Un coup de main
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Disclaimer:
This is a work of fiction. Any resemblance of characters to actual persons, living or dead, is purely coincidental. The Author holds exclusive rights to this work. Unauthorized duplication is prohibited.
Partie 2
Un coup de main 2
Si vous n’avez pas 18 ans ou l’âge légal dans le pays ou vous vivez,
veuillez quitter maintenant. Ces histoires sont au sujet de garçon ou de
garçons gay, si cela n’est pas de votre goût, quittez maintenant. Toute
ressemblance avec des personnes ou organisations existantes est purement
accidentelle car ceci est une œuvre de pure fiction.
Jarvis de Var
Éditeur Joël
Je mets mon uniforme de combat et marche vers le dépanneur du quartier. J’y achète 2 gros cigares et des allumettes, je souris au commis, il doit se demander s’il peut me vendre ces cigares. Je n’ai pas de difficulté à trouver l’endroit mais la banlieue n’est pas une bonne place pour moi. Au cœur de la ville je suis invisible ici plusieurs personnes me remarquent. Je balaye mon environnement des yeux et y trouve un petit parc, je me rends à un banc pour y commencer mon observation.
Je reste sur le banc pour une ½ heure puis me rends à la porte de chez Tom et sonne, après 5 sonneries sans réponse je retourne m’asseoir sur le banc. J’espère vraiment que cette aventure va se dérouler sans heurt. Je suis à ½ endormi sur mon banc, c’est le meilleur moyen de garder l’esprit calme et la folle du logis sous contrôle. Après trois longue heures, je vois un garçon d’environ 1m82 pour 80kg plutôt joli garçon ressemblant à Tom. Oui il marche dans la bonne direction. Je mets mes gant et le suis. Il se rend à la porte de Tom et l’ouvre. Je me glisse discrètement derrière lui et dit bonjour, il se tourne pour être intercepté par un coup de poing à la pointe de la mâchoire. Je le frappe très fort mais il est solide et ne fait que tombé sur un genoux. Je lui donne un deuxième coup sur la mâchoire et finalement les lumières s’éteignent. Beau travail, personne ne semble avoir remarqué.
Je le traîne à l’intérieur. Je le bâillonne à l’aide de la balle et du duct tape, je barre la porte. L’entrée donne sur un escalier permettant l’accès à l’étage et au sous-sol. Je le traîne dans le sous-sol, trouve une bonne chaise, utilisant des tie-raps à ses chevilles, genoux, poignets et coudes je l’immobilise. Je trouve une couverture la mets par-dessus lui, je tape celle-ci autour de ses épaules, plusieurs tours. Je regarde autour de la pièce et ferme les jalousies. Ok la première partie a bien été, jeton un coup d’œil aux alentours. Mon rythme cardiaque se calme un peu. Dans le sous-sol il y a une salle de lavage propre et bien entretenue. La salle de séjour est où j’ai attaché le gars, il y a aussi, une chambre de jeune homme propre et si vous me le demandez, trop propre.
Tout le matériel ordinaire système audio, ordinateur, télévision; maintenant fouillons la chambre. Premièrement je retourne le matelas, le lit lui même est une boîte, j’enlève les planches qui retiennent le matelas. J’y trouve une boîte de métal fermée à clef. Je continue à fouiller je ne trouve rien d’incriminant. Mais étrangement je trouve les clefs de quatre paires de menottes, pas les menottes de piètre qualité que l’on retrouve dans les surplus de matériel militaire mais des menottes de qualités. En dessous d’une pile de vêtements de la corde, des pinces alligators douze, et un fer à souder. Je cherche la clef pour la boîte de métal et ne la trouve pas. Je fouille sa poche droite du garçon, elle n’a pas de fond et donne accès directe à sa queue. Je me souvient des marques de brûlures sur le corps de son frère. Je lui empoigne le paquet et le serre brutalement. Il sursaute et
gémit sourdement. Je fouille l’autre poche, y trouve de l’argent et un trousseau de clef.
- Je sais ce qui TE fait jouir! Sois prêt à y goûter.
J’ouvre la boîte de métal et y trouve trois CD, un USB drive de 256mo et un calepin ½ plein. Il faudra que je le lise plus tard. Je monte à l’étage: cuisine, salle à dîner, salle de bain. Soudainement je fige au milieux d’un pas. J’entends du bruit venant de derrière une porte. Je pose mon oreille sur celle-ci, j’entends respiration et plainte à peine audible venant de l’intérieur. Un peu secoué, je pose la main sur la poignée, prends une grande respiration et ouvre la porte. À ma grande surprise je trouve un petit gars menotté sur le lit, complètement détrempé du milieu du thorax au genoux, bâillonné, les yeux écarquillé avec une expression de panique sur le visage. J’approche de lui rapidement et pose un oreiller sur son visage. Je prends la taie de son autre oreiller et lui dis.
- Hey petit, je ne veux pas te faire de mal ok, mais tu ne peux me voir, je vais te bander les yeux, ne panique pas.
Je mets la taie sous l’oreiller lui couvrant son visage et enveloppe sa tête avec. J’agis avec douceur pour ne pas l’effrayer.
- Je vais fixer ton bandeau et enlever ton bâillon, ok?
Le petit pleure bruyamment lorsque je lui enlève le bâillon. Il tremble comme une feuille bafouillant qu’il ne pouvait plus se retenir de ne pas le battre etc, etc... Sans répondre je cherche dans ma poche pour y repêcher les clefs de menottes pour le libérer. Il est totalement paniqué, je dois enlacer avec force son corps humide, lui parlant doucement pour le calmer. Je lui demande pourquoi il était menotté sur le lit. Il me dit qu’il devait apprendre à ne pas pisser à tout bout de champ.
- Ne le dis pas à Ernest s’il te plait, s’il l’apprend il va me donner un traitement et je déteste ça s’il te plait!
Il étouffe littéralement en me disant cela.
- Laisse le bandeau sur tes yeux, je vais t’aider à te laver et à changer ton lit mais laisse ton bandeau. Je ne veux pas que tu sache qui je suis, ok petit?
