que celles que tu a reçu. Tu as du crédit canaille. » Je souris.
-Jaques « Merci Red, tu sais que j’aime pap et le commandant mais dans mon cœur il y a une place spéciale pour toi et Tom. » Souriant. « Quand tu reviendra du Japon tu sera fier de moi. Cet été Drew et moi irons au Dojo cinq fois semaine je serai digne de toi. Mon samouraï. »
-Red « Je n’ai pas de seigneur. »
-Jaques « Tu es le Seigneur, mon Seigneur qui veille sur ceux qui souffrent. »
-Red « Shuuut, écoute moi c’est trop de responsabilités que d’être un Seigneur, ordonner la vie des autres je n’y crois pas. J’ordonne ma vie si je sens l’obligation d’agir pour sauver les esprits et les corps j’agit, je sais que je peu être arrêté pour mes actions, j’essaie de l’éviter mais je ne mettrais pas la vie des gens qui sont chargé de faire respecté la loi en danger. Même si la loi et la justice sont deux choses différente c’est pour cela que mes idéogrammes sont Devoir et Rétribution, pas Justice et Châtiments. La justice ne peu réglé tout elle a les limites de ses institutions, tout organisme cherche a économiser l’énergie et de ce fait est réfractaire au changement, le code est un guide et un instrument de formation quand tu l’a intégré ton âme te signale a quel moment agir sans te laisser emporté c’est la partie difficile pour moi. Mon beau Tom a une âme douce moi je suis violent, je soit discipliner mon esprit. »
-Jaques « Seigneur s’il te plais, Maître Blanc m’a dit que le seigneur ne désirant pas son poste était destiné a être un grand Seigneur car n’aimant pas sa tâche il serait prudent dans ses décisions et n’aimant pas sa position il essaierait d’intervenir le moins possible, s’il acceptais son Karma. » Il appui sa tête sur mes pieds.
-Red « Jack ne fait pas ça. » Je le relève et lui embrasse le front. « Veux-tu resté un enfant pendant un temps encore, tu n’a pas eu le temps d’être un enfant. Ris amuse toi, entraîne toi c’est correct mais prend le temps de faire des folie, soit hip hop, punk, rocker. » Je lui prend le menton. « S’il te plais sourit donne moi un coup de poing amical, taquine le commandant ou Mike amuse-toi. »
-Jaques souriant. « Ne crains pas mon gentil Samouraï j’aime la vie que vous m’offrez tous, je ne sais pas vraiment comment utiliser toute la liberté que j’ai. Quand je vais prendre des décisions me permet-tu de venir t’en parlé et nous pourrons en discuté. S’il te plait Reginald. »
Nous parlons pendant un certain temps quand l’alarme se fait entendre, Drew entre dans le loft. Il est en sous-vêtement, nous dit que si Jack reste avec moi je devrais accueillir un réfugier de plus dans mon lit. Je lui fait signe de monter dans le lit. Nous nous souhaitons bonne nuit puis constate que Jack et Drew s’endorment quasiment l’un sur l’autre. Il me semble qu’il sont bien confortable ensemble, peut-être, mais pourquoi en parler ils sont trop petit pour avoir une idée vraiment clair de leur sexualité. Quand ils dorment vraiment je leur caresse la tête et me couche. J’aimerais qu’il y ai un dieu comme celui don mes parents parlaient pour veiller sur eux, mais il n’y a que le Karma et nos actions qui engendrent les vagues que nous ne contrôlons pas toujours. Je ferme les yeux en souhaitant bonne nuit a mon ange. Au petit matin l’odeur du bacon et des œufs me tire du sommeil. Drew et Jack papotent a voix basse en préparant le déjeuner, ils mettent les couverts quand j’ouvre les yeux. Ils viennent me tirer hors du lit, je regarde l’heure, il est a peine six heure vingt. Je met du Alice Cooper pour accompagner notre déjeuner, au milieux de celui-ci l’alarme se fait entendre, avant que Mike n’entre Drew se lève pour lui mettre un couvert. Nous déjeunons tranquillement, a sept heure quinze je téléphone pour dire au commandant que moi et les petits avons déjà manger et que nous descendront vers huit heure. Tout le monde entre sous les jets de douche, tout les trois chahutent car la douche est dans un carré vitré et ils ne peuvent faire de dégâts hors de celle-ci. Je me lave puis me rend devant le lavabo pour raser les quelques poils qui ornent ma lèvre supérieur et le duvet sur les côtés de mon visage, je pratique cette activité une fois semaine et c’est plus que suffisant. Je sort m’habiller pendant que les petits s’amusent, j’entre la tête dans la salle de bain.
