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Un coup de main

By: JarvisdeVar
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Rating: Adult ++
Chapters: 24
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Disclaimer: This is a work of fiction. Any resemblance of characters to actual persons, living or dead, is purely coincidental. The Author holds exclusive rights to this work. Unauthorized duplication is prohibited.
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Un coup de main XX

Si vous n’avez pas 18 ans ou l’age légal dans le pays d’ou vous vivez veillez quitter maintenant. Ces histoires sont au sujet de garçon ou de garçons gay, si cela n’est pas de votre goût quitter maintenant. Toute ressemblance avec des personnes ou organisations existantes est purement accidentelle car ceci est une œuvre de pure fiction.Commentaire Jarvis_de_Var2001@yahoo.ca

Jarvis de Var

Un coup de main ?

Chapitre XX


Nous finalisons les derniers détail et prenons rendez-vous pour la semaine suivante, la veille de Noël. Nous les quittons a la sortie, Tom s’appuie sur moi, je le sens triste.

-Red « Ne soit pas triste, si tu veux m’aider soit toi même. Il faut que je me prépare a faire ce qui doit être fait. Cela m’attriste moi aussi que de tel mesure soit nécessaire. Mais ne préjugeons pas attendons pour voir et sentir. Si cela doit être fait il vas me le demander. »
-Tom « Je sais que ça te blesse » Il prend ma main. « Si cela soit être fait tu le fera par devoir, sans rage, paisiblement. Rentrons a la maison voir nos petits. »
-Red je lui souri. « Oui allons passer la journée avec eux. »

Quand nous entrons a la maison Mike nous attend près de la porte. Dès que nous mettons le pied a l’intérieur il nous prend par la taille et nous entraînent vers le séjour. Mon cousin Sylvain qui est un peu plus âgé que moi, il a 16 ou 17 ans je crois il est le neveu de mon père, je ne le fréquente pas. C’est un fils a papa et pourtant selon mon père mon oncle était encore plus impliqué avec les motards que lui-même. Veston cravate… Plus grand que moi 6’2’’ ( 1.88 m) pour 255lbs ( 115.9 kg), cheveux châtain foncé yeux noisette l’air assez aimable mais attitude un peu snob.

-Sylvain « Bonjour Reginald a qui ai-je le plaisir ? »
-Red je souris malicieusement. « Je te présente Thomas mon compagnon. »
-Sylvain « M. Neuville je présume ? »
-Tom le regarde intrigué. « Oui effectivement. »
-Sylvain s’avance pour serrer la main de Tom. « Sylvain Devar j’ai vue un enregistrement des démonstrations d’Art Martial a Burlington je vous ai vu et j’ai été impressionné. »
-Mike « Red est deuxième dan et Tom a sa ceinture noire. » Il dit cela avec une fierté évidente. « Et ils ont tout les deux des grades en Kendutsu, j’oubliais Red a sa ceinture noire en Judo. »
-Tom « Mike on dit Kenjutsu. » Il sourit avec douceur au petit.
-Red « Assez de fleurs. Pourquoi cette visite impromptu Sylvain ? »
-Sylvain « Je pensais te faire un proposition d’affaire, mais tu doit être hors de ma capacité de payer. »
-Red « C’est-à-dire ? »
-Sylvain « J’ai organisé un club d’art martial à mon collège, je suis ceinture bleue en karaté Shotokan, après le visionnent j’avais pensé t’offrir le poste d’enseignant pour la moitié des profits, le collège prendrais le quart et moi le quart. »
-Red « Je te remercie Sylvain mais j’enseigne déjà depuis un an dans un dojo du centre ville. »
-Sylvain « Et ton copain ? »
-Tom « Désolé mais nous allons faire un stage au Japon de six mois au printemps et je n’ai pas assez de temps. Si je veux un peu de temps a consacré à Red, il est mon compagnon, mon Mauvais garçon. » Il me tient par la taille en souriant.
-Sylvain, reste interloqué quelques secondes. « Tes parents, tes frères sont… »
-Red « Oui Sylvain ils sont tous au courant, nous nous sommes fait construire un loft sur le garage avec l’aide de nos deux familles. »
-Sylvain « Donc vous êtes gays. »
-Tom « Brillante déduction Watson. »
-Sylvain « Je n’ai rien contre les gays, comment les gens réagissent a cela ? »
-Tom « Trois de mes amis sur quatre s’en balancent. »
-Red « Il faut s’attendre a perdre quelques amis, pour ma part seul trois membres de ma gang ont fait des coliques mais Punky » Je lui prend la main en le regardant. « Leur a fait passer cela pendant une bonne séance de brasse camarades. »