J’aide le petit à se laver et à se changer, ce n’est pas facile aveugle. Nous parlons en le mettant plus à l’aise. J’apprends que ses parents sont partis à la recherche de son frère Thomas et qu’Ernest son autre frère sera de retour bientôt. Qu’il faut que je parte avant qu’il revienne. Je lui dis ok.
- Seth reste dans ta chambre même si tu entends beaucoup de bruit ok, je vais revenir pour te dire quand tu pourras sortir de ta chambre ok? Travaille avec moi je suis ici pour aider fais toi en pas petit.
Avant de quitter la chambrer je mets un CD dans son boom box. Quittant le petit je suis vraiment excédé. J’arrête dans les escaliers pour prendre quelques grande respirations, que faire avec ce trou du cul. J’arrive dans le sous-sol, je vois mon prisonnier qui a la bougeotte sur sa chaise, voyant cela je fais du bruit dans l’escalier. Je m’assois près de lui, j’allume un cigare et souffle la fumée dans sa direction après quelques bouffées il fige complètement. Je mets quelques longueurs de tape autour de ses yeux, ce qui me permet d’enlever celui autour de ses épaules pour relever la couverture pour enlever la balle qui le bâillonne. Il sue abondamment même au point de baver, il reste silencieux même quand je lui souffle la fumée directement à la figure. Je fais tout ceci sans dire un seul mot. Prenant ma voix la plus rauque:
- As-tu un mot de passe pour les CD qui étaient sous ton lit?
Il ne répond pas à ma question, sans dire un mot je relève sa chemise et approche le cigare à 1cm de son mamelon droit, je le laisse là.
- Pour la dernière fois avant que tu perdes ce mamelon as-tu mis un mot de passe sur ces 3 CD?
- NON, ne le brûle pas nooon!
Il crie cela suant abondamment. Ce trou de cul n’a pas une once de courage. J’ai un profond dédain pour ce sac à merde. Rageant je lui donne un coup de pied en bas du genou. Je sais que je ne le brûlerai pas, je ne peux pas le faire. Je lui demande ce qui en est du calepin et du USB drive. Il me répond que le calepin contient des notes au sujet des élèves de sa classe e-mail mot de passe ou leur relation intime s’il en ont. Le USB drive donne complet accès à son ordinateur. Je vais dans sa chambre installe le drive et boot l’ordi, une très large quantité de porno de tout genre mais une large sélection de S&M, bounding et piercing. Je n’aime pas vraiment cela ça m’écœure. Je mets un des CD, je bondis littéralement hors de ma chaise, il y a de nombreuses photos de ce qu’il a fait à ses deux frères. Me faisant violence je reste silencieux. Dans le calepin je trouve le e-mail de son père et son mot de passe, je lui poste les 5 pires photos du lot, quatre sont de Tom, dont deux avec des plaies qui saignent. Je récupère les CD et le USB drive. Passant près du trou du cul je lui donne un coup de pied sur le côté de la tête. Je monte à la chambre de Seth. Il est tranquillement assis sur son lit attendant. Quand j’ouvre la porte il sursaute un peu et tourne dans ma direction.
- Ok petit c’est moi.
Il étend les bras dans ma direction, je m’assois sur le lit le serrant dans mes bras.
- Je vais partir bientôt ton frère Ernest est attaché dans le sous-sol.
Il a un air incrédule.
- Écoute ce que j’ai à te dire.
Il fait oui avec sa tête.
- Laisse le où il est, attends tes parents. Quand ils rentreront va vers eux, demande à ton père de vérifier son e-mail, d’ouvrir le message "TOUTE LA VÉRITÉ" et d’ouvrir la pièce attachée. Peux-tu faire cela?
- Oui mais...
- Pas de mais, si tu fais ce que je te demande tu n’auras plus jamais de traitement et
- Thomas va revenir, je te le promets.
- Je le ferai.
- Si tu donnes trop de détail à mon sujet, à tes parents ou aux policiers, je vais être arrêté et envoyé en prison. Dis seulement que tu n’as pas eu le temps de me voir ou que tu ne te souviens pas puis pleure, es-tu ok avec cela?
- Je ne te ferai jamais arrêter si Ernest arrête de nous faire mal.
- Reste tranquillement dans ta chambre je m’en vais maintenant.
Je l’embrasse sur le front, lui caresse les cheveux puis quitte sa chambre. Je descends dans le sous-sol ramasse tout mon matériel. J’arrête devant le trou du cul et lui dit:
- Sac à merde.
Je donne un coup de pied à sa jambe droite.
- Je m’en vais mais je garde un oeil sur toi, touche à un seul de tes frères et tu vas être désolé, crissement désolé. Si désolé que tu vas souhaiter être mort. En fait je suggère que tu décalisses d’ici le plus rapidement possible. Sais tu pourquoi? Parce que je te surveille trou de cul.
Je donne un coup de pied sur sa jambe gauche. Je quitte la maison rapidement et tranquillement. Regardant autour de moi j’enlève mes gants, il y a quelques personnes sur la rue mais je passe inaperçu. Bien je commence à relaxer. Je prends le métro et rentre à la maison souriant.
Cela a été un long samedi mais je me sens bien. Je ne sais pas si je vais sortir ce soir je vas voir comment Tom va se sentir. À la porte j’entends ma mère m’appeler:
- Où étais-tu?
- L’entraînement et avec des amis qui avaient besoin de mon aide. Regardant aux alentours: Où est Thomas?
- Nous sommes mieux de n’avoir pas de nouvelle de tes activités Réginald sinon tu deviens pensionnaire.
- Mom je t’ai déjà dit que les piercings et les cheveux teints n'ont pas l’air de plaire à ces institutions et que personne ne saurait changer cela.
Lui souriant de façon sardonique, la regardant sérieusement:
- J’ai été chez Thomas. Avant de crier regarde ces CDs.
- Je n’aimerai pas ça.
- Thomas ne peut pas voir ça, va dans le bureau de pap.
