Un coup de main

Si vous n’avez pas 18 ans ou l’age légal dans le pays d’ou vous vivez veillez quitter maintenant. Ces histoires sont au sujet de garçon ou de garçons gay, si cela n’est pas de votre goût quitter maintenant. Toute ressemblance avec des personnes ou organisations existantes est purement accidentelle car ceci est une œuvre de pure fiction.Commentaire Jarvis_de_Var2001@yahoo.ca

Jarvis de Var

Correctrice Cat

-Meat weare; pour les amateur d’informatique, haker ou ripper, c’est le corps souvent il ne s’en préoccupe peu ou pas simple support pour l’intellect.
-Roiste, adj, année 1160, origine obscure, signifie rude ou raide.
-Yokomen, coupe a 45 deg, du cou vers la hanche.
-Do, une coupe a 90 deg d’une hanche vers l’autre, a la hauteur de l’abdomen.

Un coup de main? Chapitre XIII

Nous passons toutes les fin de semaine chez Tom avec son père car sa mère est partie avec Seth et mes parents camper. Après deux semaines d’entraînement intensif, les résultats sont très visible chez Tom. ses abdos et ses pectoraux sont plus définis. Ses coups sont sec et pénétrant. Il commence à contrôler ses armes secondaires pour ce qui est du katana il évolue bien. Il faut dire que nous, nous entraînons de trente deux à quarante heures par semaine. A la fin de la deuxième semaine je recommence a faire des travaux scolaire pour la rentré. Au début de la troisième semaine Ray semble m’attendre près de l’entrée.

-Ray « Bonjour M. Devar. »
-Red « Bonjour M. Blanc comment allez-vous? »
-Ray « Bien, très bien même. J’ai remarqué que vous êtes particulièrement en forme et M. Neuville aussi si je me trompe. »
-Red « Oui vous avez raison, cela cause-il un problème? »
-Ray « Non, en soit non. Quand vous faites les échauffements tenez-vous compte que vos élèves, pour la grande majorité d’entre eux ne s’entraînent que douze heures semaine et encore. »
-Red « Oups! Désolé Seinsei j’en tiens compte immédiatement. Merci. » Je le salut et entre dans le vestiaire pour me changer.
-Tom me regarde. « Que te voulait M. Blanc ? »
-Red « Que mes échauffements soient moins intense. » Je lui souris. « J’ai poussé un peu loin, ils n’ont pas le même entraînement que nous. » Je lui souris de nouveau.

Nous avons fait un très bon cours. Puis nous mangeons. En entrant à la maison, je demande à Tom s’il veut que nous communiquions à Axe après notre entraînement au arme et combat. Ce n’est pas un grand enthousiasme, mais il accepte de bonne grâce. J’envoie un e-mail à Axe, lui demandant de le rencontrer en personne. Nous passons une bonne soirée après nous être massé l’un l’autre. Le lendemain à l’heure du souper on sonne à la porte. J’ouvre et aperçois Sam et Axe à la porte.

-Red « Bonsoir heureux de vous voir. Entrez. »
-Sam « Wow, je ne m’attendait pas à ce que tu sois si musclé! » Je suis torse nu.
-Axe « Yep un meat ware impressionnant. »
-Red « Entrez. Tom est dans la cuisine. »

Tom est devant la cuisinière à faire rissolé des steaks.

-Tom « Bonsoir. » Il s’avance vers Sam pour lui faire un baise main. « C’est toujours un plaisir de vous voir. »
-Axe « Pourquoi voulez-vous nous parler ? Les États Unis ! »
-Red « Oui. Nous, nous entraînons sérieusement pour la compétition full contact free style et pour une démonstration de coupe. Ce faisant, nous aurons l’occasion peut-être de vérifier les activités de ce trou du cul de Lamont. »
-Axe « Ok ! Nous aurons besoin de matériel plus high tech cette fois ci. A quel date se tiens cette foire des arts martiaux ? »
-Red « Du vendredi 8 septembre au dimanche le 10 septembre inclusivement.»
-Axe « À Burlington? »
-Red « Yep. »
-Axe « Les gars avez-vous vos passeports? »
-Tom « Non. »
-Red « Moi non plus. »
-Axe « Je vais m’en occuper. »
-Sam s’assoyant. « Comment allez-vous, vous y prendre pour coincer Lamont? »

Tom me regarde inquiet.

