Un coup de main
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Disclaimer:
This is a work of fiction. Any resemblance of characters to actual persons, living or dead, is purely coincidental. The Author holds exclusive rights to this work. Unauthorized duplication is prohibited.
Un coup de main XXI
Si vous n’avez pas 18 ans ou l’age légal dans le pays d’ou vous vivez veillez quitter maintenant. Ces histoires sont au sujet de garçon ou de garçons gay, si cela n’est pas de votre goût quitter maintenant. Toute ressemblance avec des personnes ou organisations existantes est purement accidentelle car ceci est une œuvre de pure fiction.Commentaire Jarvis_de_Var2001@yahoo.ca
Jarvis de Var
Un coup de main ?
Chapitre XXI
Le jeune homme se débat un peu quand je ferme les menottes sur ces poignets. Il se met a crier et a appeler à l’aide. Nous l’entraînons entre nous vers les cellules, il se rebelle contre nos instructions mais se résigne a entrer dans la cellule ou nous le poussons. Quelques un des esclaves qui sont dans les cellules dorment déjà. Une des filles celle qui a environ douze ans dors sur le sol près de son grabat. Tom tente d’ouvrir la cellule mais la porte refuse de s’ouvrir. Je m’approche et brusquement la porte s’ouvre, je m’éloigne en faisant signe a Tom de fermer la porte. Je fait glisser le contrôle radio sur le sol dans sa direction. La porte refuse obstinément de s’ouvrir, je m’approche et la porte s’ouvre. Je m’éloigne de nouveau et fouille dans ma besace. Le médaillon ! je le fait glisser sur le sol en sa direction. Tom le prend en main et la porte s’ouvre aisément. Il entre puis prend la jeune fille dans ses bras pour l’étendre sur son lit, il l’a borde fermant la porte en revenant vers moi. Il me met le médaillon autour du cou me caressant la joue pardessus ma cagoule. Je devine qu’il sourit. Le jeune homme s’arrête de crier et nous regarde interrogatif. Nous retournons vers l’autre corridor refermant la porte derrière nous. Dès que nous fermons la porte le silence est total les cellules doivent être insonorisé. Nous avançons avec précaution vers l’escalier menant à l’étage. Je range mon sabre et prend une matraque en main. Nous montons l’escalier a quatre pattes gardant la tête le plus près possible des marches. Arrivé a l’étage l’escalier débouche sur une encoignure il est invisible pour une personne dans la pièce de l’autre côté du coin, c’est normal c’est l’équivalent de l’entré des domestiques. Nous entendons des sons faible venant d’une certaine distance. Nous sommes debout près du coin, je regarde Tom lui faisant signe d’attendre mon signal. Je jette un coup d’œil c’est le hall d’entrée c’est vaste et ostentatoire, la richesse se voit et se sent, c’est sombre mais je peu voir aisément qu’il n’y a personne. Je traverse la pièce en direction de la serre que nous avons vus de l’extérieur. De l’autre côté je m’accroupis a l’abris d’une statue grec je présume. Je fait signe a Tom de me rejoindre. Il traverse le hall se faisant le plus petit possible, il me retrouve derrière la statue. Nous voyons au bout d’un corridor une forte lueur, je relève mes optiques et vois assez clairement le corridor, j’enlève l’amplificateur de lumière et le met dans ma besace, Tom fait de même. J’avance en rasant le mur, plus j’avance plus les sons deviennent fort, grognement et halètement le tout avec un fond de gémissements. Je m’aplatie sur le plancher pour aller plus avant sans me faire voir. Je perçois l’angle du bar c’est celui que nous avons vues précédemment. Un des homme que nous avons vus a ses doigts entré dans le vagin d’une gamine de dix ans maximum c’est elle qui gémie et se plain sans ouvrir la bouche, deux ruisseau de larmes coulent sur ses joue de façon continue. J’avale la boule de rage qui se forme dans ma gorge. Respirer la contraction et le stress non contrôlé tue l’esprit. Ok je fait signe a Tom de me rejoindre en rampant. J’observe plus avant et voie une jeune fille de quatorze ou quinze ans a quatre patte deux autre hommes s’occupent d’elle si on peu dire cela. Ils sont tout les trois nus, l’homme qui l’encule la fait rebondir comme un pantin avec ses coups de butoirs, la petite doit faire cent livres a tout casser (46kg) et la brute épaisse fait pour le moins deux cent cinquante livres (114kg). Pour son plus grand malheur un autre homme est devant elle et lui enfonce sans merci sa verge dans la gorge, il la tient par les oreilles et ne la laisse pas respirer. La bête s’amuse de ses spasmes, elle étouffe. Respire tu doit rester calme pour les ramener tous et toutes. Je sens Tom frémir contre mon bras. Je lui pointe celui qui torture la petite et colle me bouche sur son oreille.
-Red « Si tu es confortable avec tes katas de sai prend deux matraques ou si tu préfère une matraque et ton pistolet a injection dans ta main gauche. Quand je ferme la main c’est l’assaut. »
Il me fait oui de la tête s’accroupissant en position de sprint. Je prend deux matraques levant ma main gauche j’ouvre trois doigt, tenant la matraque avec mon pouce et mon auriculaire. Je ferme les doigts sur la matraque un a un. Quand ma main est fermé nous partons.
Le tortionnaire voyant Tom arrivé retire sa main et se lève. Il évite le premier coup de matraque frappant Tom sur la clavicule. Tom fait glisser le coup et dans le mouvement frappe l’homme au genoux, comme a l’entraînement, d’après l’angle il vient de lui arracher le ménisque intérieur du genou. L’homme tombe Tom double son attaque d’un coup de pied a la mâchoire. Il se penche sur l’homme en me surveillant et injecte l’anesthésique dans le cou du bourreau.
J’arrive en courant vers l’enculeur qui se retire vivement et se tourne vers moi. Sa verge et dégoulinante, son érection est énergique et son gland violacé, je simule une attaque de la main droite vers sa tête et frappe avec tout ce que j’ai son pénis près du gland. La réaction est immédiate il ne cri même pas, il s’affale en convulsions. L’autre se retire aussi mais me donne un violent coup de pied dans les côtes, il essaie de doubler son coup en me donnant un coup de pied au plexus. In extremis je bloque son pied et le repousse. Il reprend son équilibre se préparant a un second assaut quand Tom le frappe dans le cou par surprise, de ma position au sol je lui donne un coup de mule directement dans ses testicules. Nos coups sont quasiment simultané, la brute tombe sur les genoux tandis que Tom lui injecte une bonne dose d’anesthésiant. Malgré une vive douleur du coté droit je menotte et bâillonne les trois hommes. Je vois que Tom est sur le point d’injecté l’anesthésiant a celui donc le pénis est bleu maintenant.
-Red en japonais. « Non soigneur nous avons besoin de l’interrogé pour savoir ou sont les autres. »
La jeune fille qui était au prise avec les deux brutes est recroquevillée au sol une plainte continue sort de ses lèvres. L’autre les deux main entre les cuisses se berce lentement les yeux fermé. Je relève celle qui est a mes coté, quand elle me voit elle devient rigide, merde tout de noir vêtu cagoule gant etc. cela fait très S&M. Brusquement je prend une décision.
-Red en japonais. « J’enlève ma cagoule nous les terrorisons. Garde la tienne s’il te plait. »
J’ouvre le velcro a l’arrière de ma cagoule, mes cheveux sont trempés une chance qu’ils soient attachés. Mon visage aussi est dégoulinant de sueur.
-Red « Hey regarde moi, je ne suis pas ici pour te faite du mal. » Je l’attire sur moi pour la réconforté. Elle tremble de tout ses membres.
-Tom « Tient prend ce calmant. » Il lui tend un cachet puis vas cherché un verre d’eau au bar.
-Red « Prend ma main nous allons te reconduire dans ta cellule tu pourra t’y reposer. Nous viendrons te cherché pour t’amener en sécurité. »
Elle hésite puis prend ma main et se lève chancelante. Pendant ce temps Tom rassure la gamine, je suis sur qu’il est rouge comme une tomate le vagin de la petite saigne et il l’a convaincu de le laisser regarder. Celle qui a environ notre age lui dit que nous sommes de bon Maître et de se laisser faire. Tom lui fait un pansement absorbant pour arrêté l’hémorragie. Tom prend la petite dans ses bras et me regarde. Je guide la jeune fille en lui demandant son nom.
-Jeannine « Mon vrais nom est Jeannine tu es mieux de remettre ta cagoule avant d’entré dans le secteur des cellules, si trop de personnes te voient la description risque d’être bonne. »
-Red remettant ma cagoule. « Tu retrouve ton calme très rapidement. Tu doit être un adversaire redoutable. Je ne voudrais pas être dans la peau de tes agresseurs quand tu témoignera contre eux. »
-Jeannine « Celui qui le regrettera le plus c’est mon oncle qui m’a vendue il y a dix-sept mois. » Une larme coule sur sa joue. « Quand il ira en prison si tu peu t’assurer qu’il souffre de la même façon don j’ai souffert je me sentirais moins de rancœur. »
-Red « J’ai un ami qui a ses entrés dans toutes sortes de milieux je suis sur qu’il pourra faire quelque chose. »
Une fois la cagoule remise j’ouvre la porte et nous nous avançons vers les cellules.
-Red « Laquelle Jeannine ? »
Elle me pointe la deuxième porte près de l’entrée. La petite demande la permission d’aller avec Jeannine. Nous fermons la porte en promettant de revenir quand tout les obstacles seraient dissipés. Nous retournons rapidement a l’étage. L’homme au pénis bleu gémis sous son baillons, se tortillant pour se libéré. Je demande a Tom s’il peut me trouver une large bande élastique. Il fouille dans sa trousse et me montre un garrot de caoutchouc pour les prises de sang. Je lui dit que c’est parfait. Avec mes genoux j’écarte les jambes de l’homme et fait deux tour autour des testicules et de la verge bien maltraité de l’homme. Je serre jusqu'à ce qu’il se trémousse au sol. Je me relève et attend ce n’est pas très long son scrotum prend une belle teinte bleue. Je lui enlève son bâillon.