- C’est aussi terrible que cela?
- Pire que ce que tu peux imaginer.
Elle quitte la cuisine emportant les trois CD avec elle. Après quelques minutes Thomas entre avec père.
- Bonjour pap, bonjour Tom comment cela va?
- Tu t’entraîne le samedi? demande mon père.
- Oui demande à mom.
- Tu t’entraînes pour aussi longtemps que cela? Il est 19h.
- Oui, veux-tu regarder la tv dans ma chambre?
- Oui si tu veux, répond-il hésitant.
Nous entrons dans ma chambre, il s’assoit sur mon lit et je m’assois sur le hamac. Je lui dis de ne pas paniquer:
- J’ai été chez toi cet après-midi.
Il a un air de quasi désespérance sur son visage.
- J’ai vue Seth il était bien et content de me parler.
- As-tu vue Ernest?
- Oui nous avons eu une bonne conversation. Quand je l’ai vu la première chose que je lui ai dite c’est bonjour. Quand je suis parti il m'a assuré qu’il avait intention de déménager le plus tôt possible.
- Il a dit ça?
- Quand il me l’a dit il semblait extrêmement sérieux à ce sujet.
Il pleure un peu essayant de croire ce que je lui ai dit, je pense. Je lui dis: "Prends vidéo ou DVD, n’importe quoi." Ma mère m’appelle du premier plancher.
- Il faut appeler la police c’est horrible.
- Si t’appelles les cochons...
- La police! interrompit-elle.
- Si tu veux les appeler, nous ne pouvons donner aucune explication sur comment nous avons obtenu ces CDs, au mieux ils ne pourront pas les utiliser en cours au pire je vais être arrêté.
- Qu’est-ce que tu as fait à ce... garçon?
- Rien, j’avais peur que si je commençais à le frapper sérieusement, je ne serais pas capable de m’arrêter.
- C’est bien.
Elle prit ma tête sur sa poitrine et la berça doucement.
Amène tes frères avec toi pour regarder la tv dans ta chambre ils ont demandé après toi.
Ils s’ennuient du gaffeur. Nous allons voir comment régler la situation demain.
- Oui mon commandant.
- Ferme ta trappe punk, dit-elle me souriant.
J’appelle Mike et Andrews, Mike a 13 ans et Andrews 11 ans. Je les amène dans la chambre avec nous, nous décidons de regarder Le seigneur des Anneaux le premier et deuxième film. Andrews sur le lit avec Tom et Mike avec moi. Nous parlons de tout et de rien relaxant vraiment. Après les films les petits partent se coucher nous laissant seul.
- Tom écoute tranquillement je vais tout te dire, tu es d’accord?
- Pas de trouble.
- Comme je t’ai dit j’ai été chez toi cet après-midi, savais-tu qu’Ernest abusait ton petit frère aussi?
- Non le bâtard il n’a pas...
- Oui il l’a fait pas aussi brutalement que pour toi mais il l’a fait. J’ai pris les CDs avec les photos qu’il a prises de toi et de ton frère. Je les ai utilisées contre lui, tu n’as pas de problèmes avec cela?
- Non, mais qu’a-t-il fait à mon frère?
- Demande le lui, ce qui est important c’est quand tu retourneras à la maison tu devras parler aux cochons, ton histoire devra tenir la route, es-tu d’accord avec moi?
Une histoire simple et sans complication, tu as passé ton temps près de Ste. Catherine et St. Laurent. Tu t’es lavé dans les piscines publiques, mangé au refuge pour jeune de Pop. Nous avons pratiqué les détails de l’histoire environ deux heures, il devint incollable avec cette histoire. Assis côte à côte sur mon lit ma main effleura à quelques reprise sa cuisse. Prenant sur moi-même je m’assis un peu plus loin de lui gardant mes mains pour moi. Il est vraiment joli. À 2h35 je l’envoie dans la salle de bain pendant que je fais une razzia dans la cuisine. De retour dans la chambre je mange ma collation en l’attendant. Nous échangions nos places, avant d’entrer dans la salle de bain je lui pointe le plateau de service avec sa collation. Je me douche et me masturbe en pensant à lui. J’ajuste mon réveil pour 8h00, peu de sommeil cette fin de semaine. Je tombe comme une roche dans mon hamac. Quel est cet horrible son? Yerk! C’est déjà l’heure. Lève-toi ferme l’alarme, descends, le spectacle doit continuer.
- Bonjour pap, mom, voulez-vous me parler avant que les autres se lèvent?
- Ce que ton père et moi avons vu hier soir est criminel nous devons le rapporter à la police.
- J’ai envoyé des photos par e-mail au père de Tom, de la maison et du compte local.
Aucun danger d’être repéré. Je regarde mon père: J’ai pris note du temps exact et de la date, ils ont à signaler l’offense criminelle, pap tu devrais demander à ton copain de te donner une copie du log et du e-mail.
- Je vais le faire mais à propos de Thomas?
- Je vais téléphoner chez Tom d’une boite téléphonique cet après-midi à partir de cela nous aviserons.
Plus tard mes frères et Tom descendent en parlant et souriant, cela m’apporte du réconfort. Je prends un café pendant que le reste de la famille bavarde comme une bonne unité familiale. Après le déjeûner je suis Mike pour coller du plastique. Le petit aime cela et il aime le faire avec moi. Tom tourne autour de nous et finalement s’assoit et nous aide. Nous passons du bon temps ensemble. À midi après avoir fini de manger je prends Tom à part:
- Viens avec moi nous allons téléphoner chez toi d’une boîte téléphonique.
- Es-tu certain? Me regardant nerveusement.
- Si Ernest répond, raccroche tu n’as pas à lui parler, ok?
- Si on doit le faire, allons-y, dit-il tristement.
Quelques minutes de marche jusqu’à la cabine téléphonique. Je mets une pièce et Tom signale le numéro. Il attend suant un peu, je le vois retenir son souffle, quand il commence à parler je suis convaincu qu’il parle à Seth, il me tourne le dos. Il pleure c’est certain, il parle à d’autres personnes, au moins 3 personnes. Regardant ma montre je coupe la communication après 3 minutes. Il me regarde choqué.