-Red « Si c’est comme d’habitude dans les compétitions, il y aura une sorte de réception pour les gagnants et les participants qui aurons fait impression dans les démonstrations. Les organisateurs et les personnages locaux ayant de l’influence y participent. » Je les regarde un à un. « Si nous sommes chanceux Lamont y participera. Vous nous avez informé dans le rapport sur Lamont qu’il était paranoïaque, de faire pression sur lui de quelque façon que ce soit me semble contre indiqué. »
-Axe « D’accord. Mais vu les frais engager ça me parais hasardeux. »
-Red « Oui mais pour le reste il faudra mettre Sam à contribution! »

Elle me regarde interloqué.

-Sam « Comment Red ? »
-Red « C’est d’identifié rapidement les garçons les plus jeunes et les plus jolis qui participerons à la compétition ou aux démonstrations. Axe, dans tes infos as tu quelque chose de plus précis sur le type de garçons qui le font bavé?
-Axe « Pas encore. »
-Red « Il vas falloir le savoir. Et une fois identifié, les soumettre à une observation sans faille, c’est leur sécurité que nous aurons en main.»
-Axe « Je vais me renseigner, une info qui n’est pas évidente à trouver. Je vais tout de même tenté ma chance.»
-Tom « Axe tu as l’adresse de son bureau, as-tu trouvé son adresse personnel? »
-Axe « J’y travail. Dès que je le trouve, vous le saurez. »
-Red « Lamont ! C’est quel genre de pédo? Le pédo classique. Séducteur qui aime un enfant puis passe à un autre quand il devient trop âgé ou le pédo contrôlant travaillant au chantage affectif et autre ou bien encore le pédo agressif sado-anal qui transforme l’enfant en objet ? »
-Axe « Je ne sais pas. Mais un de mes contacts, vas me donner des copies de rapport d’enquêtes, avorté faute de preuves ou régler hors cours. Ça pourra nous éclairés.»
-Tom « C’est rassurant, nous regardons la largeur du trou avant de sauté. » Il me souris en disant cela.

Nous continuons à débattre pendant près de deux heures, puis convenons de nous rencontré le vendredi suivant. Nous les raccompagnons à la porte et les saluons. La construction de notre loft est achevé, les peintres devraient avoir fini leur travail aujourd’hui. Nous utilisons la passerelle à l’étage qui relie notre loft à la maison. La serrure de la porte est biométrique, elle identifie l’empreinte du pouce, je vais y inclure les empreintes des parents sauf que j’y programmerai une alarme et un délais. On n’est jamais trop prudent. Nous entrons pour sentir l’atmosphère de la pièce, les divisions psychologique sont installées, les couleurs dominantes sont le vert pomme et blanc avec des accents noir.

-Red « Qu’en penses-tu? »
-Tom « C’est vivant, je crois que nous allons être confortables ici, de toute façon, je suis toujours bien avec toi. Mauvais garçon. » Il me prend par la taille.
-Red « Accompagne moi, on va se choisir un lit et les accessoires. »
-Tom, embrassant ma joue. « Oui, nous choisirons un lit. Mais je veux une literie noire et argent. Quand je vais t’y voir j’aurai toujours le goût de te déballer. » Il me taquine en me serrant la taille.

Nous arrivons au centre commercial, assez rapidement nous fixons notre choix sur un lit de très grande dimension qui est laqué rouge très foncé, c’est plutôt cher mais ça nous plais. Nous demandons la livraison pour le lundi suivant. Tom choisi la literie. Je suis très heureux de son choix, la texture du tissu est soyeuse et fraîche sous les doigts. Je lui souris en lui caressant la joue. La vendeuse une jeune femme d’environ 22 à 25 ans.

-Vendeuse « Messieurs, allez-vous habiter ensemble ? » Elle nous sourit aimablement.
-Tom « Oui, mon ami et moi avons un loft tout neuf, juste à côté de la maison de ses parents. »
-Vendeuse « Vous êtes chanceux à votre age, d’être déjà acceptés et soutenus. Félicitation. » Elle nous serre la main en nous saluant.