-Bleu « Criss de sale, haaaa ôte ça de ma queue. »
-Red « Je ne sais pas si tu es au fait mais si je n’ôte pas ce garrot d’ici une vingtaine de minutes les nerfs de ton gland vont mourir. Ta queue ne te fera plus damais jouir. Un peu plus longtemps aussi et tu perd aussi tes testicules. Tu ne sera plus un mec, en prison c’est la que tu vas aller, tu ne sera qu’un trou a violer et a soumettre aussi souvent que possible. »
-Bleu « Hostie, pose tes questions. »
-Red « Nous avons eu Karl et vous trois ou sont les autres ? »
-Bleu « Simon sa chambre est face a l’escalier mon passe est dans ma chemise, Raoul deux chambre a droite de Simon. Le patron est dans sa chambre de jeux au grenier mon passe ouvre mais il y a une alarme. »
Je fait signe a Tom d’utiliser son pistolet, quand il est dans les vapes je prend le temps de couper le garrot. Je ne peu faire autrement que de le coupé légèrement sa peau, la chair est enflé et recouvre le garrot. Je défait le haut de ma combinaison et demande a Tom de me faire un bandage. Il m’examine avec douceur et marmonne entre ses dents. Deux côtes cassé Red prend attention si non tu sera surnommer le samouraï tout abîmer. Ses mots sont légers mais je le sens tendu une vais mère poule. Je l’adore. Une fois mes côtes bien maintenues en place je remet ma combinaison. Ça fait mal mais c’est tolérable. Nous fouillons les chemises et le bar. Dans la poche d’une des chemises un type de bande magnétique encollé dans la poche de la chemise. Je la décolle délicatement et la recolle dans ma besace. Nous trouvons trois médaillons Tom en met un et met les deux autres dans sa besace. Il range aussi trois radio contrôle dans sa besace aussi. Nous montons a l’étage, arrivant devant la porte je fait signe a Tom que nous allons entrer. J’ouvre la porte lentement c’est noir a l’intérieur. Je sort l’amplificateur de lumière de ma besace et la met, l’homme est couché dans un grand lit, la pièce est luxueuse près du lit un glock 17. J’approche sabre au clair tom sur mes talon pistolet a la main. Nous arrivons près de l’homme j’appuie ma lame sur son cou pendant que tom injecte l’anesthésiant sur son biceps. L’homme a les yeux ouvert il me regarde et sais très bien ce qui lui arrive, il attend que le produit fasse effet. Je tend une paire de menotte a Tom gardant ma lame sur sa gorge. Il ouvre les yeux il faisait semblant d’être parti, Tom lui installe le bâillon et recule. Je le regarde s’affaiblir et dit dans un souffle.
-Red « Prison. »
-Homme « Plutôt la mort. »
-Red « Tu n’a pas le choix. »
Nous allons a l’autre chambre, debout de chaque coté de la porte. Lentement j’ouvre la porte, c’est obscure mais nous avons toujours nos amplificateurs de lumière nous entrons et opérons en douceur. Nous avançons vers la salle de jeu. Nous traversons le deuxième et nous rendons a l’escalier menant au grenier. Les marches sont de pierre grise sans cristaux de quartz pour les égailler. Il n’y a pas de rampe la cage d’escalier est en pierre noire décoré de cranes sculpter. Un faux fini de gouttes de sang, car le sang séché n’est pas d’un carmin éclatant, l’effet en reste quand même saisissant. Arrivé devant la porte le dernier.
-Red en japonais. « Si je suis obligé de l’exécuté ne me regarde pas faire ça. Détourne toi. »
-Tom « Samouraï je suis avec toi si c’est nécessaire je partagerai ta peine comme je partage tes joies. »
Je caresse son visage sous sa cagoule. Une matraque a la main j’ouvre la porte. Nous sommes obligé de relever nos oculaires la lumière est trop forte. En même temps nos oreilles sont agressé par des cris et des gémissements. Une vision dantesque s’offre a nos yeux de lourdes tenture de velours carmin ornent les murs, des croix, des chevalets, des chaînes, des instruments de torture autant moderne qu’ancien. De jeunes métis a la peau chocolat et au cheveux ondulé sont dans la pièce au centre un lit circulaire couvert d’un drap de caoutchouc rouge entouré de chaîne qui pendent du plafond. Un homme de six pieds quatre pouces (1,93m) assez musclé est couché sur le lit un enfant d’environ six ans empaler sur son pieux. Il est inconscient. Je suis saisie et ne bouge pas. L’homme lance l’enfant dans notre direction. Je l’attrape a demi, c’est-à-dire que je ralenti sa chute, l’enfant saigne abondamment. L’homme de dit pas un mot il est debout menaçant la verge couverte de sang il se tient en garde. Tom tente de porté secours au petit, je perçois le mouvement d’attaque et m’interpose entre l’homme et Tom. Il me donne un très solide coup de pied sur le coté de la tête. Il ne m’était pas destiné et fut moins violent. Je parvient a resté debout. Il sourit amusé nullement inquiet. Je le regarde j’ôte ma web belt ma besace ma veste pare-balles. Il me fixe sans dire un mot il a toujours ce sourire sur les lèvres. J’enlève aussi mon protecteur génital. Je tend la main vers le katana de Tom. Il me fait non de la tête je lui rétorque en faisant oui de la tête. L’homme souplement saute vers la croix la plus près de lui et saisie la gorge du jeune fixé sur celle-ci. Quand Tom me donne le katana il lâche l’enfant. Je fait glisser le sabre vers lui. Sans me quitter des yeux il prend l’arme et se relève en garde. Je me met en position d’offrande, le katana tendu derrière moi l’épaule gauche tendu vers mon adversaire la gorge ouverte a une attaque. Il tourne autour de moi, je fait une rotation sur un pied gardant la position. Il laisse tombé sa lame vers le sol, son attaque tranchera du sol vers le haut m’attaquant entre le plexus et la gorge. J’avance en relevant ma lame sous la sienne en avançant mon corps pivote de l’autre coté. Il est très rapide et précis il tranche ma combinaison et je sens un sang chaud couler dans celle-ci. Pour ma part son attaque me permet de le couper a l’intérieur de la cuisse si je suis chanceux j’ai touché une artère. Nous nous replaçons en garde la mienne est pointé vers sa gorge et la sienne est haute au dessus de sa tête. Je frappe du pied comme si je partait en attaque, il attaque en men, sur ma tête directement je fait un pas avant a quarante-cinq degré il effleure mon épaule. Je pivote et frappe ses poignets en tirant pour couper. Il tombe et spasme par terre la flaque de sang est impressionnante. C’est loin d’être comme au cinéma le flot rouge ne se tarie pas. Tom m’attrape quand il me voit poser un genoux au sol.
-Red « Pour un premier duel c’est pas si mal. »
-Tom enlève sa cagoule. « Criss Samouraï tu saigne abondamment. »
Il enlève ma cagoule et le haut de ma combinaison. La blessure n’est pas trop profonde cela chauffe et un élancement sourd irradie de celle-ci, elle commence a ma hanche droite et fini sous mon plexus. Tom grince littéralement des dents en m’examinant. Il me barbouille d’antiseptique et pose de nombreux bout de ruban adhésif imperméable pour fermer la plaie. Cela ne se fait pas sans douleur. Dès que l’écoulement sanguin se fait moins évident, plus lent qu’au début, quelques gouttes a peine. Je lui dit de s’occuper du petit qui est toujours en train de perdre son sang. Je libère quatre autre jeune noir ou métis si vous préférez. Ils ont tous été violé et il n’y a pas d’autre mots torturés. Tom très inquiet m’approche.
-Tom « Le petit est dans le coma. Il est en état de choc nous devons le conduire a l’Hospital au plus vite. »
-Red prenant ma radio. « Samouraï au forgeron. »
-Sam « Oui Samouraï. »
-Red « Nous avons une urgence. Tout les system on été éteint. L’UTC a été éliminé. Pouvez-vous venir avec une motoneige pour récupéré le soigneur et une très jeune unité son traitement doit être immédiat. »
-Axe « Ici le forgeron je me met en route. Il faudra au moins trente-cinq minutes. »
-Red « Le soigneur vas faire tout ce qu’il peu. Nous t’attendons a devant la maison. » je remet le haut de ma combinaison et ma cagoule. « Soigneur occupe toi des jeunes je vais cherché tes affaires dans la cabane. Je revient tout de suite mon ami. »
Je reprend ma web belt, ma veste, ma besace et mon protecteur génital. Je descend et sort par la porte principal je met l’amplificateur de lumière et me dirige vers la lueur que je sais être la cabane. J’aurais du aller au sous-sol et prendre mes raquettes. Grelottant j’arrive a la cabane. En entrant je suis soulager j’ai l’impression qu’il y fait chaud. Rex est la groggy a cause des calmants. Il me regarde tout emmitouflé dans mon parka, un sourire un peu béat sur les lèvres. Je lui caresse le coté du visage et remet du charbon dans le brasero je ne veux pas que le trou du cul échappe a la prison. Je secoue Rex.
-Red « Rex je suis venu te cherché. » j’enlève ses bottes a Karl. « Rex met ces bottes et ferme bien le parka sur toi. »
-Jaques marmonne a demi endormi. « Oui Maître avec plaisir Maître. Tu ne me fera pas mal Maître. »
Je ramasse tout le matériel de Tom.
-Red « Appuie toi sur moi Rex nous allons aller au chaud et tu pourra manger si tu veux. »
-Jaques « Sérieux Maître merci Maître gardez moi Maître. »
Appuyer l’un sur l’autre nous peinons vers le manoir. Cela nous prend près de cinq minutes pour faire cent mètres. Nous entrons dans le sous-sol j’aide Rex a enlevé son parka et fouille dans les casiers, pour les ouvrir je doit utiliser les clefs que nous avons trouvé, en fouillant je trouve des shorts qui peuvent servis a Rex. Il les mets en souriant d’un air absent. Je l’installe dans une cellule vide et le couvre d’une couverture.
-Jaques « Vous allez revenir me chercher Maître. » Il me dit cela en s’agrippant a mon bras.
-Red « Oui, mais tu doit te reposer, dors maintenant Rex. »
Il me tient la main en s’endormant. En quittant la cellule je ferme doucement la porte. Je ramasse tout le matériel don Tom aura besoin et je fouille encore dans les casiers. Finalement je trouve un sac de couchage. Ils pourrons transporté le petit dedans. Je monte le tout dans le hall d’entré puis monte cherché Tom. Il a descendu tout les jeunes sur le palier de deuxième étage. Il a le petit dans les bras. Mon beau Tom pleure sans bruit il le berce dans ses bras.
-Red « Soigneur. » Je lui touche l’épaule. « Il faut descendre et vous préparer a partir. »
-Tom « Red il est très faible. Il peut mourir. »
-Red lui prenant le menton. « S’il meurt se sera dans tes bras tout enveloppé de ton amour et de ta compassion. » Je le tire vers moi. « Descendons je vais m’occuper de tout ce beau monde. Je sais que tu fera de ton mieux pour le petit. »
Nous descendons en silence, Tom s’habille pendant que te tient l’enfant dans mes bras. Il est si léger si fragile, il a eu un karma difficile. Avant de le rendre a Tom je l’embrasse sur le front. J’ouvre le sac de couchage pour qu’il puisse le déposer dans celui-ci. Je dit a Tom de m’attendre sortant pour entendre Axe arrivé avec sa motoneige.
Au bout de quelques minutes il arrive sur un Sky-Doo et Sam est sur un Artic Cat. J’ouvre la porte et Tom descend rapidement vers Axe qui l’attend sur sa motoneige.
Manoir
-Sam « Red ou est la salle de contrôle ? »
-Red « Probablement au deuxième. »
En arrivant sur le palier elle voit les garçons au sol ils sont ornés de nombreux bandages. L’œuvre de Thomas. Quand elle voit le sang autour d’eux elle a visiblement un haut le cœur. Je prend la besace de Tom et lui donne un des médaillons.
