Un coup de main
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Disclaimer:
This is a work of fiction. Any resemblance of characters to actual persons, living or dead, is purely coincidental. The Author holds exclusive rights to this work. Unauthorized duplication is prohibited.
Paetie 10
Un coup de main 10
Si vous n’avez pas 18 ans ou l’âge légal dans le pays où vous vivez,
veuillez quitter maintenant. Cette histoire est au sujet de garçon ou de
garçons gay, si cela n’est pas de votre goût, quittez maintenant. Toute
ressemblance avec des personnes ou organisations existantes est purement
accidentelle car ceci est une œuvre de pure fiction.
Par Jarvis de Var
Éditeur Joël
Nous descendons à la cuisine. Je dis à ma mère que nous allons nous
entraîner cet après-midi. Pas de trouble avec le commandant! Une fois
dehors, nous courrons vers la station de taxi. Je donne une adresse près de
la maison de Tom. Quand nous sortons, je regarde Tom dans les yeux, le
tenant par les épaules:
- Punky, nous n’avons pas besoin d’être ensemble pour cette opération. Tu peux m’attendre hors de la cour.
- N’aies pas peur pour moi mauvais garçon. Je veux y aller avec toi, je veux attraper ce cochon pourri, dit-il d’un air sévère. Je veux changer ces situations auxquelles nous pouvons apporter des changements positifs et je veux le faire avec toi.
- Ok Punky, pas de pitié, nous frappons jusqu’à ce qu’il tombe. Nous allons opérer en douceur.
Nous courrons jusqu’à la maison Benson. Nous restons sur la rue, regardant autour de nous. Quand nous voyons Axe sortir d’une van, il s’approche de nous:
- Bonjour! Vous pouvez passer entre la clôture et la haie sur le côté. Toutes les caméras sont fermées. Vous pourrez mettre vos masques quand vous êtes sur le côté.
- Où sont les enfants? demandai-je.
- Je ne sais pas, toute la famille a quitté à midi.
- Vous allez surveiller les transmissions de leur ordinateur? As-tu placé un back orifice?
- Non mais je vais le faire.
- Donc je vais écrire sur l’ordinateur... Ok.
- Oui, faites attention les gars.
Nous, nous rendons sur le côté droit de la maison. J’aide Tom à mettre son filet à cheveux et son masque, puis il m’aide. Nous mettons nos gants. Je mets mes mains sur la clôture.
- Punky, grimpe sur moi.
Il attrape le haut de la clôture, puis passe au-dessus. Il prend un temps d’arrêt et murmure: "C’est bon" avant de disparaître. Je recule de quelques pas puis saute en m’élançant. Les deux premiers essais sont manqués, au troisième essai, j’attrape le faîte de la clôture. Mon premier swing latéral est manqué, au deuxième essai, ma jambe gauche passe par-dessus la clôture. Je grimpe sur le dessus et me trouve très content de porter un jock-strap et une coquille. Je saute en bas et parviens à rester debout. Tom me serre dans ses bras et murmure:
- Tu a pris ton temps mauvais garçon.
- Punky, ce n’est pas le temps pour aimer, c’est le temps de la punition. Tu es plus petit, cache toi dans l’encoignure de la porte latérale.
- Pas de problème.
Je me cache à la fin de la barrière près du mur de la maison. L’idée est de bouger avec la barrière quand elle s’ouvrira. Nous attendons sous une pluie fine, après vingt minutes je suis complètement détrempé; par chance j’ai mon filet à cheveux, mes cheveux ne tomberons pas devant mes yeux. J’entends le moteur de la barrière et fais signe à Tom que la barrière ouvre. Je la suis, avant qu'elle soit complètement ouverte, la Mini passe devant moi. Je suis sur le côté du chauffeur. Je me mets sur un genou, sortant mon Cobra et mon stun gun, je me cache sur le côté de la voiture en attendant de voir ses jambes. Je vois ses jambes à demi hors de la voiture et j’applique le stun pour un bon dix secondes. J’entends une détonation assourdissante, mon cœur arrête.
Je me lève étrangement calme comme si je n’y croyais pas et regarde en direction de la porte. Un homme d’environ vingt-cinq ans pointe un pistolet sur Tom qui est étendu sur le sol. Je saute et glisse sur le toit de la voiture, les pieds en direction du dos de l’homme. Il frappe le mur de face et pistolet en avant, j’entends une détonation étouffé, il tombe. Je courre vers Tom et le retourne sur le dos, il a du sang qui coule de son côté gauche. Je regarde dans sa chemise c’est une éraflure. J’arrache une de ses manches et fait un bandage compressif temporaire. J’entends des mouvements derrière moi, c’est l’homme plus âgé qui bouge. Je prends le stun puis me dirige vers Benson et le stun encore. Je m’achète du temps. J’examine le plus jeune, il s’est tiré une balle près de la clavicule mais il n’y a pas de sang noir. Je lui fais un bandage compressif. En le faisant, je m’aperçois qu’il a un tatouage en faveur de la suprématie blanche sur l’épaule droite. J’entends des mouvements, c’est Tom qui marche vers moi, je lui donne trois tie-wraps pour attacher le jeune. Je rejoins Benson le stun encore, l’attache et l’aveugle à l’aide du duct-tape. Je rejoins le plus jeune et l’aveugle de la même façon. Je murmure à Tom:
- Comment vas-tu? Criss que je m’en veux! Te sens-tu bien?
- Je suis correct, calme-toi mauvais garçon l’opération continue.
Il me sourit, faisant le brave.
- Essaie de traîner celui-là, je vais fouiller et traîner Benson vers la porte du bureau.
Je rejoins Benson et fouille ses poches. Je trouve un anneau avec des clefs, un téléphone cellulaire, un contrôle à distance pour la barrière je présume, avec un pad numérique. Nous ouvrons la porte latérale et les traînons à l’intérieur. J’amorce la machine et écris sur l’écran.
* Red: Avez-vous le code pour ouvrir la porte?
* Axe: Non laisse moi le temps
* Red: Vérifiez si les cochons viennent?
* Sam: Nous avons entendu la détonation mais personne ne semble s’en préoccuper.
* Red: Avez-vous une trousse de premier soin, Tom s’est fait tiré
* Sam: QUOI?
* Red: Il semble correct mais je veux un bandage compressif sur lui aussi vite que possible
* Axe: Le code est 23-8-9-20-5-0-16-15-23-5-18
* Sam: Ouvre la barrière vite.
Tom et moi marchons vers la porte du bureau comme je signale le numéro sur le pad. Ils entrent rapidement, je signale le numéro et la porte ferme.
- Merci Sam, dis-je. Punky viens près de moi.
Je prends un journal et le mets sur le plancher.
- Tom, assis-toi sur le journal et donne-moi ta chemise.
Je la prends et la mets dans ma besace, j’enlève le pansement improvisé du côté de Tom et l'y mets aussi.
- T’est encore ok Punky?
- Je vais bien, c’est passablement engourdi. Ce n’est pas de ta faute je n’ai pas été assez rapide.
- Punky, prends une grande respiration. Je travaille sur ta blessure.
Quand je commence à travailler sur Tom, Sam viens m’aider. Elle travaille de façon efficace avec des gestes doux et tendre.
- Aura-t-il besoin de point de suture?
- Je ne pense pas, me dit Sam, mais il va se sentir raide pour environ deux semaines.
- Raide! C’est tout? demande Tom.
Il semble relaxer cela me rassure.
- Merci Sam, c’est très gentil de ta part.
Je mets le papier journal aussi dans ma besace. J’examine les clefs, parmi celles-ci une petite barre de métal rectangulaire avec les bouts arrondis. Ça ressemble à la clef de mon cadenas magnétique mais en mieux fini en quelque sorte.
- Punky, essaie de trouver une forme comme cela n’importe où dans la pièce.
- Pas de trouble mauvais garçon.
Nous cherchons dans le bureau, après une quinzaine de minutes Tom m’appelle pour me montrer une plaque de métal de la bonne forme sur le côté du cadre de la porte. Je dis à Tom de regarder tout autour de la pièce et de noter tout changement. Je mets la clef sur la plaque. Tom me réplique qu’il n’y a pas de changement; je vérifie, pas de changement. Je pivote la clef à 180 degrés.
- Une section des étagères de la bibliothèque a bougé, me dit Tom.
- Attends Punky. Sam, Axe! Il y a une porte secrète dans la pièce. Nous allons l’ouvrir, vous devriez vous mettre à l’abri.
Je tiens la main de Tom et nous ouvrons la porte.
- Wow! Il y a un tas d’armes la dedans, s'exclame Tom.
- Punky, ne touche pas à ces armes. Elles peuvent être couvertes d’empreintes.
Il y a un pistolet Glock, trois SMG mitraillettes légère 9mm, un paquet de pistolet de calibre 22, environ une vingtaine de fusils gauge 12 Remington model 870, environ dix calibres 38 le tout avec une masse de munition. Un chiffre conservateur: 5 à 6 milles balles et cartouches. Il y a aussi un petit coffre fort et une classeur de sécurité.
- Axe, viens voir! Il y a un classeur de sécurité et un petit coffre fort.
- Nous ne pouvons les prendre, ils sont trop évidents.
- Nous pouvons utiliser la Mini, demandais-je.
- Benson a bougé, nous informe Tom.
Je fais signe à tout le monde de garder le silence et le stun encore.
- Oui la mini peut contenir le classeur de sécurité et le petit coffre fort, termine Sam.
- Laissez nous finir l’extraction, pendant ce temps vous pourriez charger la mini, nous dit Axe.
- Peux-tu m’aider Punky?
- Ne me pose pas ce genre de question, mauvais garçon.
Il fait mine de me donner un coup de poing. Nous transportons le classeur de sécurité, son poids est d’environ 65kg, nous éraflons l’intérieur de la Mini. Le coffre fort tant qu’a lui est lourd pour sa dimension, environ 25kg.
- Je ne savais pas que tu conduisais, me dit Tom.
- Je ne sais pas conduire ce sera ma première fois, répondis-je en souriant. - J’espère qu’on ne se fera pas prendre.
- Relaxe Punky, nous allons opérer en douceur!
Sam et Axe finissent l’extraction. Avant de partir Axe vient me voir:
- Voici l’adresse où nous pourrons prendre soin du classeur de sécurité, je sais que tu n'as pas de permis de conduire.
- Ce sera ma première expérience en tant que conducteur, ça devrait être intéressant.
- Quand nous serons en sécurité, appelle les cochons de la provinciale, il y a assez de preuves sur place pour qu’ils puissent lui faire un paquets de troubles, termina Axe.
Tom et moi entrons dans la voiture. Je donne ma veste à Tom. Sam et Axe marchent vers la barrière. Je démarre la voiture et fais le code d’ouverture de la barrière. Sam et Axe se dirigent vers le van. Je regarde sur le bras de transmission pour repérer la marche arrière. Je démarre le moteur et je mets la transmission en marche arrière. Je laisse aller l’embrayage lentement, le moteur arrête presque mais je donne un coup d’accélérateur. La voiture touche presque la maison mais je parviens à rester sur la voie d’accès. Mon Tom sue comme moi, il a une si bonne âme, il craint pour moi. Je regarde le bras de transmission pour repérer la première vitesse, j’appuie sur la pédale d’embrayage et pousse le bras en première puis relâche doucement l’embrayage. Je laisse la voiture en première. Nous nous rendons à l’adresse qui nous a été donné. Quand nous arrivons près de celle-ci, je me mets à rire. Tom me regarde en fronçant les sourcils.
- Te sens-tu bien Red?
- Oui mais où sont les cochons quand nous avons besoin d’eux, dis-je souriant. Il y a commission d’un crime actuellement.
- Red tu es complètement déjanté, tu aimes cette merde.
- Une façon de relâcher le stress, mon Punky.
L’adresse est une station d’essence Shell. Axe me fait signe de me stationner dans un espace de mécanique. Une fois entré, le van se place devant la porte, avec sa porte latérale ouverte.
- Transportons ce classeur dans le van, Mark coupe cette boîte, dit Axe.
Le mécanicien allume son chalumeau et commence à couper le petit coffre fort.
- À propos de la voiture qu’est-ce qu’on fait? demandai-je.
- Laisse-la ici et elle va disparaître très vite, me répondit Axe.
- C’est ouvert Axe, dit Mark.
Nous marchons vers la boîte et voyons a l’intérieur des papiers et une pile d’argent.
- Prenez l’argent, nous aurons plus à vous donner quand nous aurons trié ce que nous avons.
- Merci Axe, bye Sam, Mark, dis-je.
- Merci, bye.
Il embrasse légèrement la main de Sam.
- Prenez ces chaussures, dis-je pour qu'elles soient aussi détruites.
Nous prenons nos chaussures dans nos sac. Nous prenons le taxi pour aller au général, le restaurant près des Fouf. Je vais dans la chambre de bain et compte l’argent; il y a $55800. Je prends $27900 et le mets dans ma besace. Comme je m’assois à la table, je donne une pile de billets à Tom.
- Il y a $27900 dans ta main.
Tom met sa main sous la table et regarde sa main incrédule.
- Je ne veux pas tout l’argent, séparons-le, dit-il l'air paniqué.
- Mon tendre ami, c’est déjà séparé. Nous avons à cacher cet argent et a être discret sur nos dépenses.
- Nous aurons encore à mentir!
- Pas réellement, nous avons à prendre attention à la façon de dire les choses. Je lui souris et lui prends la main sous la table. Nous mangeons comme des rois, le service est parfait.
Tom insiste pour payer, il est content de le faire. Nous, nous rendons à l’arrêt d’autobus pour rentrer à la maison. En chemin vers l’arrêt d’autobus, je repère un téléphone public. Je téléphone à la police provinciale.
- Écoutez, Benson le capitaine de la police de Greenfieldpark est attaché sur le plancher de son bureau personnel à sa maison. Dans cette pièce, il y a une montagne d’armes et de munitions. Ho! En passant un homme qui s’est tiré lui même est attaché sur le plancher près de Benson. Bonjour chez vous.
Je raccroche et nous prenons l’autobus. Quand nous entrons dans la cuisine, il est 18h45. L’unité familiale est à la table, parlant tranquillement. Mère nous regarde et:
- Thomas! Qu’est-il arrivé à ta chemise?
- Elle a été déchirée, Red m’a prêté sa veste.
- Qu’est-ce qui a déchiré ta chemise?
- Commandant, c’est un katana qui a déchiré sa chemise, il a passé à porté d’arme, c’est un accident, répondis-je.
- Es-tu blessé Thomas?
- Non, dit-il souriant à mom. J’aurais dû être hors de porté d’arme, je suis désolé.
- Ok garçon, répondit-elle en l'enlaçant. Mais reste hors de portée de ces épées acérées.
Tom grimace un peu quand ma mère l’enlace.
- Nous devons travailler sur les plans du loft, terminai-je.
Nous entrons dans la chambre et je pousse Tom dans la salle de bain.
- Tom, donne-moi la veste. Criss! Tom, ton côté est tout bleu.
Je défais le pansement. L’éraflure, comme l’appelle Sam, fait dix centimètres de long et environ deux de large. Il y a un début de croûte, je prends le Ply**** que j’ai utilisé pour mon tatouage et couvre la blessure.
- Es-tu correct Tom? S’il te plaît regarde moi!
Tom me regarde et il a quelques larmes dans les yeux.
- J’ai été seulement un peu surpris quand tu as enlevé le pansement, ajoute-t-il en essayant de me sourire.
- Tom, prends de grande respiration et visualise de bons souvenirs et de bonnes sensations.
Je commence à installer le pansement. J’essaie d’être doux mais il grimace quelques fois le temps que je finisse le pansement.
- Ce sera difficile à cacher au commandant, t-shirt large et pas d’activité physique pour deux ou trois jour. Punky, pas de kata pour une semaine.
- Je ne suis pas mourant, mauvais garçon, je suis en bonne forme, nous allons nous organiser.
- En passant, veux-tu venir avec moi demain? Nous allons acheter des ceintures pour l’argent et au dojo pour acheter des petites choses.
Avant d’aller au lit, je prends une douche et demande à Tom d’attendre que je finisse. Je lui demande de s’asseoir sur le bord de la baignoire et le lave avec le gant de toilette. Il est un peu irrité au début mais bientôt commence à apprécier mes soins. Avant que je finisse de le laver, sa verge se dresse fièrement. Nous marchons vers le lit. Je me retourne pour barrer la porte puis regarde Tom étendu sur le lit.
- Punky, tu es si beau. Arrête de te faire blesser, quand je te vois souffrant cela me tue. Au moment où j’ai vu ce bâtard pointé son arme sur toi, j’ai cru que mon cœur allats exploser. Je ne veux pas te perdre mon chéri.
- Mauvais garçon, viens dans le lit avec moi. Je vais prendre attention. Si quelqu’un essaie de me blesser, je l’informerai que mon petit ami vas être furieux.
Il rit un peu caressant ma poitrine.
- Reste sur le dos, laisse-moi prendre soin de cette rigidité.
Je prends son pénis en main, glissant mon poing de haut en bas. Il a un magnifique pénis.
- Peux-tu mettre un doigt en moi? demande Tom.
- Es-tu sûr? lui demandai-je en fronçant les sourcils.
- Je veux essayer, tu as lu des histoires à ce propos sur le net, j’ai vu le site dans tes favoris. Je veux juste essayer.
Je vais dans la chambre de bain pour prendre ma lotion.
- Punky, essaye de rester sur le dos.
Je lui souris. Je mets de la lotion sur mon index, je le mets sur son anus et presse lentement. Mon doigt entre environ 2cm. Je regarde son beau pénis et expose la tête de celui-ci. Je commence à la lécher, à faire l’amour à mon beau Tom. En même temps, je frotte mon doigt à l’intérieur de son corps. Son anus répond à ma stimulation. J’essaie te trouver sa prostate. Je suce son pénis et l’absorbe au complet. Avec mon doigt, je cherche un point dur. Je le trouve et commence à le frotter avec toute la longueur de mon doigt. Il commence à s’agiter et à gémir. J’arrête pour mettre le la lotion sur deux doigts. Il me regarde avec un peu de frustration dans les yeux.
- N’arrête pas Red! S’il te plaît!
J’embrasse sa hanche et pousse deux doigts dans son anus. J’observe son visage, il semble avoir un peu d’inconfort au début puis cela passe. J’attends qu’il soit confortable avant de le reprendre dans ma bouche encore. Je prends soin de sa rigidité avec mes lèvres et mes dents, il frotte mes cheveux et les tire, il essaie de bouger ses hanches mais ne peut à cause de mon poids. Je frotte sa prostate avec deux doigts. Tout son corps spasme, il gicle dans ma gorge en faisant des mouvements incontrôlés sur le lit. Je sens son pénis qui reprend sa taille d’origine dans ma bouche. Sa respiration est hachée et profonde, son corps est couvert de sueur. Il sourit comme un ange, perdu dans son propre monde. J’embrasse son nombril, ses mamelons, son cou, sa bouche. Il m’enlace violemment, j’attrape ses bras et les repoussent.
- Tom, mon gentil Tom, prends attention à ton côté, tu es blessé.
- Mauvais garçon, ça ne m’inquiète pas, c’est fantastique. J’ai presque perdu connaissance, c’est extraordinaire. Man, ce que tu as fait à l’intérieur de moi m’a complètement soufflé.
Il me serre dans ses bras, je le sens s’endormir sur moi. Lentement je me glisse hors du lit pour prendre une douche rapide puis apporte une débarbouillette mouillée et chaude. Sur le lit, Tom dors profondément. Je lave son visage, cou, dos, il s’étire un peu, grogne un peu et ouvre les yeux à demi.
- Désolé Tom, je devais te laver un peu. Tourne-toi sur le dos Punky.
Je finis de le laver, l’embrassant légèrement de temps en temps. Je ne veux pas trop le réveiller, je veux le laisser dormir et le laisser savourer sa jouissance. Je caresse mon Tom doucement jusqu’à ce qu’il de rendorme complètement. Je le tiens sur moi et tombe endormi avec mon érection sur son ventre et sa chaleur qui me relaxe. Aux environs de 5h, je sens une main qui me caresse.
- Mauvais garçon, fais-moi l’amour.
Il m’embrasse profondément.
- Je ne sais pas si je suis prêt pour cela. Lire des choses à ce propos est une chose, le faire à quelqu’un que tu aimes est une autre chose.
- Mais Red, j’aime ça. J’aimerais te sentir à l’intérieur de moi, tu es une partie de moi et je suis une partie de toi.
- Tom, humm! Comment te dire cela. J’ai essayé avec mes doigts et je n’ai pas aimé ça. Si je te faisais cela, j’aurais l’impression de t’utiliser. Je t’aime tant Tom, je ne voudrais pas avoir cela entre nous.
J’ai des larmes dans les yeux j’espère que je provoquerai pas la colère de mon Tom.
- Red, je ne t’ai pas demandé de me laisser te baiser. Je veux que tu me baises pour mon, et ton plaisir. Je te veux en moi, je veux que nous soyons joints ensemble, dit-il en m’embrassant. Peut-être qu’un jour tu me laissera entrer. Ne t’en fais pas, je serai heureux sans cela mon amour.
- Je vais essayer d’aimer cela pour toi, prends ta place sur ma poitrine, nous attendrons que tu guérisses.
Tom m'embrassa avec tendresse.
- Aime-moi maintenant, je sais que tu prendras attention. Tu vas te blesser avant de me blesser. Je t’aime.
- Ne cède pas ta volonté à qui que ce soit, même moi. Ce n’est pas une bonne idée. Avec moi, garde ta volonté, garde-la avec la mienne, ensemble nous pourrons construire un endroit secret pour nous deux. Que veux-tu que je fasse mon Tom?
- Aime moi, tiens moi, embrasse moi, sens moi. Red, mauvais garçon, je veux te sentir de toutes les façons.
Silencieusement je l’embrasse, plie un oreiller et le place sous le bas de ses reins. Je caresse lentement sa poitrine et son abdomen. Je pince ses mamelons, les suces et les lèches. Je tiens sa tête, l’embrasse profondément, explorant sa caverne humide. Je regarde dans ses yeux:
- Es-tu sur mon tendre amour?
- Oui Red, faisons l’amour, soyons joints.
- Dès que tu as mal tu me le dis. Je vais être très en colère si tu me le dis pas et je ne le ferai plus jamais.
Il me regarde souriant d’un air incrédule. Je m’installe entre ses jambes. Quand il me sent entre elles, il les écarte largement. J’embrasse son abdomen et son pubis. Je mets ses jambes sur mes épaules lui frottant les cuisses, je lui lèche les testicules. Je me demande si j’ai le courage de le faire; j’hésite quelques secondes. Puis je lui embrasse les fesses, les lèches, sens la crevasse pour savoir s’il y a une odeur de merde. Non. Lentement je pointe la langue et touche sa rosette. Une odeur musquée et un goût étrange pas mauvais et c’est mon Tom; je décide que j’aime cela. Je commence à lécher son anus pendant que je caresse son thorax et ses mamelons. Il relaxe et ma langue peut pénétrer un peu en lui. Je commence à le masturber, après environ cinq minutes il repousse ma tête:
- Pousse le à l’intérieur de moi. Aime moi.
J’enduis mon pénis d’une épaisse couche de lotion, je me relève et laisse ses jambes sur mes épaules. Je guide mon pénis sur son ouverture et mets la tête sur son anneau. Le regardant dans les yeux, je pousse lentement. Au début il ne s’ouvre pas, je reste dehors. Soudainement, la tête glisse à l’intérieur, ses yeux s’agrandissent un peu. Il me prend par les épaules pour se soulever et m’embrasser. Tom murmure a mon oreille.
- Red c’est si gros, ne bouge pas, laisse moi m’y habituer. C’est toi en moi. C’est si bon. Pousse ton pénis lentement en moi fait-le avec amour, ajoute-t-il en prenant une profonde respiration.
Je pousse lentement jusqu'à ce que mon pubis soit juste sous ses boules. Je fais tomber ses jambes autour de mes hanches, je le regarde dans les yeux, lui embrassant le visage. Il attrape mes épaules encore et commence un mouvement de va-et-vient sur mon pieux. Lui attrapant les fesses, je commence des va-et-vient dans son canal doux, chaud et humide. Je sens d’étranges et plaisantes contractions de son anus. Nous commençons à gémir. Ses mouvements se font violents, il se laisse retomber sans contrôle sur moi, je dois le ralentir.
- Tom mon amour, pas si fort tu vas te blesser.
- Je m’en fous! C’est trop bon.
J’attrape le pénis de Tom dans mon poing et le laisse faire; ce faisant, il se masturbe lui même. Après dix minutes, je sens que son anus spasme autour de ma queue. Je le vois venir entre nous sur sa poitrine. À cette vue, je viens et pompe ma semence dans mon Tom. Je le soulève sur moi, l’embrassant et lui caressant le dos. Mon pénis retrouve son état normal et glisse hors de son tunnel d’amour. Je n’ai jamais eu de sensations aussi intenses de ma vie.
- Tes blessures, ça va Tom?
- Extraordinairement bien, répond-il en essayant de reprendre son souffle. Red, tu ne peux pas imaginer les sensations que j’ai éprouvées.
- Étends-toi sur le dos et détends-toi mon amour.
Quand il est étendu sur le dos, je lèche son abdomen et son thorax de toute trace de sperme.
- Ton sperme a un goût merveilleux, je te l’ai déjà dit?
- Je suis vraiment baisé, répond Tom en ricanant un peu. Je sais que tu vas me laver encore. Utilise une débarbouillette plus chaude cette fois ci.
Il m’embrasse. Je me lave dans la douche et lave mon bel amant lentement avec une débarbouillette chaude. À demi endormi, il me sourit pendant que je le lave. Je le sèche, il m’enlace avec force.
- Red, je suis propre, tu es propre, reste dans le lit avec moi. Je veux sentir ta chaleur, mauvais garçon.
- Punky, nous avons trois heures devant nous, dis-je en regardant mon réveil-matin.
Il frotte son visage dans mon cou soupirant avec satisfaction. Je me laisse dériver dans une rêverie érotique, me sentant au sommet du monde.
Si vous n’avez pas 18 ans ou l’âge légal dans le pays où vous vivez,
veuillez quitter maintenant. Cette histoire est au sujet de garçon ou de
garçons gay, si cela n’est pas de votre goût, quittez maintenant. Toute
ressemblance avec des personnes ou organisations existantes est purement
accidentelle car ceci est une œuvre de pure fiction.
Par Jarvis de Var
Éditeur Joël
Nous descendons à la cuisine. Je dis à ma mère que nous allons nous
entraîner cet après-midi. Pas de trouble avec le commandant! Une fois
dehors, nous courrons vers la station de taxi. Je donne une adresse près de
la maison de Tom. Quand nous sortons, je regarde Tom dans les yeux, le
tenant par les épaules:
- Punky, nous n’avons pas besoin d’être ensemble pour cette opération. Tu peux m’attendre hors de la cour.
- N’aies pas peur pour moi mauvais garçon. Je veux y aller avec toi, je veux attraper ce cochon pourri, dit-il d’un air sévère. Je veux changer ces situations auxquelles nous pouvons apporter des changements positifs et je veux le faire avec toi.
- Ok Punky, pas de pitié, nous frappons jusqu’à ce qu’il tombe. Nous allons opérer en douceur.
Nous courrons jusqu’à la maison Benson. Nous restons sur la rue, regardant autour de nous. Quand nous voyons Axe sortir d’une van, il s’approche de nous:
- Bonjour! Vous pouvez passer entre la clôture et la haie sur le côté. Toutes les caméras sont fermées. Vous pourrez mettre vos masques quand vous êtes sur le côté.
- Où sont les enfants? demandai-je.
- Je ne sais pas, toute la famille a quitté à midi.
- Vous allez surveiller les transmissions de leur ordinateur? As-tu placé un back orifice?
- Non mais je vais le faire.
- Donc je vais écrire sur l’ordinateur... Ok.
- Oui, faites attention les gars.
Nous, nous rendons sur le côté droit de la maison. J’aide Tom à mettre son filet à cheveux et son masque, puis il m’aide. Nous mettons nos gants. Je mets mes mains sur la clôture.
- Punky, grimpe sur moi.
Il attrape le haut de la clôture, puis passe au-dessus. Il prend un temps d’arrêt et murmure: "C’est bon" avant de disparaître. Je recule de quelques pas puis saute en m’élançant. Les deux premiers essais sont manqués, au troisième essai, j’attrape le faîte de la clôture. Mon premier swing latéral est manqué, au deuxième essai, ma jambe gauche passe par-dessus la clôture. Je grimpe sur le dessus et me trouve très content de porter un jock-strap et une coquille. Je saute en bas et parviens à rester debout. Tom me serre dans ses bras et murmure:
- Tu a pris ton temps mauvais garçon.
- Punky, ce n’est pas le temps pour aimer, c’est le temps de la punition. Tu es plus petit, cache toi dans l’encoignure de la porte latérale.
- Pas de problème.
Je me cache à la fin de la barrière près du mur de la maison. L’idée est de bouger avec la barrière quand elle s’ouvrira. Nous attendons sous une pluie fine, après vingt minutes je suis complètement détrempé; par chance j’ai mon filet à cheveux, mes cheveux ne tomberons pas devant mes yeux. J’entends le moteur de la barrière et fais signe à Tom que la barrière ouvre. Je la suis, avant qu'elle soit complètement ouverte, la Mini passe devant moi. Je suis sur le côté du chauffeur. Je me mets sur un genou, sortant mon Cobra et mon stun gun, je me cache sur le côté de la voiture en attendant de voir ses jambes. Je vois ses jambes à demi hors de la voiture et j’applique le stun pour un bon dix secondes. J’entends une détonation assourdissante, mon cœur arrête.
Je me lève étrangement calme comme si je n’y croyais pas et regarde en direction de la porte. Un homme d’environ vingt-cinq ans pointe un pistolet sur Tom qui est étendu sur le sol. Je saute et glisse sur le toit de la voiture, les pieds en direction du dos de l’homme. Il frappe le mur de face et pistolet en avant, j’entends une détonation étouffé, il tombe. Je courre vers Tom et le retourne sur le dos, il a du sang qui coule de son côté gauche. Je regarde dans sa chemise c’est une éraflure. J’arrache une de ses manches et fait un bandage compressif temporaire. J’entends des mouvements derrière moi, c’est l’homme plus âgé qui bouge. Je prends le stun puis me dirige vers Benson et le stun encore. Je m’achète du temps. J’examine le plus jeune, il s’est tiré une balle près de la clavicule mais il n’y a pas de sang noir. Je lui fais un bandage compressif. En le faisant, je m’aperçois qu’il a un tatouage en faveur de la suprématie blanche sur l’épaule droite. J’entends des mouvements, c’est Tom qui marche vers moi, je lui donne trois tie-wraps pour attacher le jeune. Je rejoins Benson le stun encore, l’attache et l’aveugle à l’aide du duct-tape. Je rejoins le plus jeune et l’aveugle de la même façon. Je murmure à Tom:
- Comment vas-tu? Criss que je m’en veux! Te sens-tu bien?
- Je suis correct, calme-toi mauvais garçon l’opération continue.
Il me sourit, faisant le brave.
- Essaie de traîner celui-là, je vais fouiller et traîner Benson vers la porte du bureau.
Je rejoins Benson et fouille ses poches. Je trouve un anneau avec des clefs, un téléphone cellulaire, un contrôle à distance pour la barrière je présume, avec un pad numérique. Nous ouvrons la porte latérale et les traînons à l’intérieur. J’amorce la machine et écris sur l’écran.
* Red: Avez-vous le code pour ouvrir la porte?
* Axe: Non laisse moi le temps
* Red: Vérifiez si les cochons viennent?
* Sam: Nous avons entendu la détonation mais personne ne semble s’en préoccuper.
* Red: Avez-vous une trousse de premier soin, Tom s’est fait tiré
* Sam: QUOI?
* Red: Il semble correct mais je veux un bandage compressif sur lui aussi vite que possible
* Axe: Le code est 23-8-9-20-5-0-16-15-23-5-18
* Sam: Ouvre la barrière vite.
Tom et moi marchons vers la porte du bureau comme je signale le numéro sur le pad. Ils entrent rapidement, je signale le numéro et la porte ferme.
- Merci Sam, dis-je. Punky viens près de moi.
Je prends un journal et le mets sur le plancher.
- Tom, assis-toi sur le journal et donne-moi ta chemise.
Je la prends et la mets dans ma besace, j’enlève le pansement improvisé du côté de Tom et l'y mets aussi.
- T’est encore ok Punky?
- Je vais bien, c’est passablement engourdi. Ce n’est pas de ta faute je n’ai pas été assez rapide.
- Punky, prends une grande respiration. Je travaille sur ta blessure.
Quand je commence à travailler sur Tom, Sam viens m’aider. Elle travaille de façon efficace avec des gestes doux et tendre.
- Aura-t-il besoin de point de suture?
- Je ne pense pas, me dit Sam, mais il va se sentir raide pour environ deux semaines.
- Raide! C’est tout? demande Tom.
Il semble relaxer cela me rassure.
- Merci Sam, c’est très gentil de ta part.
Je mets le papier journal aussi dans ma besace. J’examine les clefs, parmi celles-ci une petite barre de métal rectangulaire avec les bouts arrondis. Ça ressemble à la clef de mon cadenas magnétique mais en mieux fini en quelque sorte.
- Punky, essaie de trouver une forme comme cela n’importe où dans la pièce.
- Pas de trouble mauvais garçon.
Nous cherchons dans le bureau, après une quinzaine de minutes Tom m’appelle pour me montrer une plaque de métal de la bonne forme sur le côté du cadre de la porte. Je dis à Tom de regarder tout autour de la pièce et de noter tout changement. Je mets la clef sur la plaque. Tom me réplique qu’il n’y a pas de changement; je vérifie, pas de changement. Je pivote la clef à 180 degrés.
- Une section des étagères de la bibliothèque a bougé, me dit Tom.
- Attends Punky. Sam, Axe! Il y a une porte secrète dans la pièce. Nous allons l’ouvrir, vous devriez vous mettre à l’abri.
Je tiens la main de Tom et nous ouvrons la porte.
- Wow! Il y a un tas d’armes la dedans, s'exclame Tom.
- Punky, ne touche pas à ces armes. Elles peuvent être couvertes d’empreintes.
Il y a un pistolet Glock, trois SMG mitraillettes légère 9mm, un paquet de pistolet de calibre 22, environ une vingtaine de fusils gauge 12 Remington model 870, environ dix calibres 38 le tout avec une masse de munition. Un chiffre conservateur: 5 à 6 milles balles et cartouches. Il y a aussi un petit coffre fort et une classeur de sécurité.
- Axe, viens voir! Il y a un classeur de sécurité et un petit coffre fort.
- Nous ne pouvons les prendre, ils sont trop évidents.
- Nous pouvons utiliser la Mini, demandais-je.
- Benson a bougé, nous informe Tom.
Je fais signe à tout le monde de garder le silence et le stun encore.
- Oui la mini peut contenir le classeur de sécurité et le petit coffre fort, termine Sam.
- Laissez nous finir l’extraction, pendant ce temps vous pourriez charger la mini, nous dit Axe.
- Peux-tu m’aider Punky?
- Ne me pose pas ce genre de question, mauvais garçon.
Il fait mine de me donner un coup de poing. Nous transportons le classeur de sécurité, son poids est d’environ 65kg, nous éraflons l’intérieur de la Mini. Le coffre fort tant qu’a lui est lourd pour sa dimension, environ 25kg.
- Je ne savais pas que tu conduisais, me dit Tom.
- Je ne sais pas conduire ce sera ma première fois, répondis-je en souriant. - J’espère qu’on ne se fera pas prendre.
- Relaxe Punky, nous allons opérer en douceur!
Sam et Axe finissent l’extraction. Avant de partir Axe vient me voir:
- Voici l’adresse où nous pourrons prendre soin du classeur de sécurité, je sais que tu n'as pas de permis de conduire.
- Ce sera ma première expérience en tant que conducteur, ça devrait être intéressant.
- Quand nous serons en sécurité, appelle les cochons de la provinciale, il y a assez de preuves sur place pour qu’ils puissent lui faire un paquets de troubles, termina Axe.
Tom et moi entrons dans la voiture. Je donne ma veste à Tom. Sam et Axe marchent vers la barrière. Je démarre la voiture et fais le code d’ouverture de la barrière. Sam et Axe se dirigent vers le van. Je regarde sur le bras de transmission pour repérer la marche arrière. Je démarre le moteur et je mets la transmission en marche arrière. Je laisse aller l’embrayage lentement, le moteur arrête presque mais je donne un coup d’accélérateur. La voiture touche presque la maison mais je parviens à rester sur la voie d’accès. Mon Tom sue comme moi, il a une si bonne âme, il craint pour moi. Je regarde le bras de transmission pour repérer la première vitesse, j’appuie sur la pédale d’embrayage et pousse le bras en première puis relâche doucement l’embrayage. Je laisse la voiture en première. Nous nous rendons à l’adresse qui nous a été donné. Quand nous arrivons près de celle-ci, je me mets à rire. Tom me regarde en fronçant les sourcils.
- Te sens-tu bien Red?
- Oui mais où sont les cochons quand nous avons besoin d’eux, dis-je souriant. Il y a commission d’un crime actuellement.
- Red tu es complètement déjanté, tu aimes cette merde.
- Une façon de relâcher le stress, mon Punky.
L’adresse est une station d’essence Shell. Axe me fait signe de me stationner dans un espace de mécanique. Une fois entré, le van se place devant la porte, avec sa porte latérale ouverte.
- Transportons ce classeur dans le van, Mark coupe cette boîte, dit Axe.
Le mécanicien allume son chalumeau et commence à couper le petit coffre fort.
- À propos de la voiture qu’est-ce qu’on fait? demandai-je.
- Laisse-la ici et elle va disparaître très vite, me répondit Axe.
- C’est ouvert Axe, dit Mark.
Nous marchons vers la boîte et voyons a l’intérieur des papiers et une pile d’argent.
- Prenez l’argent, nous aurons plus à vous donner quand nous aurons trié ce que nous avons.
- Merci Axe, bye Sam, Mark, dis-je.
- Merci, bye.
Il embrasse légèrement la main de Sam.
- Prenez ces chaussures, dis-je pour qu'elles soient aussi détruites.
Nous prenons nos chaussures dans nos sac. Nous prenons le taxi pour aller au général, le restaurant près des Fouf. Je vais dans la chambre de bain et compte l’argent; il y a $55800. Je prends $27900 et le mets dans ma besace. Comme je m’assois à la table, je donne une pile de billets à Tom.
- Il y a $27900 dans ta main.
Tom met sa main sous la table et regarde sa main incrédule.
- Je ne veux pas tout l’argent, séparons-le, dit-il l'air paniqué.
- Mon tendre ami, c’est déjà séparé. Nous avons à cacher cet argent et a être discret sur nos dépenses.
- Nous aurons encore à mentir!
- Pas réellement, nous avons à prendre attention à la façon de dire les choses. Je lui souris et lui prends la main sous la table. Nous mangeons comme des rois, le service est parfait.
Tom insiste pour payer, il est content de le faire. Nous, nous rendons à l’arrêt d’autobus pour rentrer à la maison. En chemin vers l’arrêt d’autobus, je repère un téléphone public. Je téléphone à la police provinciale.
- Écoutez, Benson le capitaine de la police de Greenfieldpark est attaché sur le plancher de son bureau personnel à sa maison. Dans cette pièce, il y a une montagne d’armes et de munitions. Ho! En passant un homme qui s’est tiré lui même est attaché sur le plancher près de Benson. Bonjour chez vous.
Je raccroche et nous prenons l’autobus. Quand nous entrons dans la cuisine, il est 18h45. L’unité familiale est à la table, parlant tranquillement. Mère nous regarde et:
- Thomas! Qu’est-il arrivé à ta chemise?
- Elle a été déchirée, Red m’a prêté sa veste.
- Qu’est-ce qui a déchiré ta chemise?
- Commandant, c’est un katana qui a déchiré sa chemise, il a passé à porté d’arme, c’est un accident, répondis-je.
- Es-tu blessé Thomas?
- Non, dit-il souriant à mom. J’aurais dû être hors de porté d’arme, je suis désolé.
- Ok garçon, répondit-elle en l'enlaçant. Mais reste hors de portée de ces épées acérées.
Tom grimace un peu quand ma mère l’enlace.
- Nous devons travailler sur les plans du loft, terminai-je.
Nous entrons dans la chambre et je pousse Tom dans la salle de bain.
- Tom, donne-moi la veste. Criss! Tom, ton côté est tout bleu.
Je défais le pansement. L’éraflure, comme l’appelle Sam, fait dix centimètres de long et environ deux de large. Il y a un début de croûte, je prends le Ply**** que j’ai utilisé pour mon tatouage et couvre la blessure.
- Es-tu correct Tom? S’il te plaît regarde moi!
Tom me regarde et il a quelques larmes dans les yeux.
- J’ai été seulement un peu surpris quand tu as enlevé le pansement, ajoute-t-il en essayant de me sourire.
- Tom, prends de grande respiration et visualise de bons souvenirs et de bonnes sensations.
Je commence à installer le pansement. J’essaie d’être doux mais il grimace quelques fois le temps que je finisse le pansement.
- Ce sera difficile à cacher au commandant, t-shirt large et pas d’activité physique pour deux ou trois jour. Punky, pas de kata pour une semaine.
- Je ne suis pas mourant, mauvais garçon, je suis en bonne forme, nous allons nous organiser.
- En passant, veux-tu venir avec moi demain? Nous allons acheter des ceintures pour l’argent et au dojo pour acheter des petites choses.
Avant d’aller au lit, je prends une douche et demande à Tom d’attendre que je finisse. Je lui demande de s’asseoir sur le bord de la baignoire et le lave avec le gant de toilette. Il est un peu irrité au début mais bientôt commence à apprécier mes soins. Avant que je finisse de le laver, sa verge se dresse fièrement. Nous marchons vers le lit. Je me retourne pour barrer la porte puis regarde Tom étendu sur le lit.
- Punky, tu es si beau. Arrête de te faire blesser, quand je te vois souffrant cela me tue. Au moment où j’ai vu ce bâtard pointé son arme sur toi, j’ai cru que mon cœur allats exploser. Je ne veux pas te perdre mon chéri.
- Mauvais garçon, viens dans le lit avec moi. Je vais prendre attention. Si quelqu’un essaie de me blesser, je l’informerai que mon petit ami vas être furieux.
Il rit un peu caressant ma poitrine.
- Reste sur le dos, laisse-moi prendre soin de cette rigidité.
Je prends son pénis en main, glissant mon poing de haut en bas. Il a un magnifique pénis.
- Peux-tu mettre un doigt en moi? demande Tom.
- Es-tu sûr? lui demandai-je en fronçant les sourcils.
- Je veux essayer, tu as lu des histoires à ce propos sur le net, j’ai vu le site dans tes favoris. Je veux juste essayer.
Je vais dans la chambre de bain pour prendre ma lotion.
- Punky, essaye de rester sur le dos.
Je lui souris. Je mets de la lotion sur mon index, je le mets sur son anus et presse lentement. Mon doigt entre environ 2cm. Je regarde son beau pénis et expose la tête de celui-ci. Je commence à la lécher, à faire l’amour à mon beau Tom. En même temps, je frotte mon doigt à l’intérieur de son corps. Son anus répond à ma stimulation. J’essaie te trouver sa prostate. Je suce son pénis et l’absorbe au complet. Avec mon doigt, je cherche un point dur. Je le trouve et commence à le frotter avec toute la longueur de mon doigt. Il commence à s’agiter et à gémir. J’arrête pour mettre le la lotion sur deux doigts. Il me regarde avec un peu de frustration dans les yeux.
- N’arrête pas Red! S’il te plaît!
J’embrasse sa hanche et pousse deux doigts dans son anus. J’observe son visage, il semble avoir un peu d’inconfort au début puis cela passe. J’attends qu’il soit confortable avant de le reprendre dans ma bouche encore. Je prends soin de sa rigidité avec mes lèvres et mes dents, il frotte mes cheveux et les tire, il essaie de bouger ses hanches mais ne peut à cause de mon poids. Je frotte sa prostate avec deux doigts. Tout son corps spasme, il gicle dans ma gorge en faisant des mouvements incontrôlés sur le lit. Je sens son pénis qui reprend sa taille d’origine dans ma bouche. Sa respiration est hachée et profonde, son corps est couvert de sueur. Il sourit comme un ange, perdu dans son propre monde. J’embrasse son nombril, ses mamelons, son cou, sa bouche. Il m’enlace violemment, j’attrape ses bras et les repoussent.
- Tom, mon gentil Tom, prends attention à ton côté, tu es blessé.
- Mauvais garçon, ça ne m’inquiète pas, c’est fantastique. J’ai presque perdu connaissance, c’est extraordinaire. Man, ce que tu as fait à l’intérieur de moi m’a complètement soufflé.
Il me serre dans ses bras, je le sens s’endormir sur moi. Lentement je me glisse hors du lit pour prendre une douche rapide puis apporte une débarbouillette mouillée et chaude. Sur le lit, Tom dors profondément. Je lave son visage, cou, dos, il s’étire un peu, grogne un peu et ouvre les yeux à demi.
- Désolé Tom, je devais te laver un peu. Tourne-toi sur le dos Punky.
Je finis de le laver, l’embrassant légèrement de temps en temps. Je ne veux pas trop le réveiller, je veux le laisser dormir et le laisser savourer sa jouissance. Je caresse mon Tom doucement jusqu’à ce qu’il de rendorme complètement. Je le tiens sur moi et tombe endormi avec mon érection sur son ventre et sa chaleur qui me relaxe. Aux environs de 5h, je sens une main qui me caresse.
- Mauvais garçon, fais-moi l’amour.
Il m’embrasse profondément.
- Je ne sais pas si je suis prêt pour cela. Lire des choses à ce propos est une chose, le faire à quelqu’un que tu aimes est une autre chose.
- Mais Red, j’aime ça. J’aimerais te sentir à l’intérieur de moi, tu es une partie de moi et je suis une partie de toi.
- Tom, humm! Comment te dire cela. J’ai essayé avec mes doigts et je n’ai pas aimé ça. Si je te faisais cela, j’aurais l’impression de t’utiliser. Je t’aime tant Tom, je ne voudrais pas avoir cela entre nous.
J’ai des larmes dans les yeux j’espère que je provoquerai pas la colère de mon Tom.
- Red, je ne t’ai pas demandé de me laisser te baiser. Je veux que tu me baises pour mon, et ton plaisir. Je te veux en moi, je veux que nous soyons joints ensemble, dit-il en m’embrassant. Peut-être qu’un jour tu me laissera entrer. Ne t’en fais pas, je serai heureux sans cela mon amour.
- Je vais essayer d’aimer cela pour toi, prends ta place sur ma poitrine, nous attendrons que tu guérisses.
Tom m'embrassa avec tendresse.
- Aime-moi maintenant, je sais que tu prendras attention. Tu vas te blesser avant de me blesser. Je t’aime.
- Ne cède pas ta volonté à qui que ce soit, même moi. Ce n’est pas une bonne idée. Avec moi, garde ta volonté, garde-la avec la mienne, ensemble nous pourrons construire un endroit secret pour nous deux. Que veux-tu que je fasse mon Tom?
- Aime moi, tiens moi, embrasse moi, sens moi. Red, mauvais garçon, je veux te sentir de toutes les façons.
Silencieusement je l’embrasse, plie un oreiller et le place sous le bas de ses reins. Je caresse lentement sa poitrine et son abdomen. Je pince ses mamelons, les suces et les lèches. Je tiens sa tête, l’embrasse profondément, explorant sa caverne humide. Je regarde dans ses yeux:
- Es-tu sur mon tendre amour?
- Oui Red, faisons l’amour, soyons joints.
- Dès que tu as mal tu me le dis. Je vais être très en colère si tu me le dis pas et je ne le ferai plus jamais.
Il me regarde souriant d’un air incrédule. Je m’installe entre ses jambes. Quand il me sent entre elles, il les écarte largement. J’embrasse son abdomen et son pubis. Je mets ses jambes sur mes épaules lui frottant les cuisses, je lui lèche les testicules. Je me demande si j’ai le courage de le faire; j’hésite quelques secondes. Puis je lui embrasse les fesses, les lèches, sens la crevasse pour savoir s’il y a une odeur de merde. Non. Lentement je pointe la langue et touche sa rosette. Une odeur musquée et un goût étrange pas mauvais et c’est mon Tom; je décide que j’aime cela. Je commence à lécher son anus pendant que je caresse son thorax et ses mamelons. Il relaxe et ma langue peut pénétrer un peu en lui. Je commence à le masturber, après environ cinq minutes il repousse ma tête:
- Pousse le à l’intérieur de moi. Aime moi.
J’enduis mon pénis d’une épaisse couche de lotion, je me relève et laisse ses jambes sur mes épaules. Je guide mon pénis sur son ouverture et mets la tête sur son anneau. Le regardant dans les yeux, je pousse lentement. Au début il ne s’ouvre pas, je reste dehors. Soudainement, la tête glisse à l’intérieur, ses yeux s’agrandissent un peu. Il me prend par les épaules pour se soulever et m’embrasser. Tom murmure a mon oreille.
- Red c’est si gros, ne bouge pas, laisse moi m’y habituer. C’est toi en moi. C’est si bon. Pousse ton pénis lentement en moi fait-le avec amour, ajoute-t-il en prenant une profonde respiration.
Je pousse lentement jusqu'à ce que mon pubis soit juste sous ses boules. Je fais tomber ses jambes autour de mes hanches, je le regarde dans les yeux, lui embrassant le visage. Il attrape mes épaules encore et commence un mouvement de va-et-vient sur mon pieux. Lui attrapant les fesses, je commence des va-et-vient dans son canal doux, chaud et humide. Je sens d’étranges et plaisantes contractions de son anus. Nous commençons à gémir. Ses mouvements se font violents, il se laisse retomber sans contrôle sur moi, je dois le ralentir.
- Tom mon amour, pas si fort tu vas te blesser.
- Je m’en fous! C’est trop bon.
J’attrape le pénis de Tom dans mon poing et le laisse faire; ce faisant, il se masturbe lui même. Après dix minutes, je sens que son anus spasme autour de ma queue. Je le vois venir entre nous sur sa poitrine. À cette vue, je viens et pompe ma semence dans mon Tom. Je le soulève sur moi, l’embrassant et lui caressant le dos. Mon pénis retrouve son état normal et glisse hors de son tunnel d’amour. Je n’ai jamais eu de sensations aussi intenses de ma vie.
- Tes blessures, ça va Tom?
- Extraordinairement bien, répond-il en essayant de reprendre son souffle. Red, tu ne peux pas imaginer les sensations que j’ai éprouvées.
- Étends-toi sur le dos et détends-toi mon amour.
Quand il est étendu sur le dos, je lèche son abdomen et son thorax de toute trace de sperme.
- Ton sperme a un goût merveilleux, je te l’ai déjà dit?
- Je suis vraiment baisé, répond Tom en ricanant un peu. Je sais que tu vas me laver encore. Utilise une débarbouillette plus chaude cette fois ci.
Il m’embrasse. Je me lave dans la douche et lave mon bel amant lentement avec une débarbouillette chaude. À demi endormi, il me sourit pendant que je le lave. Je le sèche, il m’enlace avec force.
- Red, je suis propre, tu es propre, reste dans le lit avec moi. Je veux sentir ta chaleur, mauvais garçon.
- Punky, nous avons trois heures devant nous, dis-je en regardant mon réveil-matin.
Il frotte son visage dans mon cou soupirant avec satisfaction. Je me laisse dériver dans une rêverie érotique, me sentant au sommet du monde.