-Red « Les gars vous avez dix minutes avant d’avoir à aller vous habiller. »
-Mike « Met l’alarme Red s’il te plait. »
Je descend pour être accueilli par le commandant. Elle me dit que je gâte beaucoup trop mes frères et de lui laisser un peu de travail de temps en temps. Elle m’embrasse et je m’assois pour prendre un café avec les parents. Nous bavardons et parlons de mon voyage au Japon. Dans les mois qui suivent Tom devient trilingue, il parle couramment Français, Anglais et Japonais. Pour ma part je peux tenir une conversation mais mon rythme reste saccadé. Ron maintient que ce ton me donne un air autoritaire en japonais. Nous parlons de cadeaux a offrir au petit pour leur fête pendant que serons parti. Nous achetons des Kimonos de soie pour Drew et Jack nous décidons d’habiller Drew en or avec des accents rouge et Jack en rouge avec des accents or. Nous complétons l’ensemble d’un hakama noir et d’une veste noir. Pour Drew nous choisissons les sai et pour Jack des éventails de métal. Pour Mike nous achetons une éditions de luxe de Jules Verne et un bon d’achat de cinq cent dollar en librairie. Seth pour sa part une collection de DVD de la Hammer film tout les classique de Dracula et de Frankenstein. Nous nous préparons a nos examens finaux et travaillons ferme. Tom vient fréquemment étudier avec moi et nous en profitons pour aider Jack avec son rattrapage. Je demande a mon père d’accompagner Jack au examens pour autodidacte de la commission scolaire. Ils partent tout les deux de bon matin avant la fin des classe le dix-neuf de juin. Ils ne rentrent pas avant dix-neuf heure trente, ils ont l’air fatigué tout les deux mais ont un large sourire.
-Père « Tom, Red votre frère a rattraper son retard et il sera dans la même classe que Drew, j’ai eu la promesse du directeur de son école. je veux vous félicitez tout les cinq vous avez fait un travail remarquable. »
-Mère nous embrassant tout les trois. « Quand mes garçons ont quelque chose dans la tête ils s’acharnent jusqu’à ce que cela arrive. Jack vas te reposer tu doit voir ton thérapeute ce soir. »
Jack nous suis dans le loft.
-Jaques « Reginald, Thomas nous avons parler entre nous de votre départ nous allons tous nous ennuyer. Pouvons nous rester dans votre loft pendant que vous allez être parti. »
-Tom « Je n’ai pas besoin de vous rappeler pas de bordel. »
-Jaques « Aucun de nous irais laisser le loft tout croche, ce serais un manque de respect envers nos aînés. »
-Red je prend Jack dans mes bras. « Vous pouvez tous utiliser le loft et le tenir prêt a nous recevoir, mais n’oubliez pas d’avertir les parents d’ou vous allez dormir ou manger. S’ils s’inquiètent ils ne vous laisserons pas habiter le loft. »
Le vingt-deux juillet c’est ma fête et c’est la fin de l’année scolaire. Je fait mes adieux aux proffs que j’ai aimé et les remercies. Louis est émus et me serre dans ses bras. Il me souhaite bonne chance et bon voyage, il me demande de lui donner des nouvelles de temps en temps. Je lui répond que je n’oublie pas mes amis et qu’il recevras de mes nouvelles. Je vide complètement mon casier, je ne reviendrais plus dans cette école comme étudiant. Je suis un peu triste de quitter ces murs connus et ces couloir rassurant. Je me secoue le changement c’est la vie la stagnation est la mort. En chemin vers la sortie le petit que j’avais défendu l’an dernier et quelques amis de mon frère sont la avec lui et me souhaitent bon voyage. Pendant qu’ils me congratulent j’ai une boule dans la gorge, beaucoup trop émotif le mec. Je respire profondément et dit a Mike qu’il est temps d’aller cherché les autres.
-Mike « Ça vas mieux Red ? »
-Red « De quoi parle-tu ? »
-Mike « Quand je t’entend respirer comme ça c’est habituellement que tu contrôle tes émotions. »
-Red « Pris sur le fait ! J’ai été émus, c’était très gentils de votre part a tous de venir me saluer comme ça. »
Nous passons cherché les deux autre, je vois bien que les trois compères se retiennent de parler et sont plutôt silencieux. Nous arrivons a la maison rien à signaler, pas de préparatif de fête en vu. Que mijote-ils ? Le mieux est de ne pas se poser de questions et de faire comme d’habitude. Je salut le commandant et prend ma collation, puis j’entre au loft suivi par Drew et Jack. Nous faisons quelques travaux pas moi mais les petits, moi j’ai fini mon année scolaire. Je les aide et les taquine, Jack me semble être en manque d’affection il n’arrête pas de me toucher, merde quel imbécile je fait je quitte dans trois jours. Je suis anxieux de partir mais mes frères et surtout Jack peuvent appréhender cet événement.
