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Un coup de main

By: JarvisdeVar
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Rating: Adult ++
Chapters: 24
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Disclaimer: This is a work of fiction. Any resemblance of characters to actual persons, living or dead, is purely coincidental. The Author holds exclusive rights to this work. Unauthorized duplication is prohibited.
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Un coup de main XXII

Si vous n’avez pas 18 ans ou l’age légal dans le pays d’ou vous vivez veillez quitter maintenant. Ces histoires sont au sujet de garçon ou de garçons gay, si cela n’est pas de votre goût quitter maintenant. Toute ressemblance avec des personnes ou organisations existantes est purement accidentelle car ceci est une œuvre de pure fiction.Commentaire Jarvis_de_Var2001@yahoo.ca

Jarvis de Var

Un coup de main ?

Chapitre XXII


Je me laisse dérivé tout doucement. La douleur s’estompe, Tom respire dans mon cou… Tiens c’est Thomas qui me bécote les paupières. Je fait des effort pour resté stoïque mais rien a faire un sourire me trahis.

-Tom « Tes pilules Red, je sais que tu es réveillé. Aller assit toi. »
-Red souriant. « D’accord je les prend tes cachets. Quel heure est-il ? »
-Tom « 10h, assit toi sur le bord du lit je vais te laver. Tant que ta plaie n’est pas fermé tu ne peux prendre de douche ou de bain.»
-Red « Je veux bien que tu m’aide mais laisse moi faire ce que je peux. »
-Tom « Veux-tu te laisser faire, c’est mon tour, c’est a moi a prendre soin de toi. Si tu ne te laisse pas faire je vais me fâcher.»
-Red il a vraiment l’air a y tenir. « Ok Tom mange pas tes bas. Je ne bouge plus ok. »
-Tom « C’est mieux et tu es au repos complet pour au moins trois jours. »
-Red « Oui pap au repos complet. »

Il me sourit malicieusement. Il me lave, m’habille pour ensuite faire nos bagages.

-Red « Si tu continue a faire ça je vais devenir gros et laid. Il faut que je bouge un peu ! »
-Tom « Tu ne deviendra jamais gros et laid, tu oubli que je connais ton père et qu’a son age il est plutôt mignon, tu lui ressemble. »
-Red « Yerk ! tu trouve mon père mignon pas beau, pas séduisant mais mignon, te tirer les oreilles cela me contrevient pas au repos complet au moins ? »
-Tom pouffant de rire. « Oui c’est la pire chose a faire tu risquerais d’ouvrir tout tes points. On fait la paix, tu te laisse faire pour deux jours encore et je suis content. Avant que l’autobus arrive je doit passer a la pharmacie. » Il sort une liste. « Onguent, des mètres et des mètres de gaze, d’autre galon adhésif, de la calamine pour la gratouille et finalement des condoms a ne pas utiliser avant cinq jours. »
-Red « Cinq jours, tu vas être obligé de m’attacher les mains. Si je ne fait pas mes, hey ! Punky tu t’est entraîner aujourd’hui ? »
-Tom répond prudemment. « Pas encore. »
-Red « Négligence ! on se laisse aller, nous allons corrigé ça en arrivant au camp. Je n’ai pas besoin de bouger pour observer et te conseiller. »
-Tom « Moi qui pensais avoir un congé. »
-Red « Tu n’a pas été blessé s’est grâce a l’entraînement et a la discipline celle que tu t’impose toi même. » Je l’embrasse. « Vas a la pharmacie avant que l’autobus arrive. »

Tom revient avec son matériel, nous regardons la tv quand nous entendons un klaxon dans le stationnement. Tom vas jeter un coup d’œil.

-Tom « La limo de Monsieur est avancé. »
-Red regardant par la fenêtre. « Nous n’avons plus les limos que l’on avait, celle-la est jaune et noir. »

Nous montons dans l’autobus scolaire, Sam est au volant. Nous la saluons, elle est toujours aussi charmante. Elle nous donne a chacun notre petite valise, elle contiennent les documents promis et trois cent-cinquante billets de cent dollar. Nous arrivons l’avant veille jour du Nouvel Ans. Nous sommes présenté au directeur du camps il nous lit les règlements du camps les heures de repas et les activités obligatoire.

-Red « Vous m’excusé Monsieur mais voici le rapport de l’Hospital tant qu’a mon état physique. »
-Directeur « Vous me ferez le plaisir de vous rendre au bureau de l’infirmière ipso facto. »
-Tom « Excusez moi Monsieur mais Réginald vous a parlé de façon correcte. Vous n’avez pas a le traité de façon cavalière. »
-Directeur « Jeune homme mêlez vous de ce qui vous regarde. »
-Red « Monsieur regardez. » J’ouvre ma chemise et ôte mon pansement. « C’est suffisant comme excuse pour être dispensé d’activité physique. Ou préférez que j’étale mes tripes suite a une chute ou a un impact voilent ? »

L’homme reste geler sur place pendant trente bonne secondes.

-Directeur « Allez a l’infirmerie avec votre dossier médical. Je veux savoir si vous pouvez rester. Monsieur … Neuville accompagner votre ami a l’infirmerie.»

Nous marchons entre deux baraquement et trouvons sans problème le bureau de l’infirmière. Une jeune femme probablement une étudiante est derrière le bureau et nous reçoit avec le sourire. Sans un mot je lui tend mon dossier médical.

-Red « Comme vous pouvez le voir Mademoiselle j’ai eu une blessure assez sévère. » Je fini d’ôter ma chemise et mon pansement a été enlevé plus tôt. « Regardez. »
-Geneviève « Merde, ho ! excusez moi. une blessure sérieuse qui demande des soin quotidien. Je ne sais pas si je peux… »
-Tom « Mademoiselle je suis Thomas Neuville. » Il sort ses cartes de son portefeuille. « Quand il participe aux combat full contact je suis le soigneur de Réginald. Pour ce qui est des pansements et de la médication je peux m’en occuper. »
-Geneviève « Les règles stipulent que les médicaments doivent être sous clef dans mon bureau. Mais si vous pouvez prendre soin du reste ce devrais être correct. Attendez je doit consulté le dossier de Reginald, en passant je m’appelle Geneviève. »

Elle lit les documents pendant une bonne quinzaine de minutes.

-Geneviève « Il ne devrait pas y avoir de problèmes vous pouvez retourner au bureau de directeur je lui téléphone tout de suite. »

Nous marchons lentement Tom effleure mon bras en marchant. Je trouve ça drôle car nous ne sommes plus habitué a cacher notre amour.

-Red « Re bonjour Monsieur, maintenant que les problèmes administratif sont réglé pouvons nous savoir quel est notre dortoir ? »
-Directeur « L’infirmière m’a informé que vous faisiez des combats extrême. » Il jette un oeil dans mon dossier. « M. Devar et que M. Neuville y était votre homme de coin qualifier.»
-Red « La réponse est oui a vos deux questions, voici mon passeport de la Fédération Mondial des Arts Martiaux. Vous y trouverez mes qualification. »
-Tom « Excusez nous mais Reginald est fatigué, et il ne devrais pas rester aussi longtemps debout, auriez vous l’amabilité de nous indiqué ou est notre dortoir. »
-Directeur « D’accord Messieurs, vous m’excuserez mais habituellement comme problèmes pour les exemptions d’activité physique j’ai des allergie, des certificats de complaisance et le manque de goût pour les activités physique. » Il nous sourit. « Vous vous installerez au dortoir des ‘’Chercheur d’étoiles’’ c’est le baraquement qui est le plus haut sur la colline. Bonne vacances Messieurs. »
-Red et Tom en stéréo. « Merci Monsieur. » Nous sourions en nous apercevant que nous avons parler en même temps.

Nous sortons, Tom apporte ses bagages vers notre dortoir et m’averti de l’attendre pour qu’il vienne cherché les mien. Défense de forcer, macho man. Il revient accompagner d’un jeune homme au début de la vingtaine. Environ cinq pieds neuf pouces pour cent cinquante livres (1,75 m pour 68 kg). L’air sympathique il me salut et se présente comme étant l’animateur de notre dortoir. Tom et Cédric, le moniteur, prennent mes bagages nous montons la colline je ne dit rien mais je doit avoué que je suis content d’arrivé en haut.

-Cédric « Reginald ou Red que préfère-tu ? »
-Red « Red définitivement. »
-Cédric « Veux-tu me montrer ta blessure s’il te plaît. »
-Red « Pas de trouble. » Tom vient m’aider. Je me tourne vers Cédric qui grimace. « Ce seras pas mal comme cicatrice. »
-Cédric « Wow tu ne t’es pas manqué. En ski tu n’a pas été chanceux ou bien tu a été très chanceux de ne pas t’étriper. Si par hasard tu était dans la salle commune quand Thomas aurait a changer ton passement cela m’éviterait beaucoup d’explications et de récriminations. »
-Tom « Pas de problèmes je vais m’arrangé. » Il sourit a Cédric. « Red tu es fatigué, au lit pauvre malade. »
-Red « La seule raison pour laquelle je suis ici c’est que ma mère est pire. »

Je vais m’étendre dans notre chambre, c’est une chambre avec deux lit superposés. Étant donné les soins que je doit recevoir de mon Soigneur, il doit m’aider a me laver, nous sommes les seul utilisateur de cette chambre. Je suis étendu depuis a peine cinq minutes quand Geneviève entre dans la chambre sans frapper. Comme je dors toujours nu et que Tom m’a dit de laisser la plaie a l’air libre, elle referma la porte bien vite.

-Red « C’est correcte Geneviève, je suis présentable. »
-Geneviève « J’aurais du frapper, mais pourquoi étais-tu sans drap ? »
-Red « Tom m’a dit de laisser la plaie a l’air libre pour l’aider a sécher. »
-Geneviève « Oui c’est une des écoles de pensées. Je suis venus pour t’apporté tes médicaments.»
-Red « Merci Gen, excuse moi je peu t’appeler Gen ? »
-Geneviève me souriant. « Après ce que j’ai vue nous sommes assez intime pour que tu m’appelle Gen. Tom m’a dit que tu devais dormir, bye dors bien.»
-Red « Bye Gen merci. »

Mine de rien je me réveil seulement a 16 :30h et c’est Tom qui me réveil. Il me glisse a l’oreille de m’habiller et de me rendre dans le salon pour ma représentation. Tom m’aide avec ma chemise, c’est plus facile a mettre que les t-shirts que je met normalement. Je marche doucement vers le salon, mes côtes et mon abdomen se rappellent a moi dès que je fait un mouvement le moindrement brusque. Je m’assoit sur une chaise droite prés d’une des tables. En cinq ou dix minutes la salle se remplie, dans cette baraque nous somme quinze a vue de nez. Nos confrères viennent se présentés, quatre de ceux ci viennent de mon école. Je ne les connais pas mais ils ont probablement entendu parler de moi. Tom arrive avec tout son matériel et me gronde car je me suis levé sans pansement. Je prend un air ennuyé je n’ai pas besoin de jouer la comédie, j’aime que Tom prenne soin de moi mais je n’aime pas être dépendant. Une chance que c’est lui, il a le droit de me voir vulnérable. Quand Tom m’enlève ma chemise la plaie a vif et les large rubans adhésif qui maintiennent mes côtes en place sont visible. Les jeunes grimacent tous, certain se détournent vivement. Cédric entre a ce moment.

-Cédric « Ça tombe bien, je vous présente Reginald il préfère être appeler Red. Il a eu un grave accident de ski mais a tenu a mous rejoindre quand même. Son ami Thomas est arrivé en même temps, c’est son homme de coin quand Red pratique les combats extrême. L’infirmière et Tom, c’est le nom qu’il préfère, vont prendre soin de Red. Si vous voyez qu’il a de la difficulté ou qu’il est en danger d’être bousculer n’hésitez pas a vous interposez. »
-Tom « N’attendez pas que Red vous demande de l’aide. Vous risquez de voir les montagnes couvertes de verdure avant d’entendre une demande quelconque. »

Tout ce que je produit ce sont des grognement indistinct ou tout ce qui peut être compris c’est que Tom a une criss de grande gueule. Il me sourit en terminant mon pansement. Nous remettons ma chemise puis Tom vas cherché mes vêtements d’extérieur. Nous nous rendons en groupe a la café, en entrant nous voyons Éric et Yannick venir vers nous au pas de course. En voyant ma démarche il ont s’inquiètent.

-Éric « Ca vas Red ? »
-Red « Yep ! tout est beau, dépêchez vous les gars nous allons nous asseoir. »
-Yannick « Tu es blessé Red ? »

Je m’empresse vers la table la plus près.

-Tom « Il a eu un accident de ski et il n’aime pas en parler. »
-Éric « A le voir j’avais pensé que c’était plus grave. »

A ce moment un des garçon commence a donné une description assez graphique de ma blessure. Les garçons qui sont a porté d’oreille font silence. Cédric demande a ce que l’on rejoignent notre table. La nourriture est passable, la descente a été relativement fatigante et après le repas j’ai le goût d’une sieste. Je me lève et insiste pour que Tom finisse de manger et continu a faire connaissance avec nos confrères. Je me rend vers la porte puis monte vers le chercheur d’étoile. Je marche doucement quand un éclair de souffrance pure me fait disjoncter.

Tom

Nous parlons et avons bien du plaisir en semble, Red avait l’air fatigué et est parti se coucher. Il a insister pour que je reste avec les gars. Nous parlons pendant près d’une heure. A notre retour j’entre dans notre chambre et la trouve vide. Une boule d’angoisse me monte a la gorge, je courre vers les toilettes. Il n’y a personne. J’appelle Cédric et lui explique que je ne trouve Red nulle part. nous fouillons tous le dortoir de fond en comble. Nada nul trace de Red, l’anxiété me taraude. Cédric nous dit de l’attendre et qu’il vas avertir le directeur de camp. Deux de mes camarades, Simon, Robert et moi sortons quand même. Nous nous armons de lampes de poche et battons les buissons entourant le sentier qui monte vers le chercheur d’étoile. J’entend Simon crier a perdre haleine.

-Simon « Il perd tout son sang venez vite. »

J’arrive son parka blanc est rouge au trois quart. Nous le traînons rapidement vers l’infirmerie. Nous rencontrons le directeur et Cédric ils nous donnent un coup de main les pistes que nous laissons sont facilement visible, de large coulisse de sang nous suivent. L’obligation de rester calme pour que mon Red puisse avoir une chance c’est l’unique chose qui me tient debout. Nous arrivons a l’intérieur et Gen courre vers nous. Quand j’ouvre le parka elle a un haut le cœur. Mes yeux s’emplissent de larmes, je me maudit pour celles-ci. Car je doit prendre le temps de les essuyer. Le muscle sur le coté de son abdomen est déchiré et cela fait comme une hernie. Un flot continue coule d’une artère près de l’aine.
-Tom « Gen, AIE ! Gen, des pinces hémostatique vite, Cédric donne moi toute la ouate que tu peu trouvé vite. Simon une bassine d’eau chaude et des serviettes propres vite. »

Cédric me donne grosse boite d’ouate que je pose près de moi. Simon approche quand je vois Gen arrivé avec les pinces j’en prend deux. J’examine son aine et écarte la plaie pour voir d’ou vient le sang. Avec les serviettes et la ouate je nettoie et parvient a voir. Cela me prend trois pinces pour tarir le flot.

-Tom me tournant vers le directeur. « Appeler l’ambulance et dite leur d’arrivé au plus criss. Il a perdu énormément de sang, il risque de faire un arrêt cardiaque. Dites leur que son groupe est AB négatif. Son dossier médical est ici dite leur vite, vite chaque minutes compte. »

Je lui fait un bandage compressif sur l’espèce d’hernie et met d’autre pince sur les veines du muscle déchiré. Je demande a Gen si elle a du liguide physio semi salin 5%, pour éviter les dommages aux muscles. Elle me répond que non mais qu’elle a de l’eau stérile pour les irrigations. Je lui dit d’en prendre deux bouteille d’un litre. En attendant l’ambulance j’irrigue la plaie et surveille s’il n’y a pas d’autre épanchement sanguin visible. Je surveille aussi sa respiration et regarde son corps dénudé. Il a reçu des coups avec un bâton ou un objet contondant. Trois ou quatre coups mon sang se met a bouillir dans mes veines. Je le ou les trouverais.

-Tom « Cédric Red a été battu avec un bâton ou quelque chose comme ça. »
-Cédric « Es-tu certain ? »

Je lui désigne la blessure qu’il a à l’aine et les hématomes sur son abdomen.

-Tom « Il a été agressé entre la café et le dortoir près de la ou nous l’avons trouvé. Gen a-tu un thermomètre ? »
-Geneviève « Oui tiens prend le. »

Sa température des relativement basse quatre-vingt seize degré F (35,4C ). Je prend de la gaze et couvre la blessure puis trempe la gaze avec l’eau stérile. Pour finir je le couvre des pied a la tête. Sans m’en rendre compte je caresse sa tête, Simon s’approche et me serre les épaules.

-Simon « Relaxe Tom tu lui a sauvé la vie. L’ambulance vas arrivé, nous allons trouvé les chiens qui lui ont fait ça. »
-Robert « Il est chanceux de t’avoir, tu travail comme un vrai médecin. »
-Geneviève « Oui félicitation, démonstration impressionnante. Je suis très contente que tu ai été la, merde j’ai paniqué quand j’ai vue tout ce sang. »

Nous entendons les sirènes s’approchant, je demande a Gen de sortir leur donner le dossier de Red. Ils entrent a la vitesse d’un grand V. Ils l’installe sur une civière puis enlève la couverture, ils ont a peine un instant d’arrêt avant de demander a la radio s’ils ont la permission de procédé a une transfusion sanguine. Les numéro de référence des test sanguin du dossier sont demander. Ils emportent mon Red dan l’ambulance et tente de m’empêcher d’embarquer. Je tient mordicus a suivre mon Red et finalement leur dit que nous sommes amant conjoint de fait. Finalement ils me laissent entrer dans l’ambulance quand l’infirmière les informe que c’est moi qui a pratiqué les premiers secours. En très peu de temps nous arrivons a l’hospital. Les infirmières et médecins entourent et partent pour le traité. Je ne peux plus me contrôlé et m’isole dans la chambre de bain pour pleurer. Je sens la rage m’envahir, je doit a Red, a mon Mauvais garçon de garder mon contrôle. Dans la stalle je me met a genoux en position seza. Ils est très difficile de maîtriser ma respiration, ils ont oser battre nom Red. Non relaxe cherche la paix respire. BATARDS. Relaxe un tableau noir écoute la voix de Red il dirige ta méditation. Merde que faire, méditer rester digne de mon Red, me part pas nous ne sommes pas aller au Japon nous avons encore beaucoup de Gens a sauver. Rex compte sur toi. Ho ! mon dieu, relaxe.

-Infirmier « M. Neuville, Thomas êtes-vous là ? »
-Tom essayant de reprendre ma contenance. « Oui, comment vas-il ? »
-Infirmier « Suivez moi s’il vous plaît. »

Je sort de la stalle en passant je vois mon visage maqué par les larmes. Je suis conduit a l’unité des soins intensifs ou il repose blême les traits tirés. Un médecin se tient près du lit semblant m’attendre.

-Reinhardt « Il nous faut l’opéré d’urgence nous avons communiqué avec son père et il nous a faxé son consentement. Il vous a désigner comme étant son représentant avant qu’il arrive il devrait être ici dans une heure. Avez-vous des questions.»
-Tom « Qu’aller vous lui faire et qu’elle sont ses chances ? »
-Reinhardt « Nous allons corriger une rupture d’appendice, un déchirement musculaire simple, il a aussi reçu un coup de couteau dans l’aine. Vous lui avez sauvé la vie grâce au pinces hémostatique que vous avez utiliser. Ses chances sont bonnes mais vous devrez parler aux policiers.»

Je m’approche du lit et demande au médecin si je peux rester avec Red. Il me répond que les infirmiers et infirmières vont venir le cherché dans quelques minutes, puis il sort. Je le lui caresse la tête.

-Tom « Reginald écoute moi, tu vas avoir a te battre encore, tu vas te battre pour moi pour nous. Chéri, oui mon chéri je te le dit car tu ne peu pas récriminé. Tu es une partie de mon âme la meilleur partie de mon âme. Ne me laisse pas Red.
-Infirmière « Monsieur nous devons l’emmener en salle d’opération. »

Je me penche pour l’embrasser et le suis jusqu’à l’ascenseur. Pendant que les portes se fermes.

-Tom « Revient moi mon amour. »

Marchant de long en large dans la salle d’attente l’anxiété me tenaille et je me demande qui a bien pu faire ça. Tout ce que Red veux c’est la justice. Il a presque fait le sacrifice ultime dans son combat contre le monstre. Et a cause des conséquences de ce combat il s’est trouvé en état de faiblesse et je l’ai abandonné je n’étais pas la quand il a eu besoin de moi. je ne peux empêcher des sanglots de monter dans ma gorge. Red ne serait pas content. Le commandant m’attrape et me serre dans ses bras, je n’en peu plus j’éclate en sanglots. Le père de Red arrive aussi pour m’enlacer. Tout ce que je peux faire pour quelques minutes c’est marmonné que c’est de ma faute que je l’ai abandonné. A un moment donné je sens que l’on m’attrape le bras et je sens un pincement au creux du bras. Je perd pied pour me retrouver entre les bras du père de Red, il m’embrasse sur le front et tout devient noir.

Sylvain, le père de Red

Quand j’arrive dans la salle d’attente Tom est complètement hors de lui dans les bras de ma femme. Tout ce que je peu comprendre c’est qu’il se considère responsable, il est complètement désorganiser. Une infirmière et une femme médecin nous approchent et prennent le bras de Tom pour lui faire une injection. Il s’en aperçoit a peine et vacille. Je le prend dans mes bras, pauvre enfant, je vois que ses manche sont pleine de sang, celui de Reginald. Mon cœur se serre, une infirmière nous approche pour que je mette Tom sur une civière. J’en profite pour demander des nouvelles de Reginald Devar. L’infirmière me demande qui je suis. Je lui répond que je suis son père . Elle me dit d’attendre une minute qu’elle vas se renseigner. Elle revient pour m’annoncer que Regi vas sortir de la salle d’opération dans trente minutes et peu après le chirurgien M. Reinhardt vas venir nous rencontrés. Ma femme montre une façade impassible mais je connais le feu qui la consume. Ok dans quel merdier mon aîné s’est-il fourré. Je ne crois pas qu’il soit en danger car les chirurgien habituellement me sont pas pressé d’annoncer les mauvaise nouvelles. Je sais qu’il fricote des activités illégales, je ne dit rien car moi je l’ai fait pour de l’argent mais lui est meilleur que moi. Il le fait pour l’honneur j’en suis certain je connais son âme elle est pure et je veux qu’il reste comme ça le plus longtemps possible. Ma femme me tord les mains mais elle n’est pas inquiète. La demi heure passe très lentement puis c’est quinze minutes de plus.

-Reinhardt « Monsieur Devar, Madame si vous voulez me suivre dans une salle privé. »
-Père « Attendez je vais aller cherché Thomas le compagnon de mon fils. »

Je me rend a la civière de façon surprenante Tom se réveil immédiatement. Il panique pendant quelques secondes.

-Père « Tom vient nous avons des nouvelles de Red. »

Nous suivons le chirurgien dans une petite pièce avec une table et huit chaises.

-Reinhardt « Le plus grave votre fils a eu l’artère fémorale partiellement sectionné, il a eu les muscles abdominaux déchiré et le péritoine perforé. Probablement l’œuvre d’un objet contondant lourd, plus une autre contusion sévère mais sans conséquences. Il vas sortir de la salle de réveil d’ici une ou deux heures. Vous pourrez le voir tous un a un de façon brève.»

Quand nous revenons dans la salle d’attente nous y trouvons, Alain, Florence et Seth. Seth se précipite littéralement sur Tom, je les regardent du coin de l’œil il est visible qu’il cherche des blessures sur son frère. Il sait quelque chose. Les vieux ne sont pas au fait de ce qui se trame ! Nous échangeons les nouvelles de Red et deux ambulanciers passant près de nous arrête pour dire au parent de Tom que celui-ci a sauvé la vie de Reginald.

Red

Fuck qu’est qui m’arrive encore, je suis a l’Hospital sous soluté. Une infirmière au pied de mon lit. Respire, merde que j’ai mal au ventre.

-Infirmière « Reginald es-tu réveiller ? »
-Red « Oui ou est Tom ? »
-Infirmière « Veux-tu le voir, tes parents sont la et veulent te voir aussi. »
-Red « Je veux voir Tom en premier, merci. »

Je vois Tom entrer, il se précipite vers moi. incapable de parler il pleure.

-Red « Hey ! Punky je suis toujours la sais-tu ce qui m’est arrivé ? »
-Tom au travers de ses larmes. « Tu a été attaqué et je n’étais pas la excuse moi. »
-Red « Si je me souvient bien c’est moi qui ai voulu partir tout seul. Ce n’est pas de ta faute. Il n’y avait aucun danger prévisible. Quand tu retournera au camps prend des outils. »
-Tom « Non je reste près de toi. »
-Red « Il faut que tu aille au camps pour récupéré nos valise et notre argent avant que quelqu’un les trouves. »

Je l’embrasse et lui dit de se dépêcher. Il sort en reculant et me sourit avant de franchir la porte. Le commandant entre mais ce n’est pas celle que je suis habitué a voir c’est une mère qui pleure et me serre dans ses bras, j’en suis très gêné. De la voir fragile comme ça, cela me touche plus qu’il ne devrait. Je verse quelques larmes en la serrant sur moi. je lui dit que je n’ai aucune idée su l’identité de mon ou mes assaillants. Elle me laisse en me disant qu’elle reviendrait au matin. Père entre et me regarde mi figue mi raisin. Il me demande ce que je manigance. Je lui répond rien et que je n’ai aucune idée sur le pourquoi de mon agression. Je lui affirme que je n’ai rien fait au camp. Il me demande des précision sur l’accident de ski que j’ai eu la semaine dernière a Ste-Adèle selon mon dossier médical et ce que je faisais a Ste-Adèle ? Je ne sais trop quoi dire et dit que je suis fatigué. Il me sourit et me répond qu’il a servit la même excuse au cochons dans le passé. Ne t’en fait pas Reginald nous en reparlerons entre nous, plus tard. Ta mère a trop été choqué pour consulté ton dossier médical. Il me sourit et m’embrasse avant de sortir. La visite d’Alain et de Florence se passe sans histoire. Seth s’approche de mon lit lentement et sans un mot regarde sous mon drap. Il grimace puis vient m’embrasser.

-Seth « Je ne te pose pas de question, je ne veux pas entendre des histoires a dormir debout. Je sais que Tom a caché des vestes pare-balles dans sa chambre et qu’elles n’y sont plus. Quand tu voudra tu pourra m’en parler. Tu sais ou me trouver. » Il m’embrasse encore. « Tu ne mérite pas que l’on te fasse des choses comme cela. »

L’intelligence et la modération de Seth me surprennent. Pas que je le croyais nul, mais je le considérais comme moins mature. Je me suis lourdement trompé. Finalement c’est vrais que je suis fatigué. Les calmants aidant le néant m’englouti.


Je me réveille dans une autre chambre, une chambre privé. Un homme dans la trentaine que je ne connais pas est assit près de mon lit. Il se présente en me montrant sa plaque. Sergent détective Luc Simoni, il me demande si je sais qui m’a agressé ? Je lui répond que tout ce don je me souvient c’est une douleur a l’abdomen puis plus rien.

-Luc « Pierre Beauséjour et Jason Poirier les connaissez-vous ? »
-Red « Non je ne les connais pas, de nom du moins cela ne me dit rien. »
-Luc « Vous souvenez-vous de ce qui est arrivé le 22 juin dernier ? »

La question me semble curieuse. A part le fait que c’est le jour de ma fête !

-Red « C’est le jour de mon anniversaire… »
-Luc « A la fin des cours l’année dernière est-il arrivé quelque chose de spécial ? »
-Red merde c’est vrais les trois petits cons. « Oui il y avait trois brutes locale qui harassaient un garçon fluet et plus jeune qu’eux, donc je les ai brassés un peu. »
-Luc « Le brassage en question peut-il avoir inclus une luxation du poignet et du coude. »
-Red « C’est possible… »
-Luc « Vous souvenez-vous d’autre altercations avec ces individus ? »
-Red « Oui, plus tard, au centre d’achat nous les avons rencontrer avec deux de leur frères. Un garçon de la bande que vous n’avez pas nommer Paul et son frère plus le frère d’un des deux autres. L’autre frère un gars de taille moyenne, plus petit que moi mais solidement charpenter ma agresser en me demandant si j’étais ‘’L’hostie de punk qui avait envoyer son frère a l’hosto. A ce que je sache je ne lui ai pas causé de dommage et en plus nous avons réussi a faire la paix avec Paul et son frère. Mais impossible de raisonné avec les trois autres. »
-Luc « Ceci ne regarde pas l’enquête mais êtes-vous homosexuel ? »
-Red le regardant j’hésite. « Oui, pourquoi cette question. »
-Luc me souriant. « Seulement pour savoir, il y a un jeune homme qui fait les cents pas dans le corridor, je crois qu’il vas user le plancher si je ne sort pas bientôt. Merci M. Devar, M.Bauséjour s’est dénoncé lui même. Selon lui ils devaient vous donner quelques coups de bâton de base-ball puis se sauvé. Quand il a vu M. Poirier sortir un couteau il s’est sauvé. Quand il a entendu parlé de votre état il est venu se rendre aux agents qui faisaient l’enquête. Je vous remercie de votre coopération et vous souhaite meilleur chance pour ce qui est du reste de l’année.»

Il se lève et sort, je souris d’une oreille a l’autre. L’enquête s’arrête la. J’ai un bon karma. Tom bondit littéralement dans ma chambre. Il vient m’embrasser il est a la limite de la cohérence.

-Red « Tsssut… Mon beau Punky ne te met pas dans des états pareil. Relaxe dans quelques jours je vais être comme neuf. Et je t’aime encore plus qu’avant si c’est possible. Tu m’a arraché au griffe de la mort elle même tel que tu me l’avait promis. Soit fier de tes actes et de tes réalisation, tu a sauvé de la mort deux personnes en moins d’une semaine. »
-Tom me regarde. « Ha oui le petit, dès que tu ira mieux nous demanderons de ses nouvelles. »

Il me dit que pap l’avait sérieusement cuisiné sur notre escapade à Ste-Adèle est lui avait demandes a quel hôtel nous étions, si nous avions garder nos tickets de remonte pente en souvenir et quel était déjà le nom de l’Hospital ou tu étais aller comme s’il s’en souvenais plus. Il a arrêté de me cuisiner tout en me laissant savoir que je m’étais complètement gouré dans mes mensonges. Je ne sais même pas s’il y a un hôpital a Ste-Adèle. Les autres ne semble pas savoir pour l’accident de ski. Il vas falloir négocier serré avec ton père. Finalement Tom sort pour aller chercher les autres. Ils sont tous la je les remercie pour avoir pris le temps de me soutenir mais il devient apparent que je ne sortirai pas avant quelque temps et les engagent a repartir, Tom prendra soin de moi dès que je pourrai entrer a la maison je rentrerai. Ils ne sont pas vraiment d’accord surtout ma mère mais le fait que Drew et Mike soient laisser a eux même penche lourdement dans la balance. L’argument qui l’emporta étant que s’ils les laissaient trop longtemps qu’ils allaient essayer de nous rejoindre. Les cinq partent l’après midi même. Ma mère risque de perdre son titre de Commandant, j’ai toujours su qu’elle m’aimait mais nous étions capable de faire comme si ce n’était pas le cas par jeu pour alléger nos différents, nos prises de bec. La voir comme cela m’affecte beaucoup. Pap laisse planer de nombreux sous-entendus et me laisse clairement savoir qu’il a besoin d’explications. Florence et Alain sont toujours aussi gentils avec moi. Seth avant de partir me glisse qu’au moins ici je suis en sécurité.

Le six janvier, Sam vient me rendre visite. Elle arrive avec Tom. Elle prend de mes nouvelles et est désolé pour ce qui m’arrive mais ce s’était fortuit. Elle me donne un rapport sur l’oncle de Jeannine, et un mince dossier sur Jaques Seguin. Je m’assoit dans mon lit, invitant Tom a s’asseoir près de moi pour que nous puissions lire ensemble. Son nom complet est Jeannine Dunn, son oncle Vincent Dunn quarante-cinq ans, quatre condamnation pour fraude, deux pour vol simple, six pour proxénétisme. Il est déménagé au états unis l’an dernier. Est actuellement recherché comme témoin important dans l’enlèvement de sa nièce Jeannine Dunn 15 ans. dans le dossier apparaissent les adresses et numéro de téléphone des parents de Jeannine. Jaques Seguin treize ans, orphelin parents décédé lors d’un accident de voiture il y a quatorze mois, n’a jamais été retrouvé sur les lieux de l’accident. Présumé mort, retrouvé séquestré et dans un état fragile suite a des abus multiple. Il est actuellement hébergé dans un foyer groupe, s’adapte très mal. Entretien des fantaisie impliquant des guerriers veillant sur lui. Est actuellement référé a de l’aide psychiatrique. Tom se colle sur moi.

-Tom « Que fait–on pour Rex ? »
-Red « Je ne le sais pas. Nous aviserons. Ou est le foyer groupe de Jaques. »
-Sam nous souriant. « A Ste-Thérèse Caro est sur l’équipe. »
-Red soupirant. « Peux-tu demander a Axe de préparé un DVD avec différente scènes montrant des parties de l’opération donc le donjon, pas de visage, du son seulement quand Rex nous parle et quand il me tient dans le secteur des cellules aussi quand Tom me soigne dans le même secteur. Une fois que je l’aurais montré a mon père je le détruirais. Je voudrais qu’il devienne le gardien légal de Rex. Si je pouvais le faire moi-même je demanderais a Tom et nous le ferions ?»
-Tom me souriant. « Sans problème. Le petit gars comment vas-il ? »
-Sam « Il n’a pas d’existence légale, il n’est pas né ici. Cela vas prendre quelques semaines mais dès qu’il sortira de l’hôpital il sera adopter. Cinq couples le veulent déjà. »

Sam nous quitte nous disant qu’elle revient dans environ quarante minutes. Nous parlons de comment présenté la chose a pap. Tom a tendance a vouloir préparer le terrain. Je lui dit que dans le cas présent vaut mieux y aller directement si non il vas nous voir venir et nous perdrons l’effet de surprise. Sam entre pour déposer sur le lit un DVD. Nous la remercions. Elle nous dit que nous avons quelques mois de congé. Il faut laisser la poussière retombé. Elle nous sourit et nous embrasse. Avant de partit elle nous dit de ne pas nous en faire car il y a beaucoup de salopards en circulation. Le travail ne manquera pas.

Entre le six et le neuf Janvier je téléphone a deux reprise a Caro pour m’assurer que Rex n’ai pas débuté sa thérapie. Elle m’assure qu’elle fera traîner les procédures pour au moins trois semaines. Le neuf janvier mon père vient nous cherchés, le trajet en voiture est silencieux suite a mes refus répété de parler avant que nous soyons au loft. Son expression n’est pas des plus heureuse. Nous arrivons a la maison les petits et ma mère nous assaillent. Les petits se doutent qu’il y ai anguille sous roche. Nous leur disons rien et attendons d’être seul avec pap. Au bout de deux heures nous sommes enfin seul.

-Red « Pap assit toi devant l’écran. »

Père plutôt intrigué s’assoit. Nous voyons notre entré avec nos combinaisons iso noire, dans le secteur des cellules, la scène change c’est l’intérieur de la serre avec les trois pervers abusant des deux jeunes filles. Notre intervention y est au complet, la scène coupe avant que j’enlève ma cagoule. La scène suivante nous arrivons dans le secteur des cellules pour y conduire Jeannine et la petite. La scène suivante est dans l’escalier menant au donjon. Les activités a l’intérieur du donjon sont montré pendant deux longue minutes la porte s’ouvre et nous nous voyons entrée, relever nos oculaires et tomber en arrêt. Le duel est montré mais l’image arrête quand Tom vient pour enlever sa cagoule. L’image revient avec Tom qui berce le petit en haut de l’escalier. Changement de scène a l’entrée des cellules avec l’audio tout le reste de l’enregistrement inclus Rex et Tom qui me soigne avec l’aide Jeannine. Pap est stupéfier il ne bouge pas longtemps. La première chose qu’il dit c’est CRISS.

-Père « Pour vous distraire vous vous promenez avec des vestes pare-balles et tuez en combat singulier des criminels. Tabarnack les gars. C’est vous qui avez détruit un réseau de pédophile qui oeuvrait au niveau international. Les cochons parlent d’une agence étrangère qui aurait travailler hors de sa juridiction Caliss. Deux flots de quinze ans, j’ai mon criss de truck. »
-Red « Pap on t’a montré ça pour une seule raison, Rex, Jaques Seguin. Il est orphelin et cela ne se passe pas bien pour lui. »
-Père « Oui et après ! »
-Tom « Ce que Red veux vous demander c’est si vous voulez demander pour être la famille d’accueil de Rex. »

Nom père reste encore étonné il nous dévisage et semble se poser de sérieuse questions.

-Père « Les gars pour être une famille d’accueil, il faut du temps des évaluations psycho social et un tas de paperasserie. »
-Red « Pap tout est prêt a la DPJ de Ste-Therèse. Tu passe et tu ramasse Rex. Si nous pouvions le faire Tom et moi le ferions. Tu me crois.»

Il nous regarde les larmes au yeux et manque de nous étouffer en nous serrant sur lui. Surtout moi avec mes côtes encore fragiles.

-Père « Criss les gars laissez moi le temps d’en parler avec votre mère, si je ne le faisais pas je sentirais que je suis un trou du cul total. Fuck les enfants, désolé, messieurs vous travaillez pour le gouvernement ? »
-Red « Une agence para gouvernementale, Tom donne moi ma valise s’il te plaît. » Je l’ouvre et lui montre les trois cent cinquante billets de cent dollar. « Nous sommes payer contant et notre commanditaire nous fourni les pièces légal. » Je lui montre le dossier que je met sur ma table de travail. « Pour que mom le voit. Tom a gagner la même chose.»
-Père « Criss un punk qui travail comme agent de renseignement. »
-Tom « Vous pouvez appeler ça comme cela. Que ferez-vous, vous savez une bonne partie de ce qu’il en est.»
-Père « Combien de missions avez vous exécuté, la vérité. »
-Red « A date quatre. La première n’a pas été rémunéré mais les autres oui.»

Il nous embrassent et sort lentement. Nous nous regardons, sourions et marchons main dans la main vers notre lit, jouissant du bonheur très simple d’être ensemble.








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