-Red « Met ça sur toi c’est une clef électronique. Les portes s’ouvre a proximité du médaillon. » Touchant ma besace. « J’ai un passe allons ouvrir toutes les portes de l’étage. »
Nous ouvrons la majorité des portes du deuxième avant que nous trouvions ce que nous cherchions. Elle se met a l’œuvre pendant que je m’occupe des petits sur le palier. Je les descend un a un et les installent dans des cellules vides. Pour la suite des activités je m’habille puis me rend a la cabane pour traîner Karl a l’intérieur. Dans la cuisine je découvre une réserve qui se barre et les étagères sont fixé au mur. J’attache Karl a une étagère puis monte pour descendre toutes cette racailles bien menotter au étagères dans la réserve. C’est long et ma plaie se remet a saigné moins qu’après le coup mais cela saigne quand même. J’espère que Tom vas revenir bientôt. Bon la nourriture et les liquides. Je retourne a la cuisine et explore la chambre froide. Toute une collection de repas préparé par un traiteur. Il s’agit de faire chauffé seulement. Je prépare une vingtaine de repas et met le tout sur un chariot de service. J’ai trouvé aussi quelques caisses de soda, j’en prend une quarantaine de canettes. Je me rend du coté des cellules pour y faire la distribution. La majorité d’entre eux sont plus ou moins groggy mais s’emparent avidement des plateaux et des canettes. Je m’aperçoit que Jeannine est sortie et m’aide a faire la distribution. Rex une canette a la main est accroché a mes basques. Je ne comprend pas pourquoi il pleure. Je crois que je vais m’étendre je suis très fatigué.
Urgences
Axe conduit aussi vite qu’il peu, c’est-à-dire vint-cinq a trente km. Au bout d’une demi heure il arrête devant une maison.
-Axe « Garde ta cagoule je vais couper la ligne téléphonique. Entre c’est un vétérinaire. C’est tout ce que nous avons sous la main. »
-Tom « Ok, j’ai le petit dans les bras je me lève et tu me donne mon katana. »
Tom s’avance sur le bras gauche un précieux paquet et dans la main droite son katana. Il sonne et frappe pendant trois ou quatre minutes avant qu’une dame dans la quarantaine ouvre la porte. Grâce a la tempête sa cagoule est passé inaperçu. Dès qu’elle voit Tom elle lance un cri et recule. Venant de l’escalier un bruit de course. Un homme du même age arrive en bas pour faire face a une lame pointé sur sa gorge.
-Tom en fermant la porte. « Assoyez-vous . » En les gardant a l’œil il pose son précieux paquet par terre et l’ouvre. « Cet enfant a été violé et torturé. » La dame se précipite vers l’enfant ne tenant plus compte de Tom. « Il est en état de choc ses pulsation sont rapide sa respiration est superficiel. Si vous le pouvez. Sauvez le, c’est un innocent et il a souffert plus que vous pourriez l’imaginer. »
L’homme fait signe qu’il le fera, sa femme lui emporte l’enfant et ils partent vers l’arrière de la maison avec le petit.
-Tom murmure. « Tout mes souhaits t’accompagne petit ange. »
Il sort rapidement, montant sur la motoneige.
-Tom « Vite partons, retournons au manoir. »
Ils roulent pendant quarante ou quarante-cinq minutes avant d’arrivé au manoir. Ils entrent par la porte principal. Axe remarque des trace de sang qui mènent vers l’escalier de service. Ils s’empressent de descendre, ils voient dans la corridor les traces de nombreux aller retour. Tom s’élance vers les cellules en ouvrant la porte il est accueillit par Jeannine le katana a la main. Elle regarde Tom puis baisse son arme. Red est couché par terre, Rex est serré sur lui le tenant d’un bras et tenant une canette de soda de l’autre main.
-Jeannine « Il a perdu beaucoup de sang, il respire bien ses pulsation son bonnes. »
-Tom « Merci, veux-tu prendre Rex le temps que je l’examine. »
-Jeannine « J’ai essayé, il devient totalement hystérique s’il ne peu lui toucher. »
-Tom « Rex tient lui la main je doit le soigner si tu veux qu’il se réveille. »
-Rex « Oui Maître, est-ce que mon Maître vas se réveiller bientôt il doit m’emmené loin d’ici il me l’a dit et il m’a donné ça. » Il montre la canette de soda comme si c’était de l’or. « Ma mère m’en donnais et il m’en a donné une. Il m’a promis de m’emmené.»
Jeannine apporte le plateau de Rex il ne lui avait pas toucher. Il laisse Jeannine le nourrir refusant de lâcher la canette et la main de Red.
-Axe « Je peux te laisser … Soigneur il faut que je vérifie l’info. »
-Tom « C’est correcte Jeannine est la pour m’assister si besoin est. »
Ôtant le haut de la combinaison de Red il voit que la moitié de la plaie s’est ouverte et merde on voie la membrane blanche qui recouvre les muscles de son abdomen. Il vas essayer de le coudre sans anesthésie. Son Red a perdu beaucoup de sang il ne veux pas prendre le risque de l’endormir.
-Tom « Jeannine je vais te donner des enveloppes, quand je te le demanderais tu me les donnera ouverte sans toucher ni au fil ou a l’aiguille. D’accord. »
-Jeannine « Sans problème, tu vas lui faire des points ? »
-Tom « Oui il faut le faire rapidement pendant qu’il est inconscient. »
Il sort les pinces et l’antiseptique qu’il badigeonne généreusement sur Red. Prenant les pinces et l’aiguille recourbé il commence son travail de couture. Jeannine est d’une aide appréciable elle observe et est toujours prête avec le matériel pour Tom. Rex grince des dents voyant l’aiguille entrant et sortant de la peau de Red. Peu a peu la plaie est refermé. L’épanchement sanguin se résorbe. Heureusement Red ne s’est pas réveillé. Sa respiration est bonne son teint est plus pale qu’a l’habitude, il est chaud il devrais être correct. Tom peu enfin sourire sous sa cagoule.
-Jaques « Mon Maître vas bien. Maître. »
-Tom « Le Samouraï don tu tient la main veux que tu soit un Maître. Ton propre Maître. Veille sur lui protège le je vais revenir dans quelques minutes. »
-Jeannine « Je vais superviser. »
Tom fouille un peu avant de trouver Axe et Sam dans le centre de surveillance. Près d’un des panneau de contrôle une flaque de vomit. Il les regardent interrogatif.
-Sam « Par accident j’ai ouvert la caméra de surveillance dans son donjon. »
-Tom « Je te comprend ce n’est pas beau a voir. » Regardant Axe. « Vous en avez pour combien de temps ? »
-Axe « Encore deux ou trois heures une heure pour tout extraire et enlever tout les supports physique ayant enregistrer les évènements vous incluant. » regardant autour de lui. « Au moins deux heures pour tout effacer. Certaines traces vont resté mais on ne les verra pas, il ne faut rien laisser dévident qui poissent être rapporté par les premier intervenants. »
Sur ce ils se remettent au travail. Sam ouvre la caméra de surveillance des cellules. Pour qu’ils puissent avoir un oeil sur Red et les esclaves. Au bout de quarante minutes ils voient Red bouger sur l’écran. Tom descend les escaliers a la course, il ouvre la porte pour entendre Red réclamer son Soigneur. Rex tient toujours Red comme une bouée de sauvetage.
-Tom avec des tremblement dans la voix. « Samouraï tu a ouvert tes blessures et tu a saigner jusqu'à perdre connaissance. »
-Jaques « Tu es un samouraï Maître ? »
-Red « Oui Rex un samouraï très fatigué je doit me reposer. Couche toi a coté de moi et dors un peu Rex. » Je lui caresse les cheveux pour l’endormir.
-Tom me prenant la main. « Nous serons prêt a partir dans deux heures. Nous allons prévenir les autorités avant de partir. »
-Jeannine « Soyez certain qu’il y aie une intervention rapide les invités étaient prévus pour 20h ce soir. »
-Tom « Ils seront arrivés bien avant cela. Je vais prévenir le forgeron, prend soin de lui Jeannine. »
-Jeannine « Ne craint rien tu le retrouvera intact. Il m’a promis certaines choses et j’y tient vraiment . »
Tom, Sam et Axe s’affaire a faire disparaître toute trace évidente de notre intervention. Il ont une lourde tache, quand il ont finie celle-ci les deux rabatteur nous attendent dans le hall et Tom vient me chercher. Quand il entre il nous vois endormi cote a cote dans le corridor. Jeannine parle au autres captifs. Tom me réveille et sans le vouloir réveille Rex en même temps. Il s’accroche a moi.
-Red « Rex je t’ai promis de t’emmener mais je doit te laisser ici. » Il me lance un regard si désespéré que je ne peu me résoudre a le laisser sur place.
-Jaques « Je ferai tout ce que tu voudra Maître. Emmène moi loin d’ici. » Il pleure a chaude larmes.
-Tom « Samouraï je connais un endroit ou nous pouvons le laisser. Vite il faut l’habiller avant de pouvoir l’emmener avec nous. »
Rex me fait mal quand il me serre dans ses bras. Je vois Tom qui veux intervenir mais je lui fait non de la tête. Il le laisse sur moi pour quelques instant. Nous allons exploré les casiers et trouvons des vêtements trop grand pour Rex mais ils peuvent lui faire usage. Quand Axe et Sam nous voient avec le petit ils froncent les sourcils.
-Tom « Nous passons chez le vet puis nous partons. »
J’assois le petit entre Sam et moi. cette balade en motoneige se passe assez mal pour moi. Nous sommes secouer mais le bon coté des choses c’est que le vent semble diminué un peu. Après un temps qui me semble interminable nous arrivons devant une maison. Je porte Rex dans mes bras, Tom me suis arme a la main, arrivé a la porte Tom frappe. Nous voyons les canons juxtaposé un fusil de calibre 12, derrière ceux-ci un homme dans la quarantaine. A ses coté une dame du même age. Voyant ce que j’ai dans les bras elle me tire a l’intérieur.
-Red « Ce petit a besoin d’un abris, vous n’aller pas le laisser dans la tempête ? »
-Jaques « Maître ne me laissez pas ici. Je veux aller avec vous. »
-Red « Tu doit retrouver tes parents et devenir fort pour protégé ceux qui en ont besoin. Je vais regarder comment tu te débrouille, de loin. Mon ombre est sur toi. »
-Dame « Laisse les partir ce ne sont pas des criminels. Je ne sais pas ce qu’ils sont mais j’ai confiance. »
-Tom « Nous devons partir prenez soin d’eux. Comment vas le petit ? »
-Homme « Il récupère aussi tôt que le temps s’éclaircira nous l’emmènerons a l’hospital. »
Nous les saluons de la tête en reculant vers la porte. Rex me prend la main.
-Jaques « Ma mère m’appelais Jaques, mon nom est Jaques Maître, Jaques Seguin si tu veux me retrouver Maître. »
Je lui caresse les cheveux et sort en reculant. Une fois la porte fermé nous nous assoyons sur les motoneige et décampons en vitesse. Nous rejoignons le chalet, Axe se sert d’un téléphone satellite pour communiquer avec les autorités. Tom m’entraîne dans la chambre et me dé habille lentement.