En sortant, Tom irradie de bonheur et me prend la main, même les regards et les murmures n’altèrent pas son humeur. Que voulez-vous, on n’a plus les punks que l’on n’avaient, sa joie me transporte. Mais je garde mon dos roiste pour maintenir une apparence de stoïcisme. Tom ne s’y méprend pas et s’appuis sur moi quand nous, nous assoyons dans l’autobus. A cette heure il n’y a pas trop de monde, la majorité des passagers évitent de regarder dans notre direction. Un homme dans la quarantaine nous regarde avec un demi sourire et une femme dans la trentaine plutôt jolie, nous regarde avec un dédain et une révulsion quasi palpable. Évitant que Tom ne me voit, je lui fait un doigt d’honneur en souriant. La journée du Samedi, nous la consacrons à préparé, avec l’aide d’Alain, la maison pour le retour de Florence et de Seth.

Le dimanche après-midi nous sommes tout les trois à la cuisine prenant un café, quand Seth fait irruption dans la maison, Florence et mes parents suivent de près. Nous, nous enlaçons et prenons de nos nouvelles. Nos mères et surtout la mère de Tom remarquent tout de suite les effets de notre entraînement intensif. C’est vrai que Tom remplis joliment son t-shirt. Je le regarde, pendant que les autres parlent, il ne sera pas vraiment poilu, c’est loin de me déplaire. Je pense déjà à me faire émancipé l’année prochaine. Je pense que ma mère sera moins perturbé que mon père quand je vais leur en parlé.

-Mère « La terre à Réginald. »
-Red « Oui ? »
-Mère « Le restaurent, cela t’intéresse ? »
-Red, je regarde Tom. « Qu’en pense-tu ? »
-Tom , me souriant. « Garde ta volonté. »
-Red « Ok, fait pas le comique. » Je lui pince le côté. « Quartier Chinois, quelque chose de bon. »

Grâce à mes deux petits, le quartier Chinois l’emporte par une voie. Nous prenons les voitures puis nous, nous rendons coin St. Laurent et René Lévesque. Après quelques minutes nous choisissons un restaurent offrant un buffet. Je propose à Tom de choisir à la carte et de ne pas prendre le buffet.

-Tom « Pourquoi ? »
-Red « Le buffet est fait pour correspondre au goût du québécois moyen, la vrais cuisine chinoise tu l’as trouve à la carte. »
-Père « Oui. Des choses appétissante comme du canard qui a été séché au soleil. Comme c’est appétissant humm ! » Le tout dit avec une moue dédaigneuse.
-Tom « Je ne le savais pas. Red, je peux goûter dans ton assiette ? »

Quand nous, nous assoyions mes petits sont quasiment assis sur moi. Mais ce qui est surprenant c’est que Seth est collé du genoux à l’épaule à son frère. Je ne l’ai jamais vu si affectueux. Ils ont l’air très heureux tout les deux. Ma mère passe derrière moi et me glisse à l’oreille.

-Mère « La nouvelle attitude de Seth, c’est ton travail. » Elle m’embrasse dans le cou.
-Tom « Red, tu viens à la maison avec nous ? »
-Seth « Oui viens, s’il te plais ! »
-Red, je regarde Tom qui m’envoie un sourire en coin. « Ok les gars. Mais j’amène mes petits avec moi. »
-Mère « Réginald tu pourrais demandé à tes parents avant de t’engager? »
-Red prenant un air penaud fort peu crédible. « Mom, Pap est ce que je peux kidnapper mes frères pour ce soir? »
-Père « Nous vous verrons demain soir ? »
-Red « Oui, vous m’avez manqués aussi. »

Nous, nous rendons chez Tom pour y squatter le sous-sol. Nous installons des sacs de couchage au sol, nous faisons un grand dortoir ou les lits sont très collés. Seth et mes petits nous racontent leur vacances. Nous apprenons par Drew que Seth et Mike ont eu des petites copines américaines durant leur vacances. Drew eut droit a une attaque concerté après nous avoir dit qu’il les avaient vu se faire de profond French kiss. Nous les taquinons pondant quelques minutes, puis doucement la fatigue les emportent. Seth semble avoir perdu beaucoup de sa retenue, il se couche entre mes deux frères, les enlaçant sur lui, Tom et moi les regardons attendris. Nous, nous embrassons pendant de longues minutes, bras et jambes entre mêlés nous endormons face à face.