- Pourquoi?
- Je ne veux pas être arrêté, comprends-tu cela?
- Ils veulent que je retourne à la maison, ils savent qu’il y a eu une intervention, mais il ne connaissent pas Red le punk, dit-il me souriant.
- Premièrement décollons d’ici, on se rend chez moi et on prend tes affaires. On se rend au métro et je te laisse là mon ami, dis-je en soupirant.
Nous nous rendons à la maison mes parents et mes frères embrassent Tom et lui souhaitent bonne chance. Nous prenons l’autobus et le métro pendant le voyage je le regarde pour imprimer dans ma mémoire sa beauté. On arrive à sa station, je l’accompagne à l’arrêt d’autobus lui souhaite bonne chance et le quitte. Je marche hors de vue et hèle un taxi donnant l’adresse de Tom. Je vais m’asseoir dans le parc près de sa maison. J’attends une heure avant de le voir marcher vers sa maison. Je vois son père ouvrir la porte la réaction de Tom le confirme, Seth et une femme les rejoignent. Un travail bien fait et pas de cochons. Opps! Je m’apprête à me lever quand un homme sort de la maison se dirige vers une voiture où il y a 2 autres hommes et leur parle. Il est temps que je quitte. Je me lève, l’homme près de la voiture se met à me suivre.
- Hey! Toi attend!
- Qu’est-ce que tu veux?
- As-tu vu?
- Pourquoi je devrais te répondre je ne te connais pas. Tu pourrais être un criss de pervers.
- Je suis le sergent détective Dubuc. Il ouvre un porte carte et me montre son insigne. As-tu vu un homme de 1m87 à 1m92 punk comme toi?
- Non.
- Fumes-tu?
- Non.
- As-tu tes papiers?
- Non.
- Nom et adresse?
- Pierre Valmont, 1342 des Érables, je peux partir maintenant?
- Oui, si tu te souviens de quelque chose prends ma carte.
Je pars rapidement car s’il vérifie il n’y a rien de vrai dans ce que je lui ai dit. Finalement j’arrive à la maison sans problème. Arrivé à la maison ma mère me sermonne sur les problèmes que j’aurais pu nous causer. Les parents sont étranges quelques fois, ils ne peuvent envisager le fait que je sois parfaitement au courant que je puisse être arrêté et traduit en cours de justice et que j’ai agi de toute façon. Il est étrange que des personnes intelligentes tombent dans de telles structures mentales. Pour le reste de la journée je joue avec mes petits et écoute des vieux Bauhaus. Mes parents détestent mais j’aime.
Lundi matin l’alarme de mon réveil m’appelle et je suis seul et c’est de ma faute. Allons à l’école. Je laisse mes frères à leur école et continue vers la mienne. Comme d’habitude je grogne et j’aboie pour ouvrir le chemin devant moi. La plupart des professeurs m’aiment bien, j’ai de bons résultats les classes ne sont pas un problème pour moi. La journée fut tranquille. De retour à la maison ma mère m’attend avec ma collation. Je lui souris et entre dans ma chambre pour faire mes travaux. À 17h35, mère m’appelle.
- Reginald téléphone.
- Red à l’appareil.
- Bonjour je t’appelle pour te donner des nouvelles c’est tout bon. Je t'appelle d’un restaurent. Ernest a été sorti de la maison, il est dans un institution pour délinquant juvénile. Il cherche pour un homme vraiment grand que Ernest leur a décrit. Tu es en sécurité.
- Merci Tom heureux d’apprendre que tout va bien pour vous tous, lui dis-je souriant à moi même.
- Non merci à toi Red si tu ne t’en étais pas mêlé j’aurais fini par me tuer. J’étais vraiment dépressif. Merci, merci infiniment, tu as sauvé nos vies à Seth et moi. Bientôt ce sera sécuritaire de venir nous voir si tu es d’accord.
- Ok, appelle moi et nous pourrons figurer quelque chose.
Je combattais un nœud dans ma gorge et les larmes qui perlent à mes yeux.
- Je t’appellerai le plus tôt possible, bye Red.
Cela me prit plusieurs minutes de respiration profonde pour harnacher mes émotions. Je me rends à la cuisine souriant et heureux pour Tom. Dans la cuisine je renifle un peu partout pour savoir ce qui cuit. Ce n’est pas prêt donc ma mère m’indique la porte. Je retrouve Mike et Andrews pour les aider avec leur travail scolaire. Après le souper je regarde la tv avec eux, les tenant près de moi.
Arrivé dans mon lit je me sens très seul, je dois me concentrer sur les principes de base, le désir est douleur où il n’y a pas de désir il n’y a pas de douleur, la plupart des désirs sont égoïstes, il faut se concentrer sur le soi sans artifice. Ne pas laisser les désirs transitoires avoir prise sur l’âme. Ok les émotions doucement s’aplanissent. Je dors comme une bûche.
La semaine se passe très bien. À la fin de la semaine Sophie m’appelle pour me demander si je peux aller au Fouf vendredi. Je lui demande à quelle heure. Elle me dit environ 20h c’est bon, il va y avoir des skinheads de Toronto qui vont descendre à Montréal pour cogner des punks. Je sais quelle va sortir sa compagne et qu'elle veut que je les protèges des têtes de gland. Je lui dis pas de problème et je sais qu'elle va payer mes drinks. Pour ces soirées je porte mon jock strap, les protecteurs d’avant-bras et les protecteurs de tibia. Porter un jock strap avec la coquille est inconfortable chaud et irritant. Vaut mieux être inconfortable que se rouler par terre hors de combat. J’entre au Fouf et vois Sergio.
- Bonjour Sergio comment ça va?
- Bonjour Red, bien à date.
- Sais-tu que les têtes de gland de Toronto viennent en ville pour cogner du punk et tout ce qui n’est pas blanc?
- Tu viens de faire ma fin de semaine.