-Tom « Mauvais garçon, tu a faillis mourir c’est sérieux. Tu n’es pas une machine, ton esprit ne peu pas agir a lui seul. »
-Red « Ne t’inquiète pas Punky. Quand je me suis aperçu que cela saignait de nouveau, je me suis demandé si tu allais être long a revenir. Transporter le groupe des brutes c’est ce qui m’a le plus malmené mes pansements. Plus tard la perte de sang m’a rendu un peu gaga et je ne pensais qu’a finir le travail que j’avais a faire. Désolé mon Punky. Nous parlerons de tout cela demain je suis très fatigué. »
-Tom prenant ma tête entre ses bras. « Dors Samouraï, il n’est pire obligation que celle qui sont librement consenties. »
Nous nous embrassons. Je devient inerte ente les bras de mon beau Punky. Après un temps non déterminé je reviens par mis les vivants. Avant d’ouvrire les yeux j’explore mes sensations, mes côtes me font un mal de chien, tout mon corps est raide et douloureux une tension cuisante irradie de mon abdomen. Je vais demander des calmants a Punky, et en plus je crois que je fait de la fièvre.
-Tom « Red tu es brûlant tu fait cent un degrés de température (38,3c). »
J’ouvre les yeux.
-Red « Peux-tu me donner des calmants, je ne me sens pas très bien. »
-Tom « Sam vient ici s’il te plaît. » Il enlève le pansement de mon abdomen. « Regarde Sam les bords d’une partie de la plaie et certain points sont enflammé, rouge et chaud. »
-Sam regardant ma blessure. « Nous allons faire quelques appels pour un médic. » Me regardant. « Est-tu assez en forme pour nous conté ce qui arrivé est surtout comment la cible est-elle morte ? »
-Red « Oui pas de problèmes. »
Je raconte les événements qui sont arrivés, l’espèce d’amusement que j’ai vu dans son regard quand il nous a vu. Il est resté calme et n’a démontré aucune surprise il a tout simplement arrêté de violer un enfant de six ans environ et la lancé sur nous pour nous retarder. Quand j’ai demander son katana a Tom, celui-ci a hésiter. D’un mouvement il a saisit la gorge d’un ado et la lâché seulement quand Tom m’a glisser son sabre. Il m’a regarder enlevé mes protections avec un sourire moqueur. Il voulait ce duel autant que moi. Sam de demande qu’en est-il pour mes côtes ? Je lui répond que c’est dans un combat précédent, l’homme qui se faisait faire un blow job a eu le temps de me donner un coup de pied. Rien de bien méchant.
-Sam « Rien de bien méchant, tu a été en duel contre un autre spécialiste des arts avec trois cotes cassé ! »
Je rougi légèrement, lui disant de laisser tombé. C’est mon travail et nous avons réussis a libéré dix-neuf esclaves. Je considère cette mission comme étant un succès total. L’homme que j’ai tué désirait sa mort, il m’a invité a la danse de mort ou seul un des participant en sort vivant, peut-être ! Cet esprit désirait le test ultime, de faire face a son propre jugement, je ne voudrais pas sa place. Malgré qu’il ai été complètement dévoué au mal, il avait un certain sens de l’Honneur. Plus tard dans la soirée Tom et Axe viennent me rejoindre dans la chambre, ils portent entre eux une civière. Je refuse de me coucher sur celle-ci alléguant que c’est une bonne façon de se faire remarqué.
-Red « Punky tu ne préfèrerais pas me servir de béquille ? »
-Tom « Oui mais tu vas souffrir, Mauvais garçon, assis dans le van tes cotes ! »
-Red « Reste a ma gauche je m’appuierais sur toi
-Tom « Mauvais garçon nous ferons comme tu veux. Je sais que tu a la tête très dure et que tu es un macho fini. »
Il m’embrasse et m’aide a m’habiller, dès qu’Axe voit que nous n’utiliserons pas la civière in repart avec celle-ci. J’arrête Tom et demande a prendre ma douche. Il me répond fermement non. Me forçant a rester sur place, au bout de quelques instants il revient armé d’une bassine, de savon et de nombreuses serviettes. Je doit me résoudre a me laisser laver, tout le long de cette opération je grogne pour la forme. Dans le fond j’apprécie cette attention. Trente minutes plus tard nous entrons dans le van qui a été chargé. Les routes sont couvertes d’une épaisse couche de neige arrivé au village il y a un barrage de la SQ. Ils vérifient toutes les voitures, je regarde Axe qui est au volant il attend sont tour et ne semble pas inquiet du tout. Quand l’agent regarde a l’intérieur Axe lui présente un porte carte et d’un même mouvement Sam aussi.
-Axe « Programme de protection des témoins. »
L’agent recule rapidement et fait nous signe d’avancer. Le trajet se fait assez silencieusement je suis a demi endormi a cause des calmant que j’ai pris. Affalé sur Tom, qui a passé un bras autour de moi je suis confortable. Je me réveille, il me tire le nez.
-Tom « Réveille toi Red, nous sommes arrivés. »
-Red « Ou sommes nous ? »
-Tom « Ste-Thérèse, un bureau de la DPJ. »
-Axe « Entrez je vais parler au médecin. »
Nous entrons tout les trois, c’est vide sur le comptoir les heures d’ouverture stipule que la clinique ferme à 20h. Il est 22h, Axe revient au bout d’une quinzaine de minutes. Tom et Axe m’aide a entrée dans la salle de traitement. J’y vois une femme d’environ vingt-cinq ans, assez jolie, brunette a la peau mate, elle porte un sarrau. Elle me sourit, il est visible qu’elle a pleurée.
-Caro « Bonjour Samouraï, on m’a dit que c’était ton nom de code. Moi c’est Caroline mais tu peu m’appeler Caro. »
Elle me demande de me dévêtir et de garder que mes sous vêtements. Elle voit que j’ai de la difficulté et me demande si j’ai besoin d’aide. Je lui répond que non. Je fini a peine de parler quand j’entend Tom qui s’éclaircie la gorge.
-Tom « Madame c’est le pire macho que je connais, il doit prouver a tout qu’il est l’indépendance personnifié. Je suis le Soigneur le compagnon du Samouraï. Si vous permettez je vais vous assister, je le connais. »
-Caro « Moi c’est Caro, si vous voulez le déshabiller nous allons examiner ce mauvais sujet. »
-Tom ne peux s’empêcher de sourire en l’entendant m’appeler ainsi. « A 17h sa température était de cent un degré F (38,3c), sa plaie est rouge et enflée, pression cent vingt-quatre sur quatre-vingt deux, pulsation soixante-huit par minutes. »
Elle demande a Red de s’étendre sur la table d’examen, elle palpe mon abdomen c’est relativement désagréable a certain endroit. Elle fait des prélèvements, puis s’éloigne avec Tom vers l’écran d’ordinateur sur son comptoir. Elle regarde les dernier instants de la cible en image par image. Elle en pointe à plusieurs reprise et parle de contamination de sang a sang. Un peu irrité.
-Red « De quel contamination parlez-vous ? »
-Caro « Axe m’a dit que le pervers arrivait d’Haïti, il a du recevoir des vaccins. Hépatite, malaria etc., il faut faire des analyses sanguines. »
-Red « Il ne faut pas oublier les tests pour le Sida. Ce serais ironique d’attraper le Sida en éliminant un pervers comme vous dites. »
Tom et Caro me prennent de nombreuses éprouvettes de sang. Elle me fait une transfusion sanguine. Puis nous laissent seul en fermant le plafonnier.
-Red souriant. « Il vas falloir acheté des capotes pour un certain temps. Jusqu’au résultat final pour ce qui est du Sida. »
-Tom « Le Sida me prend pas sur les Mauvais garçons. » Il me prend la main et appuie son front sur le mien. « Tu vas me faire plaisir et ne pas être malade.
-Red sentant ses larmes couler sur ma jour. « Hey ! Punky il ne faut pas pleuré sur le lait perdu avant que la jarre ne tombe. » Je lui relève la tête. « On peu toujours s’embrasser sans prendre de précaution. »
Nous nous embrassons avec passion quand nous sommes inondé de lumière. Caro entre pour vérifié la transfusion.
-Caro « Excusez moi. » Elle tourne les talons.
-Tom « Vous pouvez entrer cela ne nous gêne pas, Samouraï est mon compagnon. »
-Caro esquissant un sourire. « Je m’excuse j’aurais du frapper avant d’entré. Dès que la transfusion sera terminé, je vais vous mettre des antibiotiques en intraveineux, Soigneur aura les autres antibiotique que vous devrez prendre quatre fois par jour en mangeant. Questions les gars ? »
-Red « Quand aurez-vous les résultat des test ? »
-Caro « Les premier résultats d’ici trois semaines, pour ce qui est des tests pour le Sida si c’est négatif vous aurez a passer un autre test dans trois mois. Si ce test est négatif aussi vous êtes tout les deux correct. »
-Red regardant Tom. « Soigneur plusieurs boites de condoms. »
-Caro « Il y a très peu de chance que vous ayez été contaminé ne vous en faite pas. Prenez les précautions d’usage. Je vais faire les tests le plus rapidement possible. Mais a la rapidité de vos réactions je crois que vous réagissez au anticorps du pervers. »
-Red « Au fait vous travailler pour la DPJ ? »
-Caro « Oui ! »
-Red « Pourriez-vous vous renseigner sur ce que vas devenir Jaques Seguin c’est un des captifs qui a été libéré. Laissez savoir a Axe ce qui lui arrive, Tom et moi nous sentons responsable de ce qui lui arrivera.» Je regarde Tom.
-Tom « Oui, ceux qui t’aime trouve grâce a mes yeux. De plus il a passé des mois que je devine des plus difficile.»
Peu de temps après Caro change ma tubulure et me met sous soluté d’antibiotique. Je reste au lit avec Tom près de moi jusqu’à 02h. Suite a l’injection de tout ces liquide j’ai hâte de me lever, j’ai la vessie gonflé comme un gant de boxe. Je me lève et me sens plus solide sur mes jambes, tout mon thorax me fait mal, bouger mes bras est pénible. Tom m’aide a m’habiller. Je me rend a la salle d’eau, quel soulagement. Axe et Sam viennent nous cherché. Il nous disent qu’il vont nous installer dans un motel pour ce soir et qu’ils verrons à ce qu’un autobus scolaire vienne nous cherché vers 12h, il y aura deux valises pour nous contenant des reçu et des talons de chèques pour différent travaux exécuté au cours de l’année. Le tout n’est pas en ordre laissez ces documents traîné sur vos bureau de travail ce devrais être trop tentant pour vos parents. Vous aurez gagnés environ quarante mille dollars. Il ne disent que j’aurai un rapport médical concernant un accident de ski, la barre de métal soutenant la clôture de protection a la limite de la piste t’a déchiré l’abdomen. Ils nous demandent si tout est correct.
-Red « La captive nommer Jeannine m’a dit que son oncle l’avait vendu. Elle entend témoigner contre lui. Elle m’a demander que si celui-ci allait en prison qu’il lui arrive la même chose que ce qu’elle a subit. »
-Sam « Je vais garder un oeil sur ça. Je t’en donne des nouvelles. »
-Axe « Tu veux savoir ce que deviendra Jaques Seguin ? »
-Tom « Il était extrêmement attaché a Red et nous nous sentons responsable. »
-Axe « Pas de trouble les gars. Nous vous donnons des nouvelles. »
Ils nous laissent dans un motel assez class, Tom me tombe littéralement dans les bras pour lui la journée a été longue et parsemé de nombreuses émotions.