Le lundi matin nous sommes réveillés par les trois compères qui sautent sur nous. Après quelques minutes ils nous disent que le déjeuner est prêt, Florence et Alain nous attendent, nous déjeunons et parlons joyeusement. Le récit de leur vacances et annoté par Florence qui nous parle de Carole la copine de Seth et de Kim la copine de Mike. C’est Florence qui nous apprend que Kim est d’origine Coréenne et parle coréen, anglais, français et japonais. Que Mike s’était vanté de son grand frère samouraï et qu’elle avait demandé confirmation auprès de ma mère. Je regarde Mike en fronçant les sourcils. Mike fait des efforts émérite pour changer de sujet de conversation. Vers midi, Alain nous reconduit chez moi, nous l’invitons à voir le loft. Nous y entrons tout les huit, nos parents aiment beaucoup l’aménagement intérieur. Ils nous demandent ce que sont les paquets dans le loft.

-Red « C’est la literie qui a été choisi par Tom. » Je le regarde en souriant. « Le choix est d’un goût parfait. » J’ouvre les sacs pour leur montrer.
-Mère « Noir pour une literie c’est bien une idée de gars. »
-Père « Je suis très heureux que nos fils ai des goûts de gars. » Il regarde ma mère avec un sourire narquois.
-Mère « Thomas, Reginald, pensez y les couleurs foncés laissent voir la moindre poussière et je ne crois pas que vous soyez très fort sur l’époussetage. »
-Red « Si j’ai besoin d’une personne pour faire le ménage j’en engagerais une. » Je lève mon pouce en direction de mon père.
-Tom « Ouf ! je suis heureux d’évité la corvée d’époussetage. »

En réintégrant la maison nous voyons le camion de livraison près de l’allé du garage. Les livreurs montent les boites et les matelas dans le loft. Je leur offre un pourboire et un rafraîchissement. Ils acceptent l’argent mais refusent le verre. Tous nous revenons au loft pour assembler le meuble et installer la literie.

-Mère « Les gars, je doit avouer que c’est très beau. »
-Alain « Il ne faudra pas montrer ça à ta mère, elle vas trouver que les nôtres doivent être changé. » Dit-il. En nous souriant.
-Mère « Oui , ce n’est pas funéraire comme je le craignais. »
-Alain « Désolé les gars, je doit retourné à la maison. Tom n’oublie pas que ta mère ne ta pas vu depuis trois semaines. »

Nous, nous entraînons dans la cour. Dès que nous commençons l’entraînement aux armes, nos petits sont exilés dans la maison à leur grand dam. Ils ont tous les deux le nez collé aux fenêtres. Nous, nous entraînons aux armes secondaire, insistant sur le tambo servant de base pour le combat à l’aide d’un cobra. Nous poursuivons avec les bokens pour une demi heure, puis allons chercher nos katana. C’est nouveau pour Tom, l’entraînement avec armes réelles. Il arrête ses coups avant de m’atteindre. J’examine sa façon de porté ces coups, il n’y a pas grand risque car il ne retire pas sa lame, pour trancher, quand il frappe. Il me donne un coup en do, c’est à dire latéral au niveau de la taille. J’avance sur le coup sans me protégé. L’impact est assez violent.

-Tom « Fuck Red j’voulais pas te touché. » Il s’avance vers moi en lâchant son sabre, l’air désolé et paniqué.
-Red, je grimace légèrement. « TOM, ton arme. »
-Tom, il me regarde incertain, puis se penche pour ramasser son arme. « Je m’excuse. » Une larme coule sur sa joue.
-Red « Ce n’est pas de ta faute, je me suis avancé sur ton coup volontairement. » Il me regarde visiblement surpris. « Tu n’essayais pas de me frapper, donc je ne pouvais pas parer de façon réaliste. Frappe moi, nous devons être vraiment au point, ne fait pas semblant, si non j’irai cherché les coups. »

Je m’aperçois que Tom regarde derrière moi. Le commandant est la me fixant.