Il sourit de façon féroce en frottant ses poings.
- Si jamais il y a des problèmes, je me ferai plaisir de t’aider...
Si vous n’avez pas 18 ans ou l’âge légal dans le pays ou vous vivez,
veuillez quitter maintenant. Ces histoires sont au sujet de garçon ou de
garçons gay, si cela n’est pas de votre goût, quittez maintenant. Toute
ressemblance avec des personnes ou organisations existantes est purement
accidentelle car ceci est une œuvre de pure fiction.
Jarvis de Var
Éditeur Joël
Je mets mon uniforme de combat et marche vers le dépanneur du quartier. J’y achète 2 gros cigares et des allumettes, je souris au commis, il doit se demander s’il peut me vendre ces cigares. Je n’ai pas de difficulté à trouver l’endroit mais la banlieue n’est pas une bonne place pour moi. Au cœur de la ville je suis invisible ici plusieurs personnes me remarquent. Je balaye mon environnement des yeux et y trouve un petit parc, je me rends à un banc pour y commencer mon observation.
Je reste sur le banc pour une ½ heure puis me rends à la porte de chez Tom et sonne, après 5 sonneries sans réponse je retourne m’asseoir sur le banc. J’espère vraiment que cette aventure va se dérouler sans heurt. Je suis à ½ endormi sur mon banc, c’est le meilleur moyen de garder l’esprit calme et la folle du logis sous contrôle. Après trois longue heures, je vois un garçon d’environ 1m82 pour 80kg plutôt joli garçon ressemblant à Tom. Oui il marche dans la bonne direction. Je mets mes gant et le suis. Il se rend à la porte de Tom et l’ouvre. Je me glisse discrètement derrière lui et dit bonjour, il se tourne pour être intercepté par un coup de poing à la pointe de la mâchoire. Je le frappe très fort mais il est solide et ne fait que tombé sur un genoux. Je lui donne un deuxième coup sur la mâchoire et finalement les lumières s’éteignent. Beau travail, personne ne semble avoir remarqué.
Je le traîne à l’intérieur. Je le bâillonne à l’aide de la balle et du duct tape, je barre la porte. L’entrée donne sur un escalier permettant l’accès à l’étage et au sous-sol. Je le traîne dans le sous-sol, trouve une bonne chaise, utilisant des tie-raps à ses chevilles, genoux, poignets et coudes je l’immobilise. Je trouve une couverture la mets par-dessus lui, je tape celle-ci autour de ses épaules, plusieurs tours. Je regarde autour de la pièce et ferme les jalousies. Ok la première partie a bien été, jeton un coup d’œil aux alentours. Mon rythme cardiaque se calme un peu. Dans le sous-sol il y a une salle de lavage propre et bien entretenue. La salle de séjour est où j’ai attaché le gars, il y a aussi, une chambre de jeune homme propre et si vous me le demandez, trop propre.
Tout le matériel ordinaire système audio, ordinateur, télévision; maintenant fouillons la chambre. Premièrement je retourne le matelas, le lit lui même est une boîte, j’enlève les planches qui retiennent le matelas. J’y trouve une boîte de métal fermée à clef. Je continue à fouiller je ne trouve rien d’incriminant. Mais étrangement je trouve les clefs de quatre paires de menottes, pas les menottes de piètre qualité que l’on retrouve dans les surplus de matériel militaire mais des menottes de qualités. En dessous d’une pile de vêtements de la corde, des pinces alligators douze, et un fer à souder. Je cherche la clef pour la boîte de métal et ne la trouve pas. Je fouille sa poche droite du garçon, elle n’a pas de fond et donne accès directe à sa queue. Je me souvient des marques de brûlures sur le corps de son frère. Je lui empoigne le paquet et le serre brutalement. Il sursaute et
gémit sourdement. Je fouille l’autre poche, y trouve de l’argent et un trousseau de clef.
- Je sais ce qui TE fait jouir! Sois prêt à y goûter.
J’ouvre la boîte de métal et y trouve trois CD, un USB drive de 256mo et un calepin ½ plein. Il faudra que je le lise plus tard. Je monte à l’étage: cuisine, salle à dîner, salle de bain. Soudainement je fige au milieux d’un pas. J’entends du bruit venant de derrière une porte. Je pose mon oreille sur celle-ci, j’entends respiration et plainte à peine audible venant de l’intérieur. Un peu secoué, je pose la main sur la poignée, prends une grande respiration et ouvre la porte. À ma grande surprise je trouve un petit gars menotté sur le lit, complètement détrempé du milieu du thorax au genoux, bâillonné, les yeux écarquillé avec une expression de panique sur le visage. J’approche de lui rapidement et pose un oreiller sur son visage. Je prends la taie de son autre oreiller et lui dis.
- Hey petit, je ne veux pas te faire de mal ok, mais tu ne peux me voir, je vais te bander les yeux, ne panique pas.
Je mets la taie sous l’oreiller lui couvrant son visage et enveloppe sa tête avec. J’agis avec douceur pour ne pas l’effrayer.
- Je vais fixer ton bandeau et enlever ton bâillon, ok?
Le petit pleure bruyamment lorsque je lui enlève le bâillon. Il tremble comme une feuille bafouillant qu’il ne pouvait plus se retenir de ne pas le battre etc, etc... Sans répondre je cherche dans ma poche pour y repêcher les clefs de menottes pour le libérer. Il est totalement paniqué, je dois enlacer avec force son corps humide, lui parlant doucement pour le calmer. Je lui demande pourquoi il était menotté sur le lit. Il me dit qu’il devait apprendre à ne pas pisser à tout bout de champ.
- Ne le dis pas à Ernest s’il te plait, s’il l’apprend il va me donner un traitement et je déteste ça s’il te plait!
Il étouffe littéralement en me disant cela.
- Laisse le bandeau sur tes yeux, je vais t’aider à te laver et à changer ton lit mais laisse ton bandeau. Je ne veux pas que tu sache qui je suis, ok petit?