Malgré son air un peu snob il semble ne pas tenir compte du fait que nous soyons gay dans sa façon de négocier avec nous. Il est complètement business, business et se concentre sur ses objectifs. Il nous demande si nous pouvons lui conseiller quelqu’un ? Je lui répond qu’il peu demander a M. Blanc. Je lui donne les coordonnés des son dojo incluant le numéro de téléphone. Je n’aime pas vraiment ce garçon par son attitude il me semble froid et distant. Quand il quitte nous passons un bon après–midi avec nos petits. Nous allons au Biodome et a l’Insectarium pour finir au restaurent. En soirée je demande au commandant d’inscrite les trois petits au cours de Tir a l’arc au centre Claude Robillard. Je lui laisse de l’argent pour leur abonnements. Nous envahissons le loft, j’attrape Tom et le serre sur moi, il me fait les yeux doux se moulant sur moi. Quand je le libère de son pantalon il s’offre a moi. J’embrasse son pubis et lui lèche l’aine, passant de l’autre côté je lui mâchouille le scrotum. Il triture mes cheveux soulevant son bassin. L’odeur de mon Punky est fraîche outre la légère arôme de notre savon s’est son odeur, ma langue investie la crevasse sombre a la flagrance musqué, c’est vraiment son intimité que je partage. Quand ma langue touche son but mon bel amant se tend et frémis. Je caresse ses hanches et son ventre. Je l’entend gémir doucement, il me caresse les bras et la tête, qu’il rejoint a peine . Sous les asseaux de mon organe buccal son petit trou s’ouvre et se ferme comme pour m’attrapé. Après plusieurs minutes de léchage je remonte léchant et mordillant son périnée ses jambes se raidissent. Émergeant d’entre ses jambes je vois son pénis qui fuit comme un robinet mal fermé. Je passe la langue tout le long de sa verge pour l’accueillir dans ma bouche. Je fait le ménage et la ressort toute propre. Je prend le lubrifiant dans la table de chevet, j’en enduit mon membre, je doit respirer a fond pour éviter d’éjaculer. Je réchauffe le KY dans ma main avant d’en oindre sa crevasse et son anus. Deux doigts entre aisément sans provoqué le moindre inconfort. J’entre un troisième doigts il réagit un peu, je les immobilisent a la barrière tournant ma main de gauche à droite. Il me demande de le pénétré, je lui tient les hanches pour enfoncé mon pénis en lui. Il est si serré, si chaud, je le regarde gémir, son pénis est tendu comme un arc. Je ne peux m’empêcher de le prendre en main de le masturbé très lentement, je me penche sur mon ange lui suçant et mordillant ses mamelons l’un après l’autre. A l’entendre je le torture. Il contracte et relâche son anus autour de ma queue, en moins de dix minutes nos thorax sont aspergé de sa semence. Tant qu’à son anus il tente de me traire, je n’ai toujours pas fait un mouvement du bassin. Tom a tenté de bouger pour me baiser mais j’ai mordu son mamelon gauche un peu plus fort et il a arrêté. Je fait de petit cercles avec mes hanches pendant qu’il récupère. Je passe mes bras sous lui et lui tient les épaules, je le regarde dans les yeux, quand il revient a lui et me souris je me retire quasi totalement et pousse au fond, puis recommence a chaque fois que j’entre il pousse un long soupir. Je raccourci mes mouvements et prend un rythme de croisière, ni trop lent ni trop vite en entrant je pousse ma verge vers le haut frottant sa prostate. Il attrape mos draps puis mes épaules et mes cheveux. Quand je le sens jouir entre nous je me relève pour le voir éjaculer, pour le voir versé son jus d’amour pour moi. Je veux absolument l’amener a une troisième jouissance. Je doit me faire violence pour arrêter mes mouvements. Je suis couvert de sueur, je tremble des pieds a la tête, son sourire me récompense, ses doigts effleurent le tatouage sur mon bras et le brassard d’argent qu’il m’a offert. Je l’embrasse goulûment, quand après environ cinq minutes je reprend mes vas et vient recommençant par mon extraction jusqu'à la couronne puis mon retour au fond d’un long mouvement souple. Il grimace un peu et me dit pas encore. Je l’embrasse et lui demande s’il veux que j’arrête. Au bout d’une ou deux minutes d’hésitation il me dit non. Quand je prend ma vitesse de croisière je reste appuyé sur mes bras le thorax relevé regardant Tom qui me sourit et me caresse les épaules et les bras. Je suis concentré je veux le faire jouir encore, je veux l’envoyer au septième ciel. J’alterne les rotations et les aller retours. Tom spasme sous moi je vois un sperme plutôt liquide jaillir entre nous et atteindre son menton voyant cela je me laisse aller enfin. J’ai l’impression que toute ma substance vas être éjecté, je jouis tellement que c’est douloureux, je pers la carte pour quelques instants. Quand j’ouvre les yeux Tom dors déjà sous moi. Il est épuisé, mon bel amour est charmant. Je me lève lentement sentant une grande fatigue m’envahir, entrant dans notre salle de bain j’ajuste la température de l’eau avant d’aller cherché mon Tom. Quand il sent mes bras le soulever il colle son corps sur moi pour me facilité la tache. Nous nous lavons tendrement puis parvenons a notre lit avant de nous effondrés dans les bras l’un de l’autre. J’ouvre les yeux pour trouver Tom a mes cotés et un plateau déjeuner entre nous. Il me dit que je faisait des rêves polisson en caressant mon érection sous les draps et que je marmonnais son nom en dormant. Avant que je puisse répondre il m’embrasse puis me sert mon déjeuner.

-Red « Punky tu envahis même mes rêves. » Je lui caresse un mamelon. « Vient te coller contre moi. Nous déjeunerons plus tard. »
-Tom « Mauvais garçon tu es le premier a le dire entraînement d’abord. »
-Red « Je le sais mais nous ne sommes pas encore levé. »

Nous passons une quinzaines de minutes de plus au lit avant de déjeuner. Les toasts sont froides mais je m’en contre-fou au cube. Lavage entraînement et relavage, la routine. Nous passons notre dimanche en amoureux, parlant du Japon et cherchant les sites touristiques sur le net. Certain sites sont en japonais et nous les traduisons a deux. A ma grande déception Alain vient cherché Tom à 20H. je ne sais pourquoi cette semaine s’est plus difficile pour moi que les semaines précédentes. Le vendredi quand nous nous voyons a notre cours de japonais Tom a la lèvre inférieure épaisse, il a été frappé avec force.