-Mère « Tom, ne t’en fait pas, la folie ne porte pas toujours à tuer. » Elle s’approche de moi puis regarde sous mon t-shirt. « Tu as touché la pointe de l’os iliaque, le maso en sera quitte pour un bleu. »
-Red, légèrement excédé. « Mom, ça fait partie de l’entraînement. »
-Mère « Tu aurais pu parlé, au lieux d’attraper l’épée avec tes dents. »
-Red « Je suis certain que Tom n’épargnera plus ses efforts pour me toucher. » Je souris à Tom qui semble me bouder un peu.
-Tom « Aujourd’hui t’es un très méchant garçon. Vraiment pas gentil avec moi.»
-Red « Tom. Quand nous, nous entraînons il n’existe que la beauté du mouvement et la danse avec la mort. » Je souris songeur, est-elle ce que je pense qu’elle est. « En combat réel si elle t’embrasse tu n’as pas de seconde chance, dans cette vie ci. Si tu m’aime tu dois essayer de me toucher avec toute l’adresse que tu as. Je n’ai pas l’intention de mourir mais je ne crains pas de partir car je suis ma route quel que soit sa longueur. »
-Mère « RÉGINALD, veux tu arrêter ton délire mystique, tais-toi tu fais peur à Thomas. »
-Tom « C’est ok mom. Je le comprend, il a raison. » Sans me regarder il me serre dans ses bras, son arme à la main.
-Red « Tom mon ami, remet ton arme au fourreau avant de m’enlacé. » Je regarde ma mère. « Commandant si vous permettez, nous devons reprendre notre entraînement. »
-Mère « Réginald tu n’es pas né à la bonne époque. Tu aurais été plus heureux au moyen âge. » Elle soupire et entre dans la maison, en ramenant Mike à l’intérieur au passage.
-Red « Tom, ne t’en fait pas, quand tu as ton katana dans les mains, ce n’est pas ton amant qui te parle, c’est ton entraîneur. » Je lui souris. « Et ton entraîneur c’est un chien. »
-Tom « Quand le chien partira, averti moi. » Il me sourit en se remettant en garde.

Nous avons un bon entraînement, je touche Tom avec force quatre fois. A chaque fois je réussi à frapper à plat d’arme. Je ne le blesse pas sérieusement mais je lui fait des bleus. Après la deuxième touche il devient beaucoup plus féroce dans ces attaques et j’ai à paré de façon rapide et précise pour ne pas être touché. Nous terminons notre entraînement. Tom a besoin de quelques minutes afin de retrouver son calme.

-Tom « Red dit moi que le chien est parti, parce que je vais lui botter le cul. » Il me regarde presque furieux.
-Red « Oui il est parti, mais lui aussi t’aime à sa façon. »
-Tom « Mauvais garçon tu me parlera de lui plus tard, j’ai besoin de toute ton attention pour l’instant. J’ai besoin de toi, de ton amour, de ta confiance, de ton amour de la vie. » Il m’embrasse en me caressant le dos.

Nous entrons à la maison, les petits sont avec nous pendant que nous, nous massons. Ils voient sur le corps de Tom les contusions donc deux d’un bleu très foncé. Mike et Drew me demandent si je suis fâché contre Tom ? Je répond que non et que d’apprendre de façon traditionnel peut être douloureux. Que d’apprendre avec certaine conséquences nous apprend le contrôle. Pour nous masser, nous sommes obligé de garder nos boxers, se qui rend le tout moins agréable pour moi mais les petits sont heureux d’être avec nous et Tom ronronne pendant que je le masse, c’est assez pour moi. Nous regardons un film avec les petits quand ils partent se coucher, je regarde Tom en souriant.

-Red, je lui prend la main. « Viens avec moi Tom. » Nous marchons sur la passerelle, arrivé devant la porte j’arrête ouvre la porte puis embrasse Tom. « Tom, bienvenu chez toi, chez nous, c’est notre espace. Ici nous avons le droit d’être ce que nous voulons ensemble ou seul, au choix. » Je le regarde droit dans les yeux.
-Tom « Red, mauvais garçon tu n’y échappera pas nous allons faire des choses ensemble. » Il souris en mettant la main dans mon pantalon se saisissant de mon pénis.
-Red souriant. « Punky je vais te dévoré tout cru, prépare toi à un assaut majeur. » Je l’enlace quasi violemment. « Tu vas subir les dernier outrages. »
-Tom « Des promesses toujours des promesses et on ne voie rien venir. »

Je le prends dans mes bras ferme la porte avec mon pied et le laisse tomber sur le lit. Je me jette sur Tom, je lui lèche le visage. Tom me mord le cou et m’arrache mon pantalon et boxer. Je ne l’ai jamais vu si déchaîné. Je le laisse me prendre, il me dénude et m’enveloppe dans notre drap. Il enlève tout ses vêtements avec une urgence touchante. Ses caresses sont presque douloureuse, il pleure en me caressant.