Jarvis de Var
Un coup de main ?
Chapitre XXI
Le jeune homme se débat un peu quand je ferme les menottes sur ces poignets. Il se met a crier et a appeler à l’aide. Nous l’entraînons entre nous vers les cellules, il se rebelle contre nos instructions mais se résigne a entrer dans la cellule ou nous le poussons. Quelques un des esclaves qui sont dans les cellules dorment déjà. Une des filles celle qui a environ douze ans dors sur le sol près de son grabat. Tom tente d’ouvrir la cellule mais la porte refuse de s’ouvrir. Je m’approche et brusquement la porte s’ouvre, je m’éloigne en faisant signe a Tom de fermer la porte. Je fait glisser le contrôle radio sur le sol dans sa direction. La porte refuse obstinément de s’ouvrir, je m’approche et la porte s’ouvre. Je m’éloigne de nouveau et fouille dans ma besace. Le médaillon ! je le fait glisser sur le sol en sa direction. Tom le prend en main et la porte s’ouvre aisément. Il entre puis prend la jeune fille dans ses bras pour l’étendre sur son lit, il l’a borde fermant la porte en revenant vers moi. Il me met le médaillon autour du cou me caressant la joue pardessus ma cagoule. Je devine qu’il sourit. Le jeune homme s’arrête de crier et nous regarde interrogatif. Nous retournons vers l’autre corridor refermant la porte derrière nous. Dès que nous fermons la porte le silence est total les cellules doivent être insonorisé. Nous avançons avec précaution vers l’escalier menant à l’étage. Je range mon sabre et prend une matraque en main. Nous montons l’escalier a quatre pattes gardant la tête le plus près possible des marches. Arrivé a l’étage l’escalier débouche sur une encoignure il est invisible pour une personne dans la pièce de l’autre côté du coin, c’est normal c’est l’équivalent de l’entré des domestiques. Nous entendons des sons faible venant d’une certaine distance. Nous sommes debout près du coin, je regarde Tom lui faisant signe d’attendre mon signal. Je jette un coup d’œil c’est le hall d’entrée c’est vaste et ostentatoire, la richesse se voit et se sent, c’est sombre mais je peu voir aisément qu’il n’y a personne. Je traverse la pièce en direction de la serre que nous avons vus de l’extérieur. De l’autre côté je m’accroupis a l’abris d’une statue grec je présume. Je fait signe a Tom de me rejoindre. Il traverse le hall se faisant le plus petit possible, il me retrouve derrière la statue. Nous voyons au bout d’un corridor une forte lueur, je relève mes optiques et vois assez clairement le corridor, j’enlève l’amplificateur de lumière et le met dans ma besace, Tom fait de même. J’avance en rasant le mur, plus j’avance plus les sons deviennent fort, grognement et halètement le tout avec un fond de gémissements. Je m’aplatie sur le plancher pour aller plus avant sans me faire voir. Je perçois l’angle du bar c’est celui que nous avons vues précédemment. Un des homme que nous avons vus a ses doigts entré dans le vagin d’une gamine de dix ans maximum c’est elle qui gémie et se plain sans ouvrir la bouche, deux ruisseau de larmes coulent sur ses joue de façon continue. J’avale la boule de rage qui se forme dans ma gorge. Respirer la contraction et le stress non contrôlé tue l’esprit. Ok je fait signe a Tom de me rejoindre en rampant. J’observe plus avant et voie une jeune fille de quatorze ou quinze ans a quatre patte deux autre hommes s’occupent d’elle si on peu dire cela. Ils sont tout les trois nus, l’homme qui l’encule la fait rebondir comme un pantin avec ses coups de butoirs, la petite doit faire cent livres a tout casser (46kg) et la brute épaisse fait pour le moins deux cent cinquante livres (114kg). Pour son plus grand malheur un autre homme est devant elle et lui enfonce sans merci sa verge dans la gorge, il la tient par les oreilles et ne la laisse pas respirer. La bête s’amuse de ses spasmes, elle étouffe. Respire tu doit rester calme pour les ramener tous et toutes. Je sens Tom frémir contre mon bras. Je lui pointe celui qui torture la petite et colle me bouche sur son oreille.
-Red « Si tu es confortable avec tes katas de sai prend deux matraques ou si tu préfère une matraque et ton pistolet a injection dans ta main gauche. Quand je ferme la main c’est l’assaut. »
Il me fait oui de la tête s’accroupissant en position de sprint. Je prend deux matraques levant ma main gauche j’ouvre trois doigt, tenant la matraque avec mon pouce et mon auriculaire. Je ferme les doigts sur la matraque un a un. Quand ma main est fermé nous partons.
Le tortionnaire voyant Tom arrivé retire sa main et se lève. Il évite le premier coup de matraque frappant Tom sur la clavicule. Tom fait glisser le coup et dans le mouvement frappe l’homme au genoux, comme a l’entraînement, d’après l’angle il vient de lui arracher le ménisque intérieur du genou. L’homme tombe Tom double son attaque d’un coup de pied a la mâchoire. Il se penche sur l’homme en me surveillant et injecte l’anesthésique dans le cou du bourreau.
J’arrive en courant vers l’enculeur qui se retire vivement et se tourne vers moi. Sa verge et dégoulinante, son érection est énergique et son gland violacé, je simule une attaque de la main droite vers sa tête et frappe avec tout ce que j’ai son pénis près du gland. La réaction est immédiate il ne cri même pas, il s’affale en convulsions. L’autre se retire aussi mais me donne un violent coup de pied dans les côtes, il essaie de doubler son coup en me donnant un coup de pied au plexus. In extremis je bloque son pied et le repousse. Il reprend son équilibre se préparant a un second assaut quand Tom le frappe dans le cou par surprise, de ma position au sol je lui donne un coup de mule directement dans ses testicules. Nos coups sont quasiment simultané, la brute tombe sur les genoux tandis que Tom lui injecte une bonne dose d’anesthésiant. Malgré une vive douleur du coté droit je menotte et bâillonne les trois hommes. Je vois que Tom est sur le point d’injecté l’anesthésiant a celui donc le pénis est bleu maintenant.
-Red en japonais. « Non soigneur nous avons besoin de l’interrogé pour savoir ou sont les autres. »
La jeune fille qui était au prise avec les deux brutes est recroquevillée au sol une plainte continue sort de ses lèvres. L’autre les deux main entre les cuisses se berce lentement les yeux fermé. Je relève celle qui est a mes coté, quand elle me voit elle devient rigide, merde tout de noir vêtu cagoule gant etc. cela fait très S&M. Brusquement je prend une décision.
-Red en japonais. « J’enlève ma cagoule nous les terrorisons. Garde la tienne s’il te plait. »
J’ouvre le velcro a l’arrière de ma cagoule, mes cheveux sont trempés une chance qu’ils soient attachés. Mon visage aussi est dégoulinant de sueur.
-Red « Hey regarde moi, je ne suis pas ici pour te faite du mal. » Je l’attire sur moi pour la réconforté. Elle tremble de tout ses membres.
-Tom « Tient prend ce calmant. » Il lui tend un cachet puis vas cherché un verre d’eau au bar.
-Red « Prend ma main nous allons te reconduire dans ta cellule tu pourra t’y reposer. Nous viendrons te cherché pour t’amener en sécurité. »
Elle hésite puis prend ma main et se lève chancelante. Pendant ce temps Tom rassure la gamine, je suis sur qu’il est rouge comme une tomate le vagin de la petite saigne et il l’a convaincu de le laisser regarder. Celle qui a environ notre age lui dit que nous sommes de bon Maître et de se laisser faire. Tom lui fait un pansement absorbant pour arrêté l’hémorragie. Tom prend la petite dans ses bras et me regarde. Je guide la jeune fille en lui demandant son nom.
-Jeannine « Mon vrais nom est Jeannine tu es mieux de remettre ta cagoule avant d’entré dans le secteur des cellules, si trop de personnes te voient la description risque d’être bonne. »
-Red remettant ma cagoule. « Tu retrouve ton calme très rapidement. Tu doit être un adversaire redoutable. Je ne voudrais pas être dans la peau de tes agresseurs quand tu témoignera contre eux. »
-Jeannine « Celui qui le regrettera le plus c’est mon oncle qui m’a vendue il y a dix-sept mois. » Une larme coule sur sa joue. « Quand il ira en prison si tu peu t’assurer qu’il souffre de la même façon don j’ai souffert je me sentirais moins de rancœur. »
-Red « J’ai un ami qui a ses entrés dans toutes sortes de milieux je suis sur qu’il pourra faire quelque chose. »
Une fois la cagoule remise j’ouvre la porte et nous nous avançons vers les cellules.
-Red « Laquelle Jeannine ? »
Elle me pointe la deuxième porte près de l’entrée. La petite demande la permission d’aller avec Jeannine. Nous fermons la porte en promettant de revenir quand tout les obstacles seraient dissipés. Nous retournons rapidement a l’étage. L’homme au pénis bleu gémis sous son baillons, se tortillant pour se libéré. Je demande a Tom s’il peut me trouver une large bande élastique. Il fouille dans sa trousse et me montre un garrot de caoutchouc pour les prises de sang. Je lui dit que c’est parfait. Avec mes genoux j’écarte les jambes de l’homme et fait deux tour autour des testicules et de la verge bien maltraité de l’homme. Je serre jusqu'à ce qu’il se trémousse au sol. Je me relève et attend ce n’est pas très long son scrotum prend une belle teinte bleue. Je lui enlève son bâillon.
-Bleu « Criss de sale, haaaa ôte ça de ma queue. »
-Red « Je ne sais pas si tu es au fait mais si je n’ôte pas ce garrot d’ici une vingtaine de minutes les nerfs de ton gland vont mourir. Ta queue ne te fera plus damais jouir. Un peu plus longtemps aussi et tu perd aussi tes testicules. Tu ne sera plus un mec, en prison c’est la que tu vas aller, tu ne sera qu’un trou a violer et a soumettre aussi souvent que possible. »
-Bleu « Hostie, pose tes questions. »
-Red « Nous avons eu Karl et vous trois ou sont les autres ? »
-Bleu « Simon sa chambre est face a l’escalier mon passe est dans ma chemise, Raoul deux chambre a droite de Simon. Le patron est dans sa chambre de jeux au grenier mon passe ouvre mais il y a une alarme. »
Je fait signe a Tom d’utiliser son pistolet, quand il est dans les vapes je prend le temps de couper le garrot. Je ne peu faire autrement que de le coupé légèrement sa peau, la chair est enflé et recouvre le garrot. Je défait le haut de ma combinaison et demande a Tom de me faire un bandage. Il m’examine avec douceur et marmonne entre ses dents. Deux côtes cassé Red prend attention si non tu sera surnommer le samouraï tout abîmer. Ses mots sont légers mais je le sens tendu une vais mère poule. Je l’adore. Une fois mes côtes bien maintenues en place je remet ma combinaison. Ça fait mal mais c’est tolérable. Nous fouillons les chemises et le bar. Dans la poche d’une des chemises un type de bande magnétique encollé dans la poche de la chemise. Je la décolle délicatement et la recolle dans ma besace. Nous trouvons trois médaillons Tom en met un et met les deux autres dans sa besace. Il range aussi trois radio contrôle dans sa besace aussi. Nous montons a l’étage, arrivant devant la porte je fait signe a Tom que nous allons entrer. J’ouvre la porte lentement c’est noir a l’intérieur. Je sort l’amplificateur de lumière de ma besace et la met, l’homme est couché dans un grand lit, la pièce est luxueuse près du lit un glock 17. J’approche sabre au clair tom sur mes talon pistolet a la main. Nous arrivons près de l’homme j’appuie ma lame sur son cou pendant que tom injecte l’anesthésiant sur son biceps. L’homme a les yeux ouvert il me regarde et sais très bien ce qui lui arrive, il attend que le produit fasse effet. Je tend une paire de menotte a Tom gardant ma lame sur sa gorge. Il ouvre les yeux il faisait semblant d’être parti, Tom lui installe le bâillon et recule. Je le regarde s’affaiblir et dit dans un souffle.