-Red « Hey! Mon beau tu a eu des problèmes ? »
-Tom « Rien de grave tu sais Rick le garçon qui l’a mal pris lors du passage de grade. »
-Red « Oui… »
-Tom « Il est venu me traité de tapette a la cafétéria, comme je lui ai simplement dit que c’était gay pas autre chose et que cela ne le regardait pas. Il s’est fâché, vraiment, je l’ai laissé frapper le premier coup et lui ai luxer l’épaule. Il a été suspendu de l’école pour sa peine. »
-Red « Comment a été le reste de ta journée ? »
-Tom souriant. « J’ai pensé mettre une annonce sur le babillard des activités. J’ai du répéter mon boniment trente fois. Est-tu gay ? Est que c’est vrai ? A-tu un petit copain ? Comment c’est d’être avec un gars ? »
-Red « Pas de réactions négative ? »
-Tom « Pas beaucoup Eric, Yannic et Jean avaient déjà parlés de mon passage de grade. Je suis passé du garçon anonyme au garçon gay ayant une ceinture noire et des katanas, il ne faut pas l’oublier. »
-Red je lui caresse la joue du dos de la main. « Beau travail mon Punky si tu veux me présenté a tes amis j’irais a ton écoles. »
-Ron « Messieurs un peu de retenus. »

Nous relevons la têtes et voyons plusieurs élèves déjà arrivé nous observant.

-Tom « Désolé j’oubliais ou nous étions. »
-Red « Désolé c’est ma faute je n’aurais pas du en parler tout de suite. »
-Étudiante « Ron ne vous en faite pas nous avions remarqués qu’ils étaient très proche. » Elle nous sourit. « Ils sont mignons. »

Ron commence son cours pendant que je marmonne ‘Mignon moi mignon, elle ne m’a jamais vue me battre ou corrigé une brute’. Tom me regarde en esquissant un air effaré.

-Tom murmurant a mon oreille. « Par chance elle ne pourra pas ternir ta réputation en allant faire croire que tu es gentil ou aimable. Un agent du karma qui peu sourire quel inconséquence. »
-Red « Shut. »

Nous suivons le cours sans faire d’autres esclandres, je remarque que ce ne sont pas nécessairement les personnes âgé de la classe qui nous prennent en ombrage. La majorité des gens continus a se conduirent comme avant qu’ils l’apprennent. Ni mieux ni pire qu’avant. Nous passons au FouF pour danser Sergio n’est pas a l’entré, nous montrons nos cartes et montons a la piste de danse. Je demande Rise de PIL, Tom et moi trashons vigoureusement quelques punk rocker suivent le mouvement. Quelques minutes c’est le retour de la bouillie hard métal. Pas ce que j’ai le goût d’entendre pour l’instant. Je demande a Tom s’il a envie de boire une bière. En souriant il me répond une seule. Nous allons au bar galerie, j’y commande deux Girafe bière d’importation que j’aime. Je dit a Tom de la boire lentement qu’elle est très bonne. Tom y goûte et me rétorque, pas mal. Je lui grimace un sourire et sort sur la terrasse pour y prendre mes aises, il me rejoint et se met a l’aise. Nous arrivons au loft vers minuit, douche et caresses puis nous nous enlaçons tendrement. Je le regarde.

-Red « Tom regrette-tu d’être avec moi ? Tes problèmes a l’école sont de ma faute.»
-Tom « Red je ne regrette pas d’être vivant. Tu m’a rendu curieux et tu m’a forcé a faire face a mes émotions. Ernest m’avait fait pensé que gay égale domination. Tu m’a démontré l’inverse et mon thérapeute m’a demander de me poser la question ‘Qui hante mes rêveries érotiques’. » Il essuie une larme sur l’arrête de mon nez. « Je t’ai vue tendre et aimant envers tes frères, quand tu es entré chez moi tu a pris Seth dans tes bras, tu l’a consoler. Tu m’a laisser partir sans rien me demander. Tu t’est sauvé de moi parce que tu était gay. Cela ne cadrait pas du tout avec ce qu’Ernest m’avait montré. J’étais gay je ne le suis pas devenu, je n’ai pas eu peur de l’être parce que on peut être humain et gay. »
-Red « Et c’est moi qui t’envoie des fleurs, tu ne t’es pas entendu parlé. Tu m’envoie des fleurs par wagons entier. Je ne sui pas aussi gentil que tu le crois. Ce que tu vient de dire cela reste entre nous, tu serais capable de me faire chialer sur la voie publique. »
-Tom passant les bras autour de moi. « Rappelle toi c’est moi le braillard officiel, s’il y a des larmes a versé fie toi a moi. »

Nous dérivons ensemble sur un océan paisible. Samedi matin nous allons chercher mes frères pour faire nos achat de Noël. Nous convenons de nous séparer pour acheter les cadeaux que nous allons nous offrir mais d’être ensemble pour acheter les cadeaux des autres. Avant de quitter mes petits je leur remet a chacun cinq cent dollars pour le travail qu’ils ont effectués pendant notre dernière mission. J’achète l’encyclopédie médicale de Larousse pour Tom, Seth hérite de la série Amos d’Aragons, Mike la trilogie de Tolkien édition de luxe, Andrews le nouvel X Box. Mes parents des billets de croisière pour les Caraïbes, je prend les même billets pour les parents de Tom. Outre les billets je fait emballer et livrer le reste. Je rejoins les autres les mains vide. Quand je rejoins Tom il est interloqué.

-Tom « Ou sont tes paquets ? »
-Red « J’ai triché, j’ai tout acheté. » Je rie en voyant son air. « Personne ne verra quoi que ce soit. »
-Tom me donnant un coup de poing amicale sur l’épaule. « Je le savais tu n’est qu’un Mauvais garçon. » Il m’embrasse légèrement sur la joue.

Les petits nous rejoignent chargés de nombreux sac. Ils ne marchent pas ils sautillent ou plutôt danse allègrement en nous rejoignant. Tom leur dit que j’ai tout acheté sans les attendre. Ils me chahutent un peu puis nous accompagnent pour acheter les cadeaux des parents et de Seth. Nous finissons nos achats vers 15 :00h, nous sommes tous de fort bonne humeur. Nous entrons a la maison qui est décoré pour les fêtes. Le commandant est heureuse les petits se précipitent pour placer leur paquets sous l’arbre.
Le temps jusqu’à noël semble s’étiré, finalement la veille de noël arrive, nos deux familles sont réunies pour l’occasion car Tom et moi ne serons pas la pour le nouvel an.
Mes parents m’offrent eu ne semble d’entretien pour mes armes le tout est de qualité et de très bon goût. Les petits m’offrent ensemble une estampe japonaise montrant les étapes que suivent les samouraïs pour mettre l’armure classique. Alain et Florence me donnent un tanto de bel qualité quand je remarque le sceau de l’artisan sur la lame, je suis impressionné cette arme a été faites par un trésor vivant. Tom m’offre un torque en argent avec mes idéogramme émailler dessus. Tous regardent les cadeaux que j’offre. Seth et les petits m’embrasse Tom se blotti contre moi. Quand les parents ouvrent les enveloppes, ensemble a ma demande, ils s’exclame que je n’aurais pas dû. Il s semblent tous très heureux. Le lendemain après-midi un petit autobus scolaire vient nous cherché Tom et moi. Nous nous dirigeons vers mon école ou nous voyons le van d’Axe qui nous attend. Dans la cours d’école nous voyons trois grand autobus qui accueillent les élèves pour la classe de neige. Je les regardent avec un peu d’envie, ils ont l’air si joyeux, exubérant. Je soupire discrètement chaque situation a ses avantages et ses inconvénients et je vie les deux. Notre véhicule suit celui d’Axe nous nous dirigeons vers l’autoroute quinze nord. Après un certain temps nous sortons direction Ste-Adèle. Arrivé au village l’autobus et le van d’Axe arrêtent dans le stationnement d’un petit centre d’achat. Nous sortons de l’autobus pour entrer dans le van d’Axe emportant nos bagages.

-Sam « Salut les gars nous devrions avoir entre trois et cinq jours avant une tempête de neige assez forte pour nos besoins. » Elle nous embrasse. « Tout le temps pour vous familiariser avec votre matériel. »
-Tom « Quel matériel ? »
-Sam « Regarde un pistolet a injection il contient douze doses d’un très puissant sédatif, pas d’aiguille injection par pression a très haute vitesse. » Elle lui sourit. « Tu t’entraînera sur des oranges. »
-Red « Nous avons a notre disposition tout les documents concernant la cible ? »
-Axe « Tout les documents m’ayant été communiqué son sur mon portable il est dans son étuis de transport près de Sam. »
-Sam « Pendant l’opération pouvez-vous parler en Japonais entre vous, ce serais une sécurité supplémentaire. »
-Tom « Sans problèmes. »
-Red « Parle pour toi Tom » Je le prend dans mes bras. « Tu es celui qui est doué pour devenir polyglotte. » Je regarde Tom en souriant. « Il n’y a pas de problèmes Sam. »

Nous arrivons a un chalet isolé sur une pente assez forte, a côté du chalet il y a un garage. Les environs sont couvert d’environ deux a trois pieds de neige ( 60 cm à 1 m). Il y a beaucoup plus de neige qu’en ville.

-Axe « Nous vous avons apporté des combinaison iso thermique. Vous les porterez sous vos parkas, a un point indiqué sur vos GPS vous arrêterez et ouvrirez vos parkas aussi longtemps que vous pourrez le tolérer. C’est pour refroidir l’intérieur de vos vêtements ainsi vous perdrez votre signature thermique pour de cinq a quinze minutes selon vos activités et votre degré de stress. »
-Tom « Pendant un blizzard, très attirant. »
-Sam « Essayez le avant pour savoir si vous êtes capable de le tolérer de façon tromper des détecteurs thermique. »

Nous continuons a parler en nous installant dans le chalet. Axe et Sam prennent la chambre au rez-de-chaussée tandis que Tom et moi nous rabattons sur la chambre sur la chambre de la mezzanine. Nous répétons les étapes de notre introduction dans le domaine et nous exerçons a toléré le froid. Tom insiste pour que nous pratiquions avant de nous coucher, le fripon insiste pour que je le réchauffe quand nous sautons dans notre lit. S’ensuit des réchauffements des plus agréables. Les combinaisons iso thermique sont noires et ressemblent a des combinaison de plongé sous marine elles sont munies de cagoules et gants en plus nous devons respirer dans un mouth peice connecté a un refroidisseur. Nous devrons inspirer par le nez et expirer par l’embout. Tom porte son pistolet a injection a la jambe. Autour de sa taille une web belt a laquelle est suspendu son ensemble de premier soin, deux paire de menotte et finalement deux baillons munies de boules. Pour ma part ma ceinture abrite six paires de menottes dans des étuis de cuir, six baillons, trois matraques japonaise, un tambo. Il nous faut pratiquer nos katas et katas d’armes incluant le katana avec cet équipement sur nous. C’est seulement deux jours d’adaptation la troisième journée nous ajoutons a cet entraînement la marche en raquette, la première journée le mal des raquettes est assez désagréable. Mais un massage vient vite a bout de nos muscles récalcitrant. La quatrième journée on annonce un forte tempête de neige pour la fin de la nuit qui arrive. Axe nous dit d’aller dormir vers 19h car si la tempête commence pendant la nuit et qu’elle soit adéquate il nous réveillera.

-Tom me caressant la nuque. « Mauvais garçon, comment te sens-tu ? »
-Red lui souriant. « Je doit méditer un peu. J’ai peur, j’ai peur pour toi peur pour eux. J’ai peur de perdre mon contrôle si je vois le pire. »
-Tom me souriant. « Tu vas aller chercher au fond de toi la sagesse et le calme. Les fautes des autres ne t’implique pas. Ne te sens pas responsable de leur fautes. Tu voudrais éviter aux innocents de souffrir mais leur karma est de nous attirer dans l’action. Nous nous dépassons en prenant position pour eux. »
-Red « Merci Punky, enlace moi pendant que je médite. Tiens moi au chaud. »

Punky m’enlace avec tout son corps, il respire sur ma gorge. Pendant que j’initie ma méditation sa respiration est synchrone a la mienne. Sentant sa présence je m’extrais de mes pensés volitive pour observer mon état. Grâce a cette neutralité je suis ouvert disponible au ici et maintenant. Je vois ce qui doit être fait et ce que je ne sais pas, les inconnues de l’équation ne me trouble plus. Si nous devons continuer nous saurons. J’ouvre les yeux, je suis frais et dispos Punky dors sur moi les lumières ont été fermé. J’entend des voix au rez-de-chaussée Sam parlant a Axe. Je descend un drap de bain autour de la taille pour aller prendre ma douche.

-Axe « Déjà debout Red. »
-Red « Ouiais comment est la tempête ? »
-Sam « Vent de cinquante kmh avec rafales jusqu'à quatre-vingt-dix kmh. Vas réveiller Tom il est temps. »
-Red retourne a la chambre. « Punky ouvre les yeux il est temps que ton ombre me recouvre et que nos ombres libèrent les esprits captif. » Je l’embrasse lui caressant le dos.

Nous descendons moi avec mon drap de bain et nos combinaisons iso thermique et Punky en robe d’intérieur. Nous saluons brièvement Sam et Axe entrant dans la salle de bain. Nous nous lavons avec douceur pendant que nous nous essuyions j’enlève tous mes bijoux sauf ma bague, il n’imite. Je le regarde dans les yeux.

-Red « Mon bel amour je serais ton bouclier. »
-Tom « Samouraï je suis ton élève et j’ai besoin de mon maître. Je t’arracherais au main de la mort elle même si nécessaire. Je n’ai aucune allégeance envers elle.» Il me souris en mettant sa main a plat sur mon plexus.
-Red « Allons les libérés. »

Nous revêtons nos combinaisons iso thermique avec les bottillons. Nous avons nos gants dans nos cagoules et celle-ci a la main. Nous entrons dans la cuisine ou Sam et Axe ont réunis le reste de notre équipement. Nous portons un large protecteur tel un support athlétique utiliser pour les combat full contact pardessus les combinaisons. Les vestes pare-balles sont pardessus nos combinaisons, les ceintures sont installer. Nous mettons nos survêtement camouflage pour la neige et nos parka plus une besace chacun avec des couvertures iso thermique, des calmants plus léger pour les captifs récalcitrant et nos amplificateur de lumière. Nos GPS sont portés au cou retenus par un cordon, nous avons chacun un émetteur récepteur et nous mettons nos lunettes jaune. Chargé comme des bêtes de sommes nous marchons vers la porte. Sam et Axe nous embrassent.

-Sam me glisse a l’oreille. « Vous allez revenir, Axe a parfaitement confiance en vous deux si non vous ne seriez pas ici. »
-Red « Merci Sam. Tom. » Je le tient par les épaules. « Ce qui doit arriver arrivera ! »
-Axe « Les gars prenez bien attention la cible est des plus intelligente ne la sous estimez pas.»

Dès que la porte ouvre un vent furieux balaie le chalet. Sam et Axe ferme la porte avec empressent. Nous courrons tous vers le van. Axe conduit a une moyenne de vingt kmh. La visibilité est entre cinq et dix mètres, elle est franchement mauvaise. Une tempête pareil nous permet de nous rendre à environs cinq km du manoir. Nous sortons et le van repart, sans nos lunettes de protection nous ne verrions rien. Nous mettons nos raquettes. Je dit a Tom de tenir mon parka et de me suivre. Notre marche est très lente, j’allume a intervalle régulier ma lampe rouge pour éclairer mon GPS. Sans ceux-ci impossible de se dirigé dans un blizzard tel que celui-ci, les rafales nous bousculent sans merci. Après quarante-cinq minutes j’indique a Tom de dirigé la marche et c’est moi qui le tient. Pendant quarante-cinq minutes c’est lui qui guide la marche. Nous arrêtons pour nous reposer sous les branches d’un sapin.

-Red parlant très fort. « Hey ! Punky ça roule ? »
-Tom « Oui, étonnamment j’ai chaud, cette marche est épuisante, une chance que nous sommes en forme. »
-Red « Il n’y a pas beaucoup de personnes qui ont l’entraînement pour enduré de tel conditions. »

Quinze petites minutes de repos puis nous reprenons le collier. Les conditions de marche ne s’améliore pas, fort heureusement. Même chose moi en tête pendant quarante-cinq minutes puis c’est Tom. Selon nos GPS nous sommes a un km et demi du manoir. Nous prenons quelques minutes de repos puis je reprend la tête. A cinq cent mètres nous ne voyons pas le manoir. Je fait signe a Tom de s’arrêter. Il me voit ouvrir mon parka complètement, très rapidement c’est diablement froid. Je serre les dents et garde les bras écartés de mon corps pour trois ou quatre minutes de plus. Quand je referme mon parka je vois que Tom garde le sien ouvert pour presque une minute de plus. Je souris sous ma cagoule. Nous serrons les embouts de nos refroidisseur entre les dents et marchons le plus rapidement possible vers le manoir qui est toujours invisible. A environ trente mètres nous voyons soudainement une masse sombre. Nous avançons puis nous nous appuyions sur un mur de pierres. Outre le vent qui hurle et la neige qui tourbillonne rien de bouge. Nous commençons a faire le tour lentement collé sur le mur, le côté que nous longeons est aveugle, sans fenêtres ni portes. Dès que nous tournons le coin l’air est beaucoup plus calme. Le vent hurle toujours a nos oreilles mais c’est beaucoup plus calme. A quatre mètres devant nous une serre illuminée appuyer au mur. Je m’étend dans la neige, je sens Punky étendu un peu derrière moi le long de ma jambe gauche. L’intérieur de la serre semble assez grand. Des plantes tropicales, je crois, couvrent le pourtour au centre trois tables et six chaises entourant chacune de celles-ci, adjacent au mur un bar. Quatre hommes habillés de pantalon léger chemise ouverte, boivent des rafraîchissements en bavardant. Le point qui cloche dans ce tableau bucolique est que le jeune homme, de vingt ou vingt cinq ans, qui se tiens près du bar est complètement nu. Il a un collier de cuir autour du cou, les mamelons percés et un cock ring assez serré autour de ses organes génitaux. Nous les regardons boire et bavasser pendant quelques minutes. Je fait signe a Punky de rebrousser chemin. Nous repassons le coin pour faire face encore au vent furieux. Nous suivons le mur en sens inverse pour rejoindre l’autre coin. Nous le tournons avec précaution. Moins de vent merci. Nous avançons sur environ cinq mètres, a notre gauche un trou, après examen c’est une entrée pour le sous-sol. Il y a quatre marches, la porte n’est pas affleurante, en bois plein a ce que je peux voir. Dans le trou la neige est peu épaisse donc elle doit être utiliser fréquemment, dépourvue de fenêtre ou d’ope. Je regarde Punky et pointe la poigner de la porte. Il fait oui de la tête en faisant mine de la tourné. Je fait face a la porte prenant une matraque japonaise dans sa gaine. Je tourne la poigné elle ne bouge pas. Je m’approche de Tom et lui propose de continuer nos recherche car je ne crois pas que quelqu’un ne sorte car nous sommes en pleine nuit. Nous repartons, plus loin un large escalier montant, nous approchons lentement observant avec attention. Une double porte de bois clouté, de chaque côté une fenêtre a petits carreaux. Nous distinguons un petit panneau de verre ou de plexi en haut de la porte. Nous faisons un large détour pour rester hors du champ de la camera. En tournant le coin Tom, qui a mis son amplificateur de lumière, tire sur ma manche et me pointe l’orée du bois a environs cent mètres. Il approche ses lèvres de mon oreille.

-Tom « Il y a de la lumière par là mais je ne distingue rien. »
-Red mettant le mien. « Ouvrons nos parka avant d’aller voir. » J’ouvre mon vêtement et avant de mordre ma pièce buccal. « Criss que c’est frette ! »

Tom fait de même et me suis de près. Nous approchons du trait de lumière dans le blizzard, arrivant a quatre ou cinq mètres nous voyons une cabane de bois rond de quinze pied par quinze pieds ( 4,55m x 4,55m), pas de fenêtre un cadenas fermant la porte. Je regarde Tom faisant mine de donner un coup de pied sur la porte, il me fait oui de la tête. Je prend ma position et frappe la porte violemment. Elle bouge mais ne cède pas. Je m’approche de Tom et le colle sur moi et lui crie.

-Red « Ensemble au compte de trois. »

A trois nous élançons de concert sur la porte qui cède sous nos efforts conjugué. Nous trébuchons dans la pièce, je n’étend de tout mon long tandis que Tom reste sur un genou son pistolet a injection en main. Nous entendons un cri de panique. Un garçon d’environ treize ou quatorze ans tenant une mince couverture sur lui hurle de terreur. Ses cheveux sont blond, il a des traits délicats et ses yeux sont verts. Dans la pièce il y a un petit brasero, un lit de bois sans matelas un tabouret, des chaînes munies de menottes pendent des poutres et quelques chaînes traîne sur le sol. Tom ferme la porte pendant que je m’approche. J’ouvre ma besace et enveloppe le garçon d’une couverture iso sans tenir compte de ses cris. Je me tourne vers Tom et lui dit en Japonais.

-Red « Fait comme si de rien n’étais, traduit ce que je dit. Quel es-ton nom ? »
-Tom « Quel es-ton nom ? »
-Jaques bégaye un un peu. « Rex Maître. »

Tom traduit en japonais.

-Tom « Tu a été condamné a mourir de froid ici ? »
-Jaques « Maître Karl a trouvé que j’étais froid a son égard il m’a mis ici pour m’apprendre a être enthousiaste quand on m’utilise Maître. » Il se lève, il est nu avec un collier de métal autour du cou. Il se tient les jambes écartés le main dans le dos, la tête penché vers le sol. Il grelotte mais reste debout.
-Tom « Quand Karl vas-il venir te cherché ? »
-Jaques « Quand j’accepterai de prendre le plus gros dildo la collection par moi-même Maître. »
-Tom « Comment lui dira-tu ? »
-Jaques « Permission d’aller vers le lit Maître. »
-Tom « Oui Rex. »
-Jaques il tient un bouton d’appel dans la main. « Maître je n’ai pas trouvé le courage d’appeler. Le dildo est très gros Maître. »
-Red en français. « Relaxe Rex. » Je lui met la couverture iso sur lui. « Nous sommes ici pour te ramenez a la maison. » Il nous regarde incrédule puis ses lèvres se mettent a trembler.
-Jaques « Maître si vous le voulez, Maître. »
-Red « Donne moi le bouton d’appel et étend toi sur le lit. Pas un mot pas un son. » Il se recroqueville sur le lit nous regardant avec appréhension.
-Tom « Nous sortons et replaçons la porte. »
-Red passant en japonais. « Oui mais avant de sortir laissons ce qui nous encombre a l’intérieur et terrons nous dans la neige de chaque côté de la porte les matraque dans une main et les katana hors fourreau. »
-Tom me parlant en japonais lui aussi. « Samouraï tu déclenchera l’attaque ? »
-Red « Oui mon tendre ami. »

Nous sortons replaçant la porte du mieux possible. Je me place en seza près de la porte et lance de la neige sur moi a l’aide d’une de mes raquettes. Quand je vois que Tom est bien installer, j’appui sur le bouton d’appel. Nous attendons plus d’une demi heure, dans la neige qui poudroie. Je discerne le halo d’une lampe a haute intensité. Un homme de grande taille avec une canadienne et des bottes avance rapidement vers la cabane. Arrivé a deux mètres de la porte il s’arrête brusquement fixant celle-ci. Je me lève soudainement balayant a la hauteur de ses genoux avec la matraque. Il évite mon coup me donnant un puissant coup de genoux dans les testicules, mais je suis protégés, sa pince quand même. Je me prépare a le frapper une seconde fois, mais Tom le frappe avec violence derrière la tête, il penche vers l’avant. Je le frappe fort peu aimablement sur le côté du visage. Il s’affale près de la porte. Nous le tirons a l’intérieur puis replaçons la porte. Tom prend son pistolet a injection et l’appuis contre le cou de l’homme pour ma part je le menotte et le bayonne. Rex nous regarde les yeux écarquiller pendant que je dépouille celui qu’il appelait Maître Karl.

-Jaques « Maîtres êtes vous venus pour remplacer ceux qui nous gardent. »
-Tom « Écoute… »
-Red l’interrompant. « Oui et si tu nous aide de ton plein gré tu sera récompensé. Si non … »
-Jaques « Maîtres que voulez-vous que je fasse. »
-Tom « Dit nous combien il y a de Maître sur place ? »
-Jaques « Cinq Maîtres plus Karl, Maîtres. »
-Red en japonais. « Soigneur donne lui un calmant pour qu’il dorme pendant que nous travaillons. »
-Tom « Rex prend ce cachet et avale. »
-Jaques semble inquiet mais prend le comprimé. « Oui Maître. »

Pendant ce temps j’examine ce que j’ai pris sur Karl. Un contrôle a distance avec un sélecteur allant de 00 à 99. Un pendentif plutôt épais au bout d’une chaîne, sur le pendentif on vois une représentation de Janus je crois. Je les met dans ma besace. Une série de clefs sur un petit trousseau. Un pistolet un Desert Eagle .50 avec deux chargeurs supplémentaire, je l’empoche aussi. Avant que le tranquillisant fasse complètement effet.

-Red « Rex ou couche les Maîtres dans le manoir ? »
-Jaques « Tout les Maîtres couchent a l’étage le Grand Maître couche au deuxième étage plusieurs Maîtres et larves sont éveillés pour préparé la réception. »
-Red « Combien de larves êtes vous ? »
-Tom en japonais. « Tu exagère Red. »
-Jaques « Nous sommes neuf larves male et six larves femelle, Maître. »
-Red en japonais. « Soigneur laissons le croire ce qui est le plus simple pour lui. Nous corrigerons plus tard. »
-Red « Que contrôle cet appareil. » Lui montrant l’appareil que j’ai pris sur Karl.
-Jaques mettant la main sur le collier de métal qu’il a au cou. « C’est pour contrôler les colliers, Maître. »
-Red « C’est bien Rex, enveloppe toi dans tes couvertures et dors nous reviendrons te cherché. Tu a bien servi Rex. »
-Jaques « Merci Maître. »

Il se couche et s’emmitoufle dans ses couvertures. Me regardant mettre mon parka sur lui. Je lui dit que je tient ce qu’il soit vivant quand je reviendrai le cherché. J’enlève mon survêtement de camouflage, j’installe non katana a mon côté et finalement la besace. Tom fait de même, en finissant nous mettons nos amplificateur de lumière sur nos têtes. En sortant nous abaissons les oculaires devant nos yeux, la neige bloque complètement notre vision donc nous les relevons. Allumant nos lampe rouge nous voyons les trace de Karl qui s’estompent dans le vent. Je les suis rapidement elles nous mènent a la porte du sous-sol que nous avions déjà sondé. Je descend les marches quand j’essaie la poigné elle tourne. Je saisie une matraque et fait signe a Tom qui grelotte derrière moi. En ouvrant nous sommes dans une petite pièce obscure des casiers s’alignent contre un des murs, un tapis de caoutchouc couvre le plancher qui est muni d’un drain. A notre droite une porte et devant nous une porte. Je pointe la porte de droite a Tom. Il colle son oreille sur celle-ci et hausse les épaules en me regardant. Je marche derrière lui arme a la main en lui faisant oui de la tête. Tom ouvre la porte c’est une chambre, au fond il y a un lit simple et un jeune homme dors dans celui-ci. Il a un collier de cuir au cou, il bouge un peu mais ne semble pas s’éveiller. Je range la matraque et m’approche du lit, je fait signe a Tom de sortir son pistolet. Il dors sur le côté, je le ceinture d’un bras et le bâillonne avec mon autre main. Tom s’approche rapidement et appuie son pistolet a injection sur le biceps du jeune homme. Au bout de deux minutes environ il devient inerte dans mes bras. Le garçon a environ vingt ans, mince et complètement rasé si on excepte ses cheveux et ses sourcils.

-Red en japonais « Combien de temps vas-il dormir ? »
-Ton « Environ six heures. »
-Red « Soigneur nous allons a l’étage soit alerte et attentif il y a cinq agents armés au rez-de-chaussée. » Je lui prend doucement le bras. « Mon amour il t’est interdit de te faire blesser. »
-Tom m’enlace. « Je te promet de faire de mon mieux. »
-Red « Tu fait toujours de tom mieux Punky. Nous avons du travail a faire.»

Nous approchons de l’autre porte, j’écoute et sonde la porte. Il y a du bruit de l’autre côté de la porte et la porte n’est pas barré. Je fait signe a Tom de sortir son pistolet et sa matraque, je sort mon katana. Je met un genou au sol entrouvrant la porte. Je vois grâce a mon amplificateur de lumière un long corridor et de chaque coté de celui-ci des cellules fermés par des barreaux. L’éclairage est faible mais suffisant avec mon équipement. J’ouvre la porte et m’avance entre les cellules. Quand j’avance c’est le silence total. Il y a vingt cellules en tout, douze sont occupés. Je compte quatre filles entre douze et quinze ans et six garçons entre treize et dix-huit ans. Je fait signe a Tom de s’approcher et lui dit en japonais.

-Red « Soigneur auriez-vous l’amabilité de distribué des calmant a ces messieurs et dames. »

Je me dirige vers la porte au fond du corridor.

-Tom « Avec plaisir Samouraï. » Regardant dans les cellules en français. « Approchez des barreaux et avalez ces pilules, maintenant. » En japonais « Je déteste faire cela Samouraï. »
-Red « Nous devons faire ce qui doit être fait. Que tu soit près de moi allège mon fardeau. »

Un des garçon refuse de prendre son médicament. Je me retourne et le pointe avec le contrôle radio, le garçon prend immédiatement la pilule et l’avale avec empressement. Tom me rejoins à la porte.

-Tom en japonais. « Ils devraient tous dormir d’ici quelques minutes. »
-Red « N’attendons pas ouvrons la porte. »

Tom s’installe derrière moi et saisie matraque et pistolet. Pour ma part je prend mon katana avant d’ouvrir la porte. Un corridor faiblement éclairé et une porte directement a notre droite. Je m’avance tandis que Tom presse son oreille contre l’huis.
Il me fait signe qu’il entend une personne a l’intérieur. Je me place derrière lui le katana a la main, tom ouvre brusquement la porte en faisant un pas de côté pour me libéré le chemin. C’est le jeune homme que nous avions vus dans la serre avec un collier de cuir. Il nous regarde effaré je profite de son désarrois pour m’avancer vers lui et poser ma lame sur son cou.

-Red en japonais. « Soigneur il a l’air tendu peux-tu l’aider a se détendre ? »
-Tom « Oui mon gracieux Samouraï. » En français. « Ne bouge pas, prend ce comprimé tout de suite. »

Il a l’air belliqueux. Je prend une des paire de menottes pour lui lier les main.




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