-Tom « Red, je te défends de mourir avant moi. Tu m’entend tu ne meures pas. » Il m’embrasse profondément.
-Red « Mon ami, mon cœur je n’ai pas l’intention de mourir. » Je lui souris. « Le combattant sais que la mort peut sanctionner toute erreur. » Je le serre sur moi, je n’ai même plus d’érection. « La mort ne peut m’arrêter de t’aimer, certaine âmes voyagent ensemble d’une incarnation à l’autre. Si je pars avant toi je t’attendrai.»
-Tom « Je ne retiendrais plus mes coups. Pour que … ton ombre puisse protégé les faibles. » Il me serre en continuant à pleurer doucement.

Pour changer son humeur je le détache de moi puis ramène de notre chambre mon système audio et quelques CD. J’installe la machine et je met ‘’Red Hot Chili Peppers’’ et débute par ‘’Suck My Kiss’’. Je m’étends près de lui et doucement je le sens se détendre. Mes mains parcoure son corps, je lui mords la mâchoire, puis joue avec les anneaux qui décore son oreille.

-Red « Ça vas mieux mon beau Punky ? »
-Tom « Sérieux Red, si tu pars, tu m’amène avec toi. »
-Red « Si un de nous deux part, mon cœur, l’autre doit continué à vivre pour honorer la mémoire de l’autre. Pour continuer la lutte contre. Je vais sembler désuet. Le mal. »
-Tom parlant dans le creux de mon cou. « Red tu es là et je tremble à l’idée de ne plus te sentir. Quand tu n’es pas là, je sais que je peux t’appeler, je peux te rejoindre. Si quelqu’un me traite d’ostis de fif. J’ai seulement à pensé à toi et c’est sans importance.»
-Red « Si tu veux je vais me retirer de ce sentier. »
-Tom « Non, je m’en voudrais d’être la cause de plus de souffrance. Tu travail et tu dois l’avouer, t’amuse, à contrecarré les abuseurs. Ça t’excite mais prend tes précautions tu n’es plus seul. Je dépends de toi, je suis plus fragile que tu pense. »
-Red « Veux-tu que l’on fasse l’amour mon beau Thomas ? »

Pour toute réponse, il m’ambrasse et ramène ses jambes sur son thorax s’offrant à moi. Je le pénètre avec douceur. Je cherche la position pour donner la friction maximale à sa prostate. J’essaie d’optimiser sa jouissance. Je scrute son visage pour y reconnaître les prémices de la jouissance avant d’accélérer la cadence et la profondeur de mes coups de reins. Quand il commence à grimacer, je laisse aller tout contrôle et le pistonne avec violence. Nous jouissons intensément, je sens les ongles de Tom entamer la peau de mon cou et de mes épaules. Je l’embrasse et le tire du lit.

-Red « Viens Punky, c’est l’inauguration de notre douche. »
-Tom « Transporte moi, je veux être chouchouté par toi ce soir. S’il te plaît. »

Je le transporte dans la douche et le dépose par terre. J’ajuste la température de l’eau puis démarre les jets. Je m’assieds et le prends entre mes jambe pour le laver et le caresser. Il tourne la tête pour m’embrasser. Après une vingtaine de minutes sous les jets d’eau, je les ferme et allume les lampes infrarouge, pour nous sécher. Quand je le ramène dans notre lit, il est à demi conscient. Il s’accroche à moi, dieux qu’il est mignon, il devra apprendre à connaître sa valeur et sa force. Mentalement il est plus fort que moi je le sais. Je semble plus fort mais c’est seulement la discipline, ce n’est pas le premier mouvement de mon âme. Je suis violent, pas lui. Il enlace mon thorax puis je m’endors baignant dans la chaleur de mon amant. La sonnerie de la porte nous réveil. Quand j’ouvre les yeux je vois Tom enveloppé d’une couverture qui se dirige vers la porte. Quand il ouvre j’entends les petits parler et entrer. Ils nous apportent le déjeuner.