J’aide le petit à se laver et à se changer, ce n’est pas facile aveugle. Nous parlons en le mettant plus à l’aise. J’apprends que ses parents sont partis à la recherche de son frère Thomas et qu’Ernest son autre frère sera de retour bientôt. Qu’il faut que je parte avant qu’il revienne. Je lui dis ok.
- Seth reste dans ta chambre même si tu entends beaucoup de bruit ok, je vais revenir pour te dire quand tu pourras sortir de ta chambre ok? Travaille avec moi je suis ici pour aider fais toi en pas petit.
Avant de quitter la chambrer je mets un CD dans son boom box. Quittant le petit je suis vraiment excédé. J’arrête dans les escaliers pour prendre quelques grande respirations, que faire avec ce trou du cul. J’arrive dans le sous-sol, je vois mon prisonnier qui a la bougeotte sur sa chaise, voyant cela je fais du bruit dans l’escalier. Je m’assois près de lui, j’allume un cigare et souffle la fumée dans sa direction après quelques bouffées il fige complètement. Je mets quelques longueurs de tape autour de ses yeux, ce qui me permet d’enlever celui autour de ses épaules pour relever la couverture pour enlever la balle qui le bâillonne. Il sue abondamment même au point de baver, il reste silencieux même quand je lui souffle la fumée directement à la figure. Je fais tout ceci sans dire un seul mot. Prenant ma voix la plus rauque:
- As-tu un mot de passe pour les CD qui étaient sous ton lit?
Il ne répond pas à ma question, sans dire un mot je relève sa chemise et approche le cigare à 1cm de son mamelon droit, je le laisse là.
- Pour la dernière fois avant que tu perdes ce mamelon as-tu mis un mot de passe sur ces 3 CD?
- NON, ne le brûle pas nooon!
Il crie cela suant abondamment. Ce trou de cul n’a pas une once de courage. J’ai un profond dédain pour ce sac à merde. Rageant je lui donne un coup de pied en bas du genou. Je sais que je ne le brûlerai pas, je ne peux pas le faire. Je lui demande ce qui en est du calepin et du USB drive. Il me répond que le calepin contient des notes au sujet des élèves de sa classe e-mail mot de passe ou leur relation intime s’il en ont. Le USB drive donne complet accès à son ordinateur. Je vais dans sa chambre installe le drive et boot l’ordi, une très large quantité de porno de tout genre mais une large sélection de S&M, bounding et piercing. Je n’aime pas vraiment cela ça m’écœure. Je mets un des CD, je bondis littéralement hors de ma chaise, il y a de nombreuses photos de ce qu’il a fait à ses deux frères. Me faisant violence je reste silencieux. Dans le calepin je trouve le e-mail de son père et son mot de passe, je lui poste les 5 pires photos du lot, quatre sont de Tom, dont deux avec des plaies qui saignent. Je récupère les CD et le USB drive. Passant près du trou du cul je lui donne un coup de pied sur le côté de la tête. Je monte à la chambre de Seth. Il est tranquillement assis sur son lit attendant. Quand j’ouvre la porte il sursaute un peu et tourne dans ma direction.
- Ok petit c’est moi.
Il étend les bras dans ma direction, je m’assois sur le lit le serrant dans mes bras.
- Je vais partir bientôt ton frère Ernest est attaché dans le sous-sol.
Il a un air incrédule.
- Écoute ce que j’ai à te dire.
Il fait oui avec sa tête.
- Laisse le où il est, attends tes parents. Quand ils rentreront va vers eux, demande à ton père de vérifier son e-mail, d’ouvrir le message "TOUTE LA VÉRITÉ" et d’ouvrir la pièce attachée. Peux-tu faire cela?
- Oui mais...
- Pas de mais, si tu fais ce que je te demande tu n’auras plus jamais de traitement et
- Thomas va revenir, je te le promets.
- Je le ferai.
- Si tu donnes trop de détail à mon sujet, à tes parents ou aux policiers, je vais être arrêté et envoyé en prison. Dis seulement que tu n’as pas eu le temps de me voir ou que tu ne te souviens pas puis pleure, es-tu ok avec cela?
- Je ne te ferai jamais arrêter si Ernest arrête de nous faire mal.
- Reste tranquillement dans ta chambre je m’en vais maintenant.
Je l’embrasse sur le front, lui caresse les cheveux puis quitte sa chambre. Je descends dans le sous-sol ramasse tout mon matériel. J’arrête devant le trou du cul et lui dit:
- Sac à merde.
Je donne un coup de pied à sa jambe droite.
- Je m’en vais mais je garde un oeil sur toi, touche à un seul de tes frères et tu vas être désolé, crissement désolé. Si désolé que tu vas souhaiter être mort. En fait je suggère que tu décalisses d’ici le plus rapidement possible. Sais tu pourquoi? Parce que je te surveille trou de cul.
Je donne un coup de pied sur sa jambe gauche. Je quitte la maison rapidement et tranquillement. Regardant autour de moi j’enlève mes gants, il y a quelques personnes sur la rue mais je passe inaperçu. Bien je commence à relaxer. Je prends le métro et rentre à la maison souriant.
Cela a été un long samedi mais je me sens bien. Je ne sais pas si je vais sortir ce soir je vas voir comment Tom va se sentir. À la porte j’entends ma mère m’appeler:
- Où étais-tu?
- L’entraînement et avec des amis qui avaient besoin de mon aide. Regardant aux alentours: Où est Thomas?
- Nous sommes mieux de n’avoir pas de nouvelle de tes activités Réginald sinon tu deviens pensionnaire.
- Mom je t’ai déjà dit que les piercings et les cheveux teints n'ont pas l’air de plaire à ces institutions et que personne ne saurait changer cela.
Lui souriant de façon sardonique, la regardant sérieusement:
- J’ai été chez Thomas. Avant de crier regarde ces CDs.
- Je n’aimerai pas ça.
- Thomas ne peut pas voir ça, va dans le bureau de pap.
- C’est aussi terrible que cela?
- Pire que ce que tu peux imaginer.