-Red « Prison. »
-Homme « Plutôt la mort. »
-Red « Tu n’a pas le choix. »
Nous allons a l’autre chambre, debout de chaque coté de la porte. Lentement j’ouvre la porte, c’est obscure mais nous avons toujours nos amplificateurs de lumière nous entrons et opérons en douceur. Nous avançons vers la salle de jeu. Nous traversons le deuxième et nous rendons a l’escalier menant au grenier. Les marches sont de pierre grise sans cristaux de quartz pour les égailler. Il n’y a pas de rampe la cage d’escalier est en pierre noire décoré de cranes sculpter. Un faux fini de gouttes de sang, car le sang séché n’est pas d’un carmin éclatant, l’effet en reste quand même saisissant. Arrivé devant la porte le dernier.
-Red en japonais. « Si je suis obligé de l’exécuté ne me regarde pas faire ça. Détourne toi. »
-Tom « Samouraï je suis avec toi si c’est nécessaire je partagerai ta peine comme je partage tes joies. »
Je caresse son visage sous sa cagoule. Une matraque a la main j’ouvre la porte. Nous sommes obligé de relever nos oculaires la lumière est trop forte. En même temps nos oreilles sont agressé par des cris et des gémissements. Une vision dantesque s’offre a nos yeux de lourdes tenture de velours carmin ornent les murs, des croix, des chevalets, des chaînes, des instruments de torture autant moderne qu’ancien. De jeunes métis a la peau chocolat et au cheveux ondulé sont dans la pièce au centre un lit circulaire couvert d’un drap de caoutchouc rouge entouré de chaîne qui pendent du plafond. Un homme de six pieds quatre pouces (1,93m) assez musclé est couché sur le lit un enfant d’environ six ans empaler sur son pieux. Il est inconscient. Je suis saisie et ne bouge pas. L’homme lance l’enfant dans notre direction. Je l’attrape a demi, c’est-à-dire que je ralenti sa chute, l’enfant saigne abondamment. L’homme de dit pas un mot il est debout menaçant la verge couverte de sang il se tient en garde. Tom tente de porté secours au petit, je perçois le mouvement d’attaque et m’interpose entre l’homme et Tom. Il me donne un très solide coup de pied sur le coté de la tête. Il ne m’était pas destiné et fut moins violent. Je parvient a resté debout. Il sourit amusé nullement inquiet. Je le regarde j’ôte ma web belt ma besace ma veste pare-balles. Il me fixe sans dire un mot il a toujours ce sourire sur les lèvres. J’enlève aussi mon protecteur génital. Je tend la main vers le katana de Tom. Il me fait non de la tête je lui rétorque en faisant oui de la tête. L’homme souplement saute vers la croix la plus près de lui et saisie la gorge du jeune fixé sur celle-ci. Quand Tom me donne le katana il lâche l’enfant. Je fait glisser le sabre vers lui. Sans me quitter des yeux il prend l’arme et se relève en garde. Je me met en position d’offrande, le katana tendu derrière moi l’épaule gauche tendu vers mon adversaire la gorge ouverte a une attaque. Il tourne autour de moi, je fait une rotation sur un pied gardant la position. Il laisse tombé sa lame vers le sol, son attaque tranchera du sol vers le haut m’attaquant entre le plexus et la gorge. J’avance en relevant ma lame sous la sienne en avançant mon corps pivote de l’autre coté. Il est très rapide et précis il tranche ma combinaison et je sens un sang chaud couler dans celle-ci. Pour ma part son attaque me permet de le couper a l’intérieur de la cuisse si je suis chanceux j’ai touché une artère. Nous nous replaçons en garde la mienne est pointé vers sa gorge et la sienne est haute au dessus de sa tête. Je frappe du pied comme si je partait en attaque, il attaque en men, sur ma tête directement je fait un pas avant a quarante-cinq degré il effleure mon épaule. Je pivote et frappe ses poignets en tirant pour couper. Il tombe et spasme par terre la flaque de sang est impressionnante. C’est loin d’être comme au cinéma le flot rouge ne se tarie pas. Tom m’attrape quand il me voit poser un genoux au sol.
-Red « Pour un premier duel c’est pas si mal. »
-Tom enlève sa cagoule. « Criss Samouraï tu saigne abondamment. »
Il enlève ma cagoule et le haut de ma combinaison. La blessure n’est pas trop profonde cela chauffe et un élancement sourd irradie de celle-ci, elle commence a ma hanche droite et fini sous mon plexus. Tom grince littéralement des dents en m’examinant. Il me barbouille d’antiseptique et pose de nombreux bout de ruban adhésif imperméable pour fermer la plaie. Cela ne se fait pas sans douleur. Dès que l’écoulement sanguin se fait moins évident, plus lent qu’au début, quelques gouttes a peine. Je lui dit de s’occuper du petit qui est toujours en train de perdre son sang. Je libère quatre autre jeune noir ou métis si vous préférez. Ils ont tous été violé et il n’y a pas d’autre mots torturés. Tom très inquiet m’approche.
-Tom « Le petit est dans le coma. Il est en état de choc nous devons le conduire a l’Hospital au plus vite. »
-Red prenant ma radio. « Samouraï au forgeron. »
-Sam « Oui Samouraï. »
-Red « Nous avons une urgence. Tout les system on été éteint. L’UTC a été éliminé. Pouvez-vous venir avec une motoneige pour récupéré le soigneur et une très jeune unité son traitement doit être immédiat. »
-Axe « Ici le forgeron je me met en route. Il faudra au moins trente-cinq minutes. »
-Red « Le soigneur vas faire tout ce qu’il peu. Nous t’attendons a devant la maison. » je remet le haut de ma combinaison et ma cagoule. « Soigneur occupe toi des jeunes je vais cherché tes affaires dans la cabane. Je revient tout de suite mon ami. »
Je reprend ma web belt, ma veste, ma besace et mon protecteur génital. Je descend et sort par la porte principal je met l’amplificateur de lumière et me dirige vers la lueur que je sais être la cabane. J’aurais du aller au sous-sol et prendre mes raquettes. Grelottant j’arrive a la cabane. En entrant je suis soulager j’ai l’impression qu’il y fait chaud. Rex est la groggy a cause des calmants. Il me regarde tout emmitouflé dans mon parka, un sourire un peu béat sur les lèvres. Je lui caresse le coté du visage et remet du charbon dans le brasero je ne veux pas que le trou du cul échappe a la prison. Je secoue Rex.
-Red « Rex je suis venu te cherché. » j’enlève ses bottes a Karl. « Rex met ces bottes et ferme bien le parka sur toi. »
-Jaques marmonne a demi endormi. « Oui Maître avec plaisir Maître. Tu ne me fera pas mal Maître. »
Je ramasse tout le matériel de Tom.
-Red « Appuie toi sur moi Rex nous allons aller au chaud et tu pourra manger si tu veux. »
-Jaques « Sérieux Maître merci Maître gardez moi Maître. »
Appuyer l’un sur l’autre nous peinons vers le manoir. Cela nous prend près de cinq minutes pour faire cent mètres. Nous entrons dans le sous-sol j’aide Rex a enlevé son parka et fouille dans les casiers, pour les ouvrir je doit utiliser les clefs que nous avons trouvé, en fouillant je trouve des shorts qui peuvent servis a Rex. Il les mets en souriant d’un air absent. Je l’installe dans une cellule vide et le couvre d’une couverture.
-Jaques « Vous allez revenir me chercher Maître. » Il me dit cela en s’agrippant a mon bras.
-Red « Oui, mais tu doit te reposer, dors maintenant Rex. »
Il me tient la main en s’endormant. En quittant la cellule je ferme doucement la porte. Je ramasse tout le matériel don Tom aura besoin et je fouille encore dans les casiers. Finalement je trouve un sac de couchage. Ils pourrons transporté le petit dedans. Je monte le tout dans le hall d’entré puis monte cherché Tom. Il a descendu tout les jeunes sur le palier de deuxième étage. Il a le petit dans les bras. Mon beau Tom pleure sans bruit il le berce dans ses bras.
-Red « Soigneur. » Je lui touche l’épaule. « Il faut descendre et vous préparer a partir. »
-Tom « Red il est très faible. Il peut mourir. »
-Red lui prenant le menton. « S’il meurt se sera dans tes bras tout enveloppé de ton amour et de ta compassion. » Je le tire vers moi. « Descendons je vais m’occuper de tout ce beau monde. Je sais que tu fera de ton mieux pour le petit. »
Nous descendons en silence, Tom s’habille pendant que te tient l’enfant dans mes bras. Il est si léger si fragile, il a eu un karma difficile. Avant de le rendre a Tom je l’embrasse sur le front. J’ouvre le sac de couchage pour qu’il puisse le déposer dans celui-ci. Je dit a Tom de m’attendre sortant pour entendre Axe arrivé avec sa motoneige.
Au bout de quelques minutes il arrive sur un Sky-Doo et Sam est sur un Artic Cat. J’ouvre la porte et Tom descend rapidement vers Axe qui l’attend sur sa motoneige.
Manoir
-Sam « Red ou est la salle de contrôle ? »
-Red « Probablement au deuxième. »
En arrivant sur le palier elle voit les garçons au sol ils sont ornés de nombreux bandages. L’œuvre de Thomas. Quand elle voit le sang autour d’eux elle a visiblement un haut le cœur. Je prend la besace de Tom et lui donne un des médaillons.
-Red « Met ça sur toi c’est une clef électronique. Les portes s’ouvre a proximité du médaillon. » Touchant ma besace. « J’ai un passe allons ouvrir toutes les portes de l’étage. »
Nous ouvrons la majorité des portes du deuxième avant que nous trouvions ce que nous cherchions. Elle se met a l’œuvre pendant que je m’occupe des petits sur le palier. Je les descend un a un et les installent dans des cellules vides. Pour la suite des activités je m’habille puis me rend a la cabane pour traîner Karl a l’intérieur. Dans la cuisine je découvre une réserve qui se barre et les étagères sont fixé au mur. J’attache Karl a une étagère puis monte pour descendre toutes cette racailles bien menotter au étagères dans la réserve. C’est long et ma plaie se remet a saigné moins qu’après le coup mais cela saigne quand même. J’espère que Tom vas revenir bientôt. Bon la nourriture et les liquides. Je retourne a la cuisine et explore la chambre froide. Toute une collection de repas préparé par un traiteur. Il s’agit de faire chauffé seulement. Je prépare une vingtaine de repas et met le tout sur un chariot de service. J’ai trouvé aussi quelques caisses de soda, j’en prend une quarantaine de canettes. Je me rend du coté des cellules pour y faire la distribution. La majorité d’entre eux sont plus ou moins groggy mais s’emparent avidement des plateaux et des canettes. Je m’aperçoit que Jeannine est sortie et m’aide a faire la distribution. Rex une canette a la main est accroché a mes basques. Je ne comprend pas pourquoi il pleure. Je crois que je vais m’étendre je suis très fatigué.
Urgences
Axe conduit aussi vite qu’il peu, c’est-à-dire vint-cinq a trente km. Au bout d’une demi heure il arrête devant une maison.
-Axe « Garde ta cagoule je vais couper la ligne téléphonique. Entre c’est un vétérinaire. C’est tout ce que nous avons sous la main. »
-Tom « Ok, j’ai le petit dans les bras je me lève et tu me donne mon katana. »
Tom s’avance sur le bras gauche un précieux paquet et dans la main droite son katana. Il sonne et frappe pendant trois ou quatre minutes avant qu’une dame dans la quarantaine ouvre la porte. Grâce a la tempête sa cagoule est passé inaperçu. Dès qu’elle voit Tom elle lance un cri et recule. Venant de l’escalier un bruit de course. Un homme du même age arrive en bas pour faire face a une lame pointé sur sa gorge.
-Tom en fermant la porte. « Assoyez-vous . » En les gardant a l’œil il pose son précieux paquet par terre et l’ouvre. « Cet enfant a été violé et torturé. » La dame se précipite vers l’enfant ne tenant plus compte de Tom. « Il est en état de choc ses pulsation sont rapide sa respiration est superficiel. Si vous le pouvez. Sauvez le, c’est un innocent et il a souffert plus que vous pourriez l’imaginer. »
L’homme fait signe qu’il le fera, sa femme lui emporte l’enfant et ils partent vers l’arrière de la maison avec le petit.
-Tom murmure. « Tout mes souhaits t’accompagne petit ange. »
Il sort rapidement, montant sur la motoneige.
-Tom « Vite partons, retournons au manoir. »
Ils roulent pendant quarante ou quarante-cinq minutes avant d’arrivé au manoir. Ils entrent par la porte principal. Axe remarque des trace de sang qui mènent vers l’escalier de service. Ils s’empressent de descendre, ils voient dans la corridor les traces de nombreux aller retour. Tom s’élance vers les cellules en ouvrant la porte il est accueillit par Jeannine le katana a la main. Elle regarde Tom puis baisse son arme. Red est couché par terre, Rex est serré sur lui le tenant d’un bras et tenant une canette de soda de l’autre main.
-Jeannine « Il a perdu beaucoup de sang, il respire bien ses pulsation son bonnes. »
-Tom « Merci, veux-tu prendre Rex le temps que je l’examine. »
-Jeannine « J’ai essayé, il devient totalement hystérique s’il ne peu lui toucher. »
-Tom « Rex tient lui la main je doit le soigner si tu veux qu’il se réveille. »
-Rex « Oui Maître, est-ce que mon Maître vas se réveiller bientôt il doit m’emmené loin d’ici il me l’a dit et il m’a donné ça. » Il montre la canette de soda comme si c’était de l’or. « Ma mère m’en donnais et il m’en a donné une. Il m’a promis de m’emmené.»
Jeannine apporte le plateau de Rex il ne lui avait pas toucher. Il laisse Jeannine le nourrir refusant de lâcher la canette et la main de Red.
-Axe « Je peux te laisser … Soigneur il faut que je vérifie l’info. »
-Tom « C’est correcte Jeannine est la pour m’assister si besoin est. »
Ôtant le haut de la combinaison de Red il voit que la moitié de la plaie s’est ouverte et merde on voie la membrane blanche qui recouvre les muscles de son abdomen. Il vas essayer de le coudre sans anesthésie. Son Red a perdu beaucoup de sang il ne veux pas prendre le risque de l’endormir.
-Tom « Jeannine je vais te donner des enveloppes, quand je te le demanderais tu me les donnera ouverte sans toucher ni au fil ou a l’aiguille. D’accord. »
-Jeannine « Sans problème, tu vas lui faire des points ? »
-Tom « Oui il faut le faire rapidement pendant qu’il est inconscient. »
Il sort les pinces et l’antiseptique qu’il badigeonne généreusement sur Red. Prenant les pinces et l’aiguille recourbé il commence son travail de couture. Jeannine est d’une aide appréciable elle observe et est toujours prête avec le matériel pour Tom. Rex grince des dents voyant l’aiguille entrant et sortant de la peau de Red. Peu a peu la plaie est refermé. L’épanchement sanguin se résorbe. Heureusement Red ne s’est pas réveillé. Sa respiration est bonne son teint est plus pale qu’a l’habitude, il est chaud il devrais être correct. Tom peu enfin sourire sous sa cagoule.
-Jaques « Mon Maître vas bien. Maître. »
-Tom « Le Samouraï don tu tient la main veux que tu soit un Maître. Ton propre Maître. Veille sur lui protège le je vais revenir dans quelques minutes. »
-Jeannine « Je vais superviser. »
Tom fouille un peu avant de trouver Axe et Sam dans le centre de surveillance. Près d’un des panneau de contrôle une flaque de vomit. Il les regardent interrogatif.
-Sam « Par accident j’ai ouvert la caméra de surveillance dans son donjon. »
-Tom « Je te comprend ce n’est pas beau a voir. » Regardant Axe. « Vous en avez pour combien de temps ? »
-Axe « Encore deux ou trois heures une heure pour tout extraire et enlever tout les supports physique ayant enregistrer les évènements vous incluant. » regardant autour de lui. « Au moins deux heures pour tout effacer. Certaines traces vont resté mais on ne les verra pas, il ne faut rien laisser dévident qui poissent être rapporté par les premier intervenants. »
Sur ce ils se remettent au travail. Sam ouvre la caméra de surveillance des cellules. Pour qu’ils puissent avoir un oeil sur Red et les esclaves. Au bout de quarante minutes ils voient Red bouger sur l’écran. Tom descend les escaliers a la course, il ouvre la porte pour entendre Red réclamer son Soigneur. Rex tient toujours Red comme une bouée de sauvetage.
-Tom avec des tremblement dans la voix. « Samouraï tu a ouvert tes blessures et tu a saigner jusqu'à perdre connaissance. »
-Jaques « Tu es un samouraï Maître ? »
-Red « Oui Rex un samouraï très fatigué je doit me reposer. Couche toi a coté de moi et dors un peu Rex. » Je lui caresse les cheveux pour l’endormir.
-Tom me prenant la main. « Nous serons prêt a partir dans deux heures. Nous allons prévenir les autorités avant de partir. »
-Jeannine « Soyez certain qu’il y aie une intervention rapide les invités étaient prévus pour 20h ce soir. »
-Tom « Ils seront arrivés bien avant cela. Je vais prévenir le forgeron, prend soin de lui Jeannine. »
-Jeannine « Ne craint rien tu le retrouvera intact. Il m’a promis certaines choses et j’y tient vraiment . »
Tom, Sam et Axe s’affaire a faire disparaître toute trace évidente de notre intervention. Il ont une lourde tache, quand il ont finie celle-ci les deux rabatteur nous attendent dans le hall et Tom vient me chercher. Quand il entre il nous vois endormi cote a cote dans le corridor. Jeannine parle au autres captifs. Tom me réveille et sans le vouloir réveille Rex en même temps. Il s’accroche a moi.
-Red « Rex je t’ai promis de t’emmener mais je doit te laisser ici. » Il me lance un regard si désespéré que je ne peu me résoudre a le laisser sur place.
-Jaques « Je ferai tout ce que tu voudra Maître. Emmène moi loin d’ici. » Il pleure a chaude larmes.
-Tom « Samouraï je connais un endroit ou nous pouvons le laisser. Vite il faut l’habiller avant de pouvoir l’emmener avec nous. »
Rex me fait mal quand il me serre dans ses bras. Je vois Tom qui veux intervenir mais je lui fait non de la tête. Il le laisse sur moi pour quelques instant. Nous allons exploré les casiers et trouvons des vêtements trop grand pour Rex mais ils peuvent lui faire usage. Quand Axe et Sam nous voient avec le petit ils froncent les sourcils.
-Tom « Nous passons chez le vet puis nous partons. »
J’assois le petit entre Sam et moi. cette balade en motoneige se passe assez mal pour moi. Nous sommes secouer mais le bon coté des choses c’est que le vent semble diminué un peu. Après un temps qui me semble interminable nous arrivons devant une maison. Je porte Rex dans mes bras, Tom me suis arme a la main, arrivé a la porte Tom frappe. Nous voyons les canons juxtaposé un fusil de calibre 12, derrière ceux-ci un homme dans la quarantaine. A ses coté une dame du même age. Voyant ce que j’ai dans les bras elle me tire a l’intérieur.
-Red « Ce petit a besoin d’un abris, vous n’aller pas le laisser dans la tempête ? »
-Jaques « Maître ne me laissez pas ici. Je veux aller avec vous. »
-Red « Tu doit retrouver tes parents et devenir fort pour protégé ceux qui en ont besoin. Je vais regarder comment tu te débrouille, de loin. Mon ombre est sur toi. »
-Dame « Laisse les partir ce ne sont pas des criminels. Je ne sais pas ce qu’ils sont mais j’ai confiance. »
-Tom « Nous devons partir prenez soin d’eux. Comment vas le petit ? »
-Homme « Il récupère aussi tôt que le temps s’éclaircira nous l’emmènerons a l’hospital. »
Nous les saluons de la tête en reculant vers la porte. Rex me prend la main.
-Jaques « Ma mère m’appelais Jaques, mon nom est Jaques Maître, Jaques Seguin si tu veux me retrouver Maître. »
Je lui caresse les cheveux et sort en reculant. Une fois la porte fermé nous nous assoyons sur les motoneige et décampons en vitesse. Nous rejoignons le chalet, Axe se sert d’un téléphone satellite pour communiquer avec les autorités. Tom m’entraîne dans la chambre et me dé habille lentement.
-Tom « Mauvais garçon, tu a faillis mourir c’est sérieux. Tu n’es pas une machine, ton esprit ne peu pas agir a lui seul. »
-Red « Ne t’inquiète pas Punky. Quand je me suis aperçu que cela saignait de nouveau, je me suis demandé si tu allais être long a revenir. Transporter le groupe des brutes c’est ce qui m’a le plus malmené mes pansements. Plus tard la perte de sang m’a rendu un peu gaga et je ne pensais qu’a finir le travail que j’avais a faire. Désolé mon Punky. Nous parlerons de tout cela demain je suis très fatigué. »
-Tom prenant ma tête entre ses bras. « Dors Samouraï, il n’est pire obligation que celle qui sont librement consenties. »
Nous nous embrassons. Je devient inerte ente les bras de mon beau Punky. Après un temps non déterminé je reviens par mis les vivants. Avant d’ouvrire les yeux j’explore mes sensations, mes côtes me font un mal de chien, tout mon corps est raide et douloureux une tension cuisante irradie de mon abdomen. Je vais demander des calmants a Punky, et en plus je crois que je fait de la fièvre.
-Tom « Red tu es brûlant tu fait cent un degrés de température (38,3c). »
J’ouvre les yeux.
-Red « Peux-tu me donner des calmants, je ne me sens pas très bien. »
-Tom « Sam vient ici s’il te plaît. » Il enlève le pansement de mon abdomen. « Regarde Sam les bords d’une partie de la plaie et certain points sont enflammé, rouge et chaud. »
-Sam regardant ma blessure. « Nous allons faire quelques appels pour un médic. » Me regardant. « Est-tu assez en forme pour nous conté ce qui arrivé est surtout comment la cible est-elle morte ? »
-Red « Oui pas de problèmes. »
Je raconte les événements qui sont arrivés, l’espèce d’amusement que j’ai vu dans son regard quand il nous a vu. Il est resté calme et n’a démontré aucune surprise il a tout simplement arrêté de violer un enfant de six ans environ et la lancé sur nous pour nous retarder. Quand j’ai demander son katana a Tom, celui-ci a hésiter. D’un mouvement il a saisit la gorge d’un ado et la lâché seulement quand Tom m’a glisser son sabre. Il m’a regarder enlevé mes protections avec un sourire moqueur. Il voulait ce duel autant que moi. Sam de demande qu’en est-il pour mes côtes ? Je lui répond que c’est dans un combat précédent, l’homme qui se faisait faire un blow job a eu le temps de me donner un coup de pied. Rien de bien méchant.
-Sam « Rien de bien méchant, tu a été en duel contre un autre spécialiste des arts avec trois cotes cassé ! »
Je rougi légèrement, lui disant de laisser tombé. C’est mon travail et nous avons réussis a libéré dix-neuf esclaves. Je considère cette mission comme étant un succès total. L’homme que j’ai tué désirait sa mort, il m’a invité a la danse de mort ou seul un des participant en sort vivant, peut-être ! Cet esprit désirait le test ultime, de faire face a son propre jugement, je ne voudrais pas sa place. Malgré qu’il ai été complètement dévoué au mal, il avait un certain sens de l’Honneur. Plus tard dans la soirée Tom et Axe viennent me rejoindre dans la chambre, ils portent entre eux une civière. Je refuse de me coucher sur celle-ci alléguant que c’est une bonne façon de se faire remarqué.
-Red « Punky tu ne préfèrerais pas me servir de béquille ? »
-Tom « Oui mais tu vas souffrir, Mauvais garçon, assis dans le van tes cotes ! »
-Red « Reste a ma gauche je m’appuierais sur toi
-Tom « Mauvais garçon nous ferons comme tu veux. Je sais que tu a la tête très dure et que tu es un macho fini. »
Il m’embrasse et m’aide a m’habiller, dès qu’Axe voit que nous n’utiliserons pas la civière in repart avec celle-ci. J’arrête Tom et demande a prendre ma douche. Il me répond fermement non. Me forçant a rester sur place, au bout de quelques instants il revient armé d’une bassine, de savon et de nombreuses serviettes. Je doit me résoudre a me laisser laver, tout le long de cette opération je grogne pour la forme. Dans le fond j’apprécie cette attention. Trente minutes plus tard nous entrons dans le van qui a été chargé. Les routes sont couvertes d’une épaisse couche de neige arrivé au village il y a un barrage de la SQ. Ils vérifient toutes les voitures, je regarde Axe qui est au volant il attend sont tour et ne semble pas inquiet du tout. Quand l’agent regarde a l’intérieur Axe lui présente un porte carte et d’un même mouvement Sam aussi.
-Axe « Programme de protection des témoins. »
L’agent recule rapidement et fait nous signe d’avancer. Le trajet se fait assez silencieusement je suis a demi endormi a cause des calmant que j’ai pris. Affalé sur Tom, qui a passé un bras autour de moi je suis confortable. Je me réveille, il me tire le nez.
-Tom « Réveille toi Red, nous sommes arrivés. »
-Red « Ou sommes nous ? »
-Tom « Ste-Thérèse, un bureau de la DPJ. »
-Axe « Entrez je vais parler au médecin. »
Nous entrons tout les trois, c’est vide sur le comptoir les heures d’ouverture stipule que la clinique ferme à 20h. Il est 22h, Axe revient au bout d’une quinzaine de minutes. Tom et Axe m’aide a entrée dans la salle de traitement. J’y vois une femme d’environ vingt-cinq ans, assez jolie, brunette a la peau mate, elle porte un sarrau. Elle me sourit, il est visible qu’elle a pleurée.
-Caro « Bonjour Samouraï, on m’a dit que c’était ton nom de code. Moi c’est Caroline mais tu peu m’appeler Caro. »
Elle me demande de me dévêtir et de garder que mes sous vêtements. Elle voit que j’ai de la difficulté et me demande si j’ai besoin d’aide. Je lui répond que non. Je fini a peine de parler quand j’entend Tom qui s’éclaircie la gorge.
-Tom « Madame c’est le pire macho que je connais, il doit prouver a tout qu’il est l’indépendance personnifié. Je suis le Soigneur le compagnon du Samouraï. Si vous permettez je vais vous assister, je le connais. »
-Caro « Moi c’est Caro, si vous voulez le déshabiller nous allons examiner ce mauvais sujet. »
-Tom ne peux s’empêcher de sourire en l’entendant m’appeler ainsi. « A 17h sa température était de cent un degré F (38,3c), sa plaie est rouge et enflée, pression cent vingt-quatre sur quatre-vingt deux, pulsation soixante-huit par minutes. »
Elle demande a Red de s’étendre sur la table d’examen, elle palpe mon abdomen c’est relativement désagréable a certain endroit. Elle fait des prélèvements, puis s’éloigne avec Tom vers l’écran d’ordinateur sur son comptoir. Elle regarde les dernier instants de la cible en image par image. Elle en pointe à plusieurs reprise et parle de contamination de sang a sang. Un peu irrité.
-Red « De quel contamination parlez-vous ? »
-Caro « Axe m’a dit que le pervers arrivait d’Haïti, il a du recevoir des vaccins. Hépatite, malaria etc., il faut faire des analyses sanguines. »
-Red « Il ne faut pas oublier les tests pour le Sida. Ce serais ironique d’attraper le Sida en éliminant un pervers comme vous dites. »
Tom et Caro me prennent de nombreuses éprouvettes de sang. Elle me fait une transfusion sanguine. Puis nous laissent seul en fermant le plafonnier.
-Red souriant. « Il vas falloir acheté des capotes pour un certain temps. Jusqu’au résultat final pour ce qui est du Sida. »
-Tom « Le Sida me prend pas sur les Mauvais garçons. » Il me prend la main et appuie son front sur le mien. « Tu vas me faire plaisir et ne pas être malade.
-Red sentant ses larmes couler sur ma jour. « Hey ! Punky il ne faut pas pleuré sur le lait perdu avant que la jarre ne tombe. » Je lui relève la tête. « On peu toujours s’embrasser sans prendre de précaution. »
Nous nous embrassons avec passion quand nous sommes inondé de lumière. Caro entre pour vérifié la transfusion.
-Caro « Excusez moi. » Elle tourne les talons.
-Tom « Vous pouvez entrer cela ne nous gêne pas, Samouraï est mon compagnon. »
-Caro esquissant un sourire. « Je m’excuse j’aurais du frapper avant d’entré. Dès que la transfusion sera terminé, je vais vous mettre des antibiotiques en intraveineux, Soigneur aura les autres antibiotique que vous devrez prendre quatre fois par jour en mangeant. Questions les gars ? »
-Red « Quand aurez-vous les résultat des test ? »
-Caro « Les premier résultats d’ici trois semaines, pour ce qui est des tests pour le Sida si c’est négatif vous aurez a passer un autre test dans trois mois. Si ce test est négatif aussi vous êtes tout les deux correct. »
-Red regardant Tom. « Soigneur plusieurs boites de condoms. »
-Caro « Il y a très peu de chance que vous ayez été contaminé ne vous en faite pas. Prenez les précautions d’usage. Je vais faire les tests le plus rapidement possible. Mais a la rapidité de vos réactions je crois que vous réagissez au anticorps du pervers. »
-Red « Au fait vous travailler pour la DPJ ? »
-Caro « Oui ! »
-Red « Pourriez-vous vous renseigner sur ce que vas devenir Jaques Seguin c’est un des captifs qui a été libéré. Laissez savoir a Axe ce qui lui arrive, Tom et moi nous sentons responsable de ce qui lui arrivera.» Je regarde Tom.
-Tom « Oui, ceux qui t’aime trouve grâce a mes yeux. De plus il a passé des mois que je devine des plus difficile.»
Peu de temps après Caro change ma tubulure et me met sous soluté d’antibiotique. Je reste au lit avec Tom près de moi jusqu’à 02h. Suite a l’injection de tout ces liquide j’ai hâte de me lever, j’ai la vessie gonflé comme un gant de boxe. Je me lève et me sens plus solide sur mes jambes, tout mon thorax me fait mal, bouger mes bras est pénible. Tom m’aide a m’habiller. Je me rend a la salle d’eau, quel soulagement. Axe et Sam viennent nous cherché. Il nous disent qu’il vont nous installer dans un motel pour ce soir et qu’ils verrons à ce qu’un autobus scolaire vienne nous cherché vers 12h, il y aura deux valises pour nous contenant des reçu et des talons de chèques pour différent travaux exécuté au cours de l’année. Le tout n’est pas en ordre laissez ces documents traîné sur vos bureau de travail ce devrais être trop tentant pour vos parents. Vous aurez gagnés environ quarante mille dollars. Il ne disent que j’aurai un rapport médical concernant un accident de ski, la barre de métal soutenant la clôture de protection a la limite de la piste t’a déchiré l’abdomen. Ils nous demandent si tout est correct.
-Red « La captive nommer Jeannine m’a dit que son oncle l’avait vendu. Elle entend témoigner contre lui. Elle m’a demander que si celui-ci allait en prison qu’il lui arrive la même chose que ce qu’elle a subit. »
-Sam « Je vais garder un oeil sur ça. Je t’en donne des nouvelles. »
-Axe « Tu veux savoir ce que deviendra Jaques Seguin ? »
-Tom « Il était extrêmement attaché a Red et nous nous sentons responsable. »
-Axe « Pas de trouble les gars. Nous vous donnons des nouvelles. »
Ils nous laissent dans un motel assez class, Tom me tombe littéralement dans les bras pour lui la journée a été longue et parsemé de nombreuses émotions.