-Tom « Red, nos petits nous apportent le déjeuner. »
-Red « Bonjour Mike, Drew venez, assoyiez-vous sur le lit. Tom veux-tu me passer mon boxer. Merci. »
-Tom « Je vais m’habiller dans la salle de bain. »
-Red « Ne traîne pas trop, sinon nous aurons du lavage. » J’ai un sourire moqueur en lui disant cela.
-Tom « Si c’est vraiment urgent, tu peux entrer avec moi ! »
-Mike « Red, quand vas-tu aller chercher tes meubles ? »
-Red « Nous allons voir. Peu être aujourd'hui. »
-Drew « Si vous y allé aujourd’hui, on peu vous accompagné ? »
-Red je leur souris. « Oui les gars, mais si vous trouvez ça trop long dites moi le, ok.»

Je fini par rejoindre Tom dans la salle de bain, les lampes infrarouge sont allumées. Tom relaxe, se séchant sous leur chaleur. Je m’occupe de mes affaires puis l’embrasse en lui disant. Qu’il est chaud mais que son déjeuner refroidit. Puis je retourne manger avec les petits, Tom nous rejoins et commence à manger. Nous convenons d’aller magasiné cet après midi avec les petits, puis l’entraînement pour finir nous allons accompagner Tom chez ses parents avec ses armes.

Nous achetons une table laqué noir avec des chaises noir le tout de style orientale. Un buffet de la même confection et couleur avec vaisselle d’un rouge plutôt foncé. Deux stations pour ordinateur une argent satiné pour Tom et une vert presque noir pour moi. Une unité murale pour les appareils électroniques verte. Les petits nous faussent compagnie dans le commerce de fourniture orientale puis réapparaissent. Nous achetons aussi des meubles de salon deux causeuses de cuir noir, mais qui sont avant tout confortable, le rembourrage est des plus épais. Pour finir nous, nous rendons dans le magasin de fourniture d’ordinateur que je fréquente normalement, le commerce appartient à des Coréens, le service est excellent et si vous négocier les prix sont plus que correcte. Je commande deux machines des P4 cadencé à 3,6Gh. Je regarde mes petits.

-Red « Mike, c’est toi qui vas prendre ma chambre ? »
-Mike « Oui je pense. »
-Red en lui souriant. « Je vais changer le disque dur de ton ordi et t’en fournir un neuf. Tu gardera, si tu veux, presque tout mon matériel. »
-Mike « Merci, tu est gentil. »
-Red « Drew, veux-tu que je t’achète quelque chose ? »
-Drew « Oui, je voudrais ta veste de cuir que tu me met plus. » Il me demande ça timidement.
-Red, c’est une veste, un perfecto pleine peau que j’aimais beaucoup qui est rapidement devenu trop petit pour moi. « Pas de problème Drew, je suis très heureux que tu le porte. »
Le petit s’avance pour me faire un câlin, je crois que je lui ai fait très plaisir.

Nous revenons à la maison, Drew se précipite pour entrer dans ma chambre mais s’arrête brusquement devant la porte. Il me demande s’il peu prendre sa veste, je lui répond que oui. Ma mère me regarde interrogative, je lui fait signe d’aller voir en haut. Drew revient avec ma mère portant la veste en question. Elle est en cuir épais avec une surabondance de fermeture à glissière (zippers). Je l’ai toujours trouvé belle et je n’ai pu me résoudre à la jeté. Finalement c’est une bonne chose. Ma mère apprécie, heureuse de mon geste et me sourie. Tom et moi les laissons pour aller nous entraînés. Quand nous commençons l’entraînement au katana, je regrette presque mon insistance pour que Tom m’attaque sans retenu. Il est vraiment déchaîné, je suis touché il tient vraiment à moi. Nous caracolons d’un bout à l’autre de la cour, Tom toujours en mode d’attaque et moi en mode de défense. Sa lame me frôle et bourdonne à mes oreilles. Nous arrêtons quand nous sommes fini. Le combat à duré près de dix minutes. Nous rentrons, nos armes au fourreau, pour voir notre mère s’approché de nous, pour vérifié si nous avons tout nos bouts et s’il n’y a pas de sang.

-Mère « J’espère que vous contrôlez vos mouvements les gars. »
-Red « Oui, les attaques de Thomas sont adéquates. »
-Tom « Seulement adéquates? »
-Red « Je vais te montrer Tom. » Je vais chercher un faisceau de paille pour les démonstration de coupe. « Regarde bien la fin de mon mouvement. »

Pour faire une coupe franche il ne s’agit pas de frapper comme avec une hache. Au moment ou ta lame touche à ta cible, tu dois tenir la pression en tirant la lame vers l’arrière pour tranché.