Elle quitte la cuisine emportant les trois CD avec elle. Après quelques minutes Thomas entre avec père.
- Bonjour pap, bonjour Tom comment cela va?
- Tu t’entraîne le samedi? demande mon père.
- Oui demande à mom.
- Tu t’entraînes pour aussi longtemps que cela? Il est 19h.
- Oui, veux-tu regarder la tv dans ma chambre?
- Oui si tu veux, répond-il hésitant.
Nous entrons dans ma chambre, il s’assoit sur mon lit et je m’assois sur le hamac. Je lui dis de ne pas paniquer:
- J’ai été chez toi cet après-midi.
Il a un air de quasi désespérance sur son visage.
- J’ai vue Seth il était bien et content de me parler.
- As-tu vue Ernest?
- Oui nous avons eu une bonne conversation. Quand je l’ai vu la première chose que je lui ai dite c’est bonjour. Quand je suis parti il m'a assuré qu’il avait intention de déménager le plus tôt possible.
- Il a dit ça?
- Quand il me l’a dit il semblait extrêmement sérieux à ce sujet.
Il pleure un peu essayant de croire ce que je lui ai dit, je pense. Je lui dis: "Prends vidéo ou DVD, n’importe quoi." Ma mère m’appelle du premier plancher.
- Il faut appeler la police c’est horrible.
- Si t’appelles les cochons...
- La police! interrompit-elle.
- Si tu veux les appeler, nous ne pouvons donner aucune explication sur comment nous avons obtenu ces CDs, au mieux ils ne pourront pas les utiliser en cours au pire je vais être arrêté.
- Qu’est-ce que tu as fait à ce... garçon?
- Rien, j’avais peur que si je commençais à le frapper sérieusement, je ne serais pas capable de m’arrêter.
- C’est bien.
Elle prit ma tête sur sa poitrine et la berça doucement.
Amène tes frères avec toi pour regarder la tv dans ta chambre ils ont demandé après toi.
Ils s’ennuient du gaffeur. Nous allons voir comment régler la situation demain.
- Oui mon commandant.
- Ferme ta trappe punk, dit-elle me souriant.
J’appelle Mike et Andrews, Mike a 13 ans et Andrews 11 ans. Je les amène dans la chambre avec nous, nous décidons de regarder Le seigneur des Anneaux le premier et deuxième film. Andrews sur le lit avec Tom et Mike avec moi. Nous parlons de tout et de rien relaxant vraiment. Après les films les petits partent se coucher nous laissant seul.
- Tom écoute tranquillement je vais tout te dire, tu es d’accord?
- Pas de trouble.
- Comme je t’ai dit j’ai été chez toi cet après-midi, savais-tu qu’Ernest abusait ton petit frère aussi?
- Non le bâtard il n’a pas...
- Oui il l’a fait pas aussi brutalement que pour toi mais il l’a fait. J’ai pris les CDs avec les photos qu’il a prises de toi et de ton frère. Je les ai utilisées contre lui, tu n’as pas de problèmes avec cela?
- Non, mais qu’a-t-il fait à mon frère?
- Demande le lui, ce qui est important c’est quand tu retourneras à la maison tu devras parler aux cochons, ton histoire devra tenir la route, es-tu d’accord avec moi?
Une histoire simple et sans complication, tu as passé ton temps près de Ste. Catherine et St. Laurent. Tu t’es lavé dans les piscines publiques, mangé au refuge pour jeune de Pop. Nous avons pratiqué les détails de l’histoire environ deux heures, il devint incollable avec cette histoire. Assis côte à côte sur mon lit ma main effleura à quelques reprise sa cuisse. Prenant sur moi-même je m’assis un peu plus loin de lui gardant mes mains pour moi. Il est vraiment joli. À 2h35 je l’envoie dans la salle de bain pendant que je fais une razzia dans la cuisine. De retour dans la chambre je mange ma collation en l’attendant. Nous échangions nos places, avant d’entrer dans la salle de bain je lui pointe le plateau de service avec sa collation. Je me douche et me masturbe en pensant à lui. J’ajuste mon réveil pour 8h00, peu de sommeil cette fin de semaine. Je tombe comme une roche dans mon hamac. Quel est cet horrible son? Yerk! C’est déjà l’heure. Lève-toi ferme l’alarme, descends, le spectacle doit continuer.
- Bonjour pap, mom, voulez-vous me parler avant que les autres se lèvent?
- Ce que ton père et moi avons vu hier soir est criminel nous devons le rapporter à la police.
- J’ai envoyé des photos par e-mail au père de Tom, de la maison et du compte local.
Aucun danger d’être repéré. Je regarde mon père: J’ai pris note du temps exact et de la date, ils ont à signaler l’offense criminelle, pap tu devrais demander à ton copain de te donner une copie du log et du e-mail.
- Je vais le faire mais à propos de Thomas?
- Je vais téléphoner chez Tom d’une boite téléphonique cet après-midi à partir de cela nous aviserons.
Plus tard mes frères et Tom descendent en parlant et souriant, cela m’apporte du réconfort. Je prends un café pendant que le reste de la famille bavarde comme une bonne unité familiale. Après le déjeûner je suis Mike pour coller du plastique. Le petit aime cela et il aime le faire avec moi. Tom tourne autour de nous et finalement s’assoit et nous aide. Nous passons du bon temps ensemble. À midi après avoir fini de manger je prends Tom à part:
- Viens avec moi nous allons téléphoner chez toi d’une boîte téléphonique.
- Es-tu certain? Me regardant nerveusement.
- Si Ernest répond, raccroche tu n’as pas à lui parler, ok?
- Si on doit le faire, allons-y, dit-il tristement.
Quelques minutes de marche jusqu’à la cabine téléphonique. Je mets une pièce et Tom signale le numéro. Il attend suant un peu, je le vois retenir son souffle, quand il commence à parler je suis convaincu qu’il parle à Seth, il me tourne le dos. Il pleure c’est certain, il parle à d’autres personnes, au moins 3 personnes. Regardant ma montre je coupe la communication après 3 minutes. Il me regarde choqué.