-Red « Jack vient ici et toi aussi Drew. » Je les serre sur moi. « Je vais partir bientôt pour quelques mois mais je vous promet de revenir. »
-Jaques « Je sais que c’est niaiseux mais essaie de ne pas voyager en voiture. » Il a les yeux qui luisent d’humidité. « Je suis capable de t’attendre sans problème. »
-Drew « Oui nous somme triste et heureux pour vous deux, ça vas faire drôle de ne plus vous voir ou de sortir sans vous. De ne pas pouvoir venir nous réfugier chez toi quand nous ne nous sentons pas bien ou légèrement anxieux ou bien pour le plaisir d’être tous ensemble. » Il me sourit et appuis sa tête sur nom épaule.
-Red sachant que cela vas arrivé de plus en plus souvent. « Même si je ne suis pas la physiquement vous êtes tous dans mon cœur. Vous avez tous une place spéciale en moi, vous êtes les trésors que personne ne peu m’enlever. » Je les embrassent et les serre sur moi. « Mike n’est pas venu avec vous deux ? »
-Drew « Il nous a dit que s’il te parlait maintenant il se mettrais a brailler comme un veau. »
La porte s’ouvre sans que l’alarme se fasse entendre c’est Tom. Il entre et vient s’asseoir près de nous en souriant.
-Tom « Bonne fête mauvais garçon, dans deux jour cela vas faire un ans que nous sommes ensemble. »
Je lâche les petits qui s’écartent en souriant. J’approche de Tom qui se lève pour m’accueillir. Nos lèvres se rencontrent presque violemment, Tom passe la langue sur mes lèvres. La mienne la rejoint et elles commence a danser, je serre fortement mon ange entre mes bras le caressant de la tête a son joli postérieur. Je ne sais ce qu’il essaye de me dire mais sa prononciation est exécrable. J’entend la porte du loft qui se referme doucement. Nous nous regardons un peu hors de souffle. Il me demande comment on se sent à seize ans. Le regardant dans les yeux mieux qu’à quinze car l’an dernier a pareille date je pensais ne plus jamais te revoir. Cela a été un très pénible semaine, après que tu m’ai parlé a ma fête tout c’est éclairé, ensuite plus tard tu m’a attirer sous la douche pour abuser de moi. Épais tu aurais du voir ton visage quand tu t’es aperçu que je te déshabillais. L’alarme se fait entendre, c’est le commandant qui nous convis a descendre manger. Arrivant a la cuisine je reçois un choc, outre ma famille et la famille de Tom, Ray, Louis, Sophie, Annie, Ron et Kanéda. Ils me chantent tous bonne fête. L’émotion me serre la gorge, je souris Tom me prend la main, tous me félicite puis nous mangeons. Je souris sans vraiment enregistrer ce qui se passe autour de moi, Louis me donne un ensemble de plume et porte mine Mont Blanc mon nom est inscrit sur ceux-ci. Nos parents m’offrent un ensemble de valises et un portable de dernière génération. Mes trois frères m’offrent un album avec leur photos et celles des parents, ils ont fait faire pour l’événement une série de photos de Jack et de Drew au dojo et a la maison. Sophie et sa compagne m’offrent un enregistrement de la gang qui me souhaitent bon voyage. Ron et Kanéda nous offrent un livre d’étiquette illustré. Ray se lève et me remet un rouleau scellé et me dit de le remettre a M. Takéda senior au dojo et de ne pas oublier celui qui nous a été remis à Burlington. Il remet a Tom et a moi les papier pour que nous puissions apporter nos armes avec nous. Quand tout a été distribué le commandant me dit que le scénariste qui était venu nous voir a quelques reprise m’a laisser un paquet. Elle me donne une boite assez grande envelopper dans du papier brun. Deux téléphone satellite, une note nous informe que la note est prise en charge pour une ans, cet appareil vous permettra de garder le contact avec vos parents et si nous avons besoin urgent de cascadeurs de votre gabarit nous pourrons vous contacté. Bonne vacance Sam et Axe. Je maintient mon contrôle mais suis incapable de parler pour quelques minutes, Tom sentant mon désarrois prend le plancher et parle avec animation. Au bout de quelques minutes qu commence a remercier tout le monde. Je leur parle tous un après l’autre. Louis me dit qu’il tenait a me saluer personnellement, il me dit qu’il admire mon courage et ma détermination et de ne jamais laisser qui que ce soit mettre en doute la qualité de ma personne. M. Blanc parle beaucoup avec nos parents, il les rassurent tant qu’a la sécurité au Japon et plus particulièrement au Dojo. Avant de partie Ray nous approche et suggère a Tom d’apporter avec lui son matériel de premier soin.