-Red « A-tu vu Tom ? »
-Tom « Non ! »
-Red « Attend. »

Je vais chercher la caméra vidéo de mon père, installe le trépied et reprend une autre coupe en yokomen puis en do. Nous regardons les coupe au ralenti puis image par image.

-Red « Tu vois, maintenant Tom en faisant contact, tu tire ta lame pour qu’elle tranche. »
-Tom « Wow ! Tu as seulement qu’une fraction de seconde pour le faire ! »
-Red « Encore une fois seulement, les 5,000 première fois sont pénible. » Je lui souris malicieusement en lui serrant amicalement l’épaule.
-Mère « Les gars, la douche et la bouffe. En passant avez-vous des serviettes de bain ? »
-Red « Non, mais nous avons des lampes infrarouge pour nous séchés. »
-Mère « Prenez en quelques une dans la lingerie, il y en a des vertes sur la tablette du haut. »
-Tom « Merci mom, c’est gentil d’y avoir pensé. »
-Red « Mom, vient t’enregistrer sur nos serrures. » Elle me regarde un peu interloqué.
-Mom « Que veux-tu dire Reg ? »
-Tom « Mon mauvais garçon à choisi des serrures ‘’high tech‘’ elles reconnaissent les empreintes digitales. »
-Mom « Reg, il faut te décidé tu es un samouraï ou un tecky ? »
-Red « Pourquoi pas un cyber-samouraï ! »
-Tom « Cyber-samouraï ? »
-Red « C’est un archetype dans le jeu ‘’Shadow run’’. »

Nous, nous douchons puis nous rendons dans mon ex-chambre pour y prendre mes affaires. Quand nous finissons de les ranger j’attrape Tom par la taille.

-Red « Punky en revenant de chez tes parents apporte des vêtements, pas tout sinon Flo vas me tuer. N’oublie pas tes boxer noir, ils te vont très bien. » Je lui fait un clin d’œil.

Durant la semaine les différentes livraison arrivent. J’attend que Tom soit avec moi pour déballer les différent meubles. Le vendredi suivant à 10 heure, Tom me rejoint. Nous, nous embrassons, il regarde les boites qui encombre le loft interrogatif. Je lui dis que je l’attendais pour déballer nos meubles. Il souris tel un ange. Nous déballons en rigolant, en ouvrant une des boites nous trouvons deux espèces de portemanteaux. Il y a une carte dans le paquet. Nous la lisons ensemble.

Thomas, Réginald. Pour les deux plus géniaux grand frères que l’on puissent avoir.
Michael et Andrew .

-Red « C’est ça qu ‘ils faisaient quand ils ont disparus pendant quelques minutes, pendant que nous achetions les meuble de cuisine. » J’ai des larmes plein les yeux et Tom n’est pas en meilleur état.
-Tom « On habille les portemanteaux, puis on vas les cherchés. » Il me serre par la taille en mettant sa tête dans mon cou. » En relevant sa tête il m’essuie les yeux. « Mauvais garçon, c’est moi le braillard. » Il embrasse ma joue en mettant la main sur mon cœur. « Officiellement, c’est toi le dur, ne change pas. »

Nous habillons les portemanteaux avec nos kimonos, les boites contenant nos no dashi sont placé derrière ceux-ci. Quand nous arrivons sur la passerelle nous voyons le van d’Axe stationner dans la rue. Nous ouvrons la porte de la maison pour être accueilli par Mike qui vient nous cherché. Nous disant qu’un homme et une femme nous demandent. Nous entendons le commandant qui tente de leur soutirer les vers du nez.

-Red arrivant dans l’entré. « Axe, Sam, content de vous revoir toujours intéressé à nous avoir comme cascadeur ? »
-Sam « Oui le producteur a vu les rush et dit que c’est mieux que Jet Lee. »
-Axe « Si vous voulez nous excusés madame. » Axe souris un peu bêtement à ma mère.

Nous marchons vers le loft en passant à l’extérieur quand Axe arrête fixant Drew. Sam doit lui mettre la main sur l’épaule pour qu’il se remette à marché.