- Pourquoi?
- Je ne veux pas être arrêté, comprends-tu cela?
- Ils veulent que je retourne à la maison, ils savent qu’il y a eu une intervention, mais il ne connaissent pas Red le punk, dit-il me souriant.
- Premièrement décollons d’ici, on se rend chez moi et on prend tes affaires. On se rend au métro et je te laisse là mon ami, dis-je en soupirant.
Nous nous rendons à la maison mes parents et mes frères embrassent Tom et lui souhaitent bonne chance. Nous prenons l’autobus et le métro pendant le voyage je le regarde pour imprimer dans ma mémoire sa beauté. On arrive à sa station, je l’accompagne à l’arrêt d’autobus lui souhaite bonne chance et le quitte. Je marche hors de vue et hèle un taxi donnant l’adresse de Tom. Je vais m’asseoir dans le parc près de sa maison. J’attends une heure avant de le voir marcher vers sa maison. Je vois son père ouvrir la porte la réaction de Tom le confirme, Seth et une femme les rejoignent. Un travail bien fait et pas de cochons. Opps! Je m’apprête à me lever quand un homme sort de la maison se dirige vers une voiture où il y a 2 autres hommes et leur parle. Il est temps que je quitte. Je me lève, l’homme près de la voiture se met à me suivre.
- Hey! Toi attend!
- Qu’est-ce que tu veux?
- As-tu vu?
- Pourquoi je devrais te répondre je ne te connais pas. Tu pourrais être un criss de pervers.
- Je suis le sergent détective Dubuc. Il ouvre un porte carte et me montre son insigne. As-tu vu un homme de 1m87 à 1m92 punk comme toi?
- Non.
- Fumes-tu?
- Non.
- As-tu tes papiers?
- Non.
- Nom et adresse?
- Pierre Valmont, 1342 des Érables, je peux partir maintenant?
- Oui, si tu te souviens de quelque chose prends ma carte.
Je pars rapidement car s’il vérifie il n’y a rien de vrai dans ce que je lui ai dit. Finalement j’arrive à la maison sans problème. Arrivé à la maison ma mère me sermonne sur les problèmes que j’aurais pu nous causer. Les parents sont étranges quelques fois, ils ne peuvent envisager le fait que je sois parfaitement au courant que je puisse être arrêté et traduit en cours de justice et que j’ai agi de toute façon. Il est étrange que des personnes intelligentes tombent dans de telles structures mentales. Pour le reste de la journée je joue avec mes petits et écoute des vieux Bauhaus. Mes parents détestent mais j’aime.
Lundi matin l’alarme de mon réveil m’appelle et je suis seul et c’est de ma faute. Allons à l’école. Je laisse mes frères à leur école et continue vers la mienne. Comme d’habitude je grogne et j’aboie pour ouvrir le chemin devant moi. La plupart des professeurs m’aiment bien, j’ai de bons résultats les classes ne sont pas un problème pour moi. La journée fut tranquille. De retour à la maison ma mère m’attend avec ma collation. Je lui souris et entre dans ma chambre pour faire mes travaux. À 17h35, mère m’appelle.
- Reginald téléphone.
- Red à l’appareil.
- Bonjour je t’appelle pour te donner des nouvelles c’est tout bon. Je t'appelle d’un restaurent. Ernest a été sorti de la maison, il est dans un institution pour délinquant juvénile. Il cherche pour un homme vraiment grand que Ernest leur a décrit. Tu es en sécurité.
- Merci Tom heureux d’apprendre que tout va bien pour vous tous, lui dis-je souriant à moi même.
- Non merci à toi Red si tu ne t’en étais pas mêlé j’aurais fini par me tuer. J’étais vraiment dépressif. Merci, merci infiniment, tu as sauvé nos vies à Seth et moi. Bientôt ce sera sécuritaire de venir nous voir si tu es d’accord.
- Ok, appelle moi et nous pourrons figurer quelque chose.
Je combattais un nœud dans ma gorge et les larmes qui perlent à mes yeux.
- Je t’appellerai le plus tôt possible, bye Red.
Cela me prit plusieurs minutes de respiration profonde pour harnacher mes émotions. Je me rends à la cuisine souriant et heureux pour Tom. Dans la cuisine je renifle un peu partout pour savoir ce qui cuit. Ce n’est pas prêt donc ma mère m’indique la porte. Je retrouve Mike et Andrews pour les aider avec leur travail scolaire. Après le souper je regarde la tv avec eux, les tenant près de moi.
Arrivé dans mon lit je me sens très seul, je dois me concentrer sur les principes de base, le désir est douleur où il n’y a pas de désir il n’y a pas de douleur, la plupart des désirs sont égoïstes, il faut se concentrer sur le soi sans artifice. Ne pas laisser les désirs transitoires avoir prise sur l’âme. Ok les émotions doucement s’aplanissent. Je dors comme une bûche.
La semaine se passe très bien. À la fin de la semaine Sophie m’appelle pour me demander si je peux aller au Fouf vendredi. Je lui demande à quelle heure. Elle me dit environ 20h c’est bon, il va y avoir des skinheads de Toronto qui vont descendre à Montréal pour cogner des punks. Je sais quelle va sortir sa compagne et qu'elle veut que je les protèges des têtes de gland. Je lui dis pas de problème et je sais qu'elle va payer mes drinks. Pour ces soirées je porte mon jock strap, les protecteurs d’avant-bras et les protecteurs de tibia. Porter un jock strap avec la coquille est inconfortable chaud et irritant. Vaut mieux être inconfortable que se rouler par terre hors de combat. J’entre au Fouf et vois Sergio.
- Bonjour Sergio comment ça va?
- Bonjour Red, bien à date.
- Sais-tu que les têtes de gland de Toronto viennent en ville pour cogner du punk et tout ce qui n’est pas blanc?
- Tu viens de faire ma fin de semaine.
Il sourit de façon féroce en frottant ses poings.
- Si jamais il y a des problèmes, je me ferai plaisir